Salut les filles,

 

Les camps de la mort de la tolérance c’est bien, mais Metz-Lyon c’est mieux. Aussi, Rigobert dût-il mettre dans une grosse parenthèse bien sale dans son séjour sabbatique pour trouver un bar assez couillu pour diffuser l’affiche de ce début de millénaire. C’est finalement à la dérive que le Gobert échoua, entraîné par une force maline, dans un bar de semi-hommes : un bar de lesbiens épilés et bouillants comme l’anus d’un noir en cage. C’est donc le coeur peu au chaud et les yeux dans la bière que le bon vieux Rigobert pu purger l’heure et demi la plus full gay hardcore de son histoire anale. Musique lounge de 1997 et petits tee-shirts roses de salope en veux-tu en voilà, ambiance scandale danse de pédales, Metz-Lyon sans le son et sans caleçon, paix à mon âme.

 

Le serveur dudit bar s'est avéré n'être autre que le Roi des Pédés en personne.
Le serveur dudit bar s’est avéré n’être autre que le Roi des Pédés en personne.

 

En somme, mea culpa pour les éventuelles erreurs d’appréciations, votre académicien torse-nu rejette totalement la faute sur le sort et sur la horde de pédales qui avait ici élu domicile, laissant Rigobert coincé au fond de la salle entre deux boucliers.

Note à Béné : Rigobert n’est absolument pas homophobe, c’est juste qu’il voudrait que tous les pédés meurent. Merci de votre compréhension.

 

Contexte :

2 points en 3 matchs c’est bien. C’est bien nul à chier. La défaite à Montpellier a propulsé Rigobert dans une rage folle. Kévin Lejeune aurait dû être transformé en statue de sel pour son crime. Prendre le ballon des mains vénézuéliennes de Falcon qui voulait ouvrir son compteur, pour expédier un péno sur le potal, non merci. Immole-toi par le feu Kévin de tes morts, mangeur de merde. Voilà, c’est dit ; il fallait que ça sorte et mieux vaut ça que des vrais gros mots. Ledit Kévin Lejeune reste cependant condamné à son prénom pendant trois longs mois minimum pour un tel manquement à son honneur d’humain encore vivant. Peu content le Gobert…

Aussi Lyon et son triste sire de président, son excellence Jean-Mimi Aulas, tombent à point nommé dans le calendrier messin. D’autant que les Grenat ont enfin fini par trouver chaussure à leur pied et ont pu recruter et Maïga, dont on espère que la crise d’adolescence est terminée, et Serguey Krivets, une sorte de réfugié soviétique qui avait torturé la Juventus à son heure. De quoi enflammer quelque peu le dancefloor avant de recevoir la classe de CM2 de Jean-Mimi et leur délégué Maxime Gonalyon et son petit zizi.

 

Match :

-4 : Les recrues sont dans la place. Kestupeufaire l’Olympique lyonnais ?

-1 : Place au festin !

1 : Anthony Lopes se fait violer par le kop messin à coup de petits confetti métalliques dans sa nuque. C’est bon enfant.

9 : Lejeune trébuche sur le ballon alors que le coup était bon à jouer. Lejeune choisit donc la guerre, c’est noté.

14 : Tolisso demande à la maîtresse si il a droit de tirer puis envoie une frappe d’enfant mort à côté. C’est bien le nouveau Lyon.

17 : Bill Clinton N’Jie se joue de l’homme-bus et tente de finir. Carrasso est dans la place.

18: Bussmann aime manifestement qu’on l’enduise d’huile.

24 : N’Gbakoto contrôle poitrail, ciseau retourné, juste pour annoncer la couleur de sa saison de feu et de flammes.

27 : Métanire écrase l’orgueil de Zeffane en lui faisant danser le tango puis envoie un bon centre, comme quoi il n’est jamais trop tard dans la vie.

32 : Métanire a des grandes ailes pointues en guise d’épaules.

34 : La chimio de Jallet est une vraie réussite. Jamais vu un grand malade envoyer autant de déboulés à tire larigot.

45 : Frissons dans l’anus de Rigobert alors qu’Alexandre Lacazette qui a encore redoublé envoie une frappe détourné par la Milan de Chine puis par Carrasso sur la bar mitzvah.

Mi-temps. Pour se mettre dans l’ambiance, Rigobert commande un lait fraise pas trop corsé.

46 : N’DAW envoie un tacle de guerriers huns sur un enfant de l’OL et prend son jaune avec élégance.

47 : Le centre de Bussmanibal lecteur vers Koné qui tente le salto arrière, ça revient sur Rocchi qui ne parvient que difficilement à se détacher du marquage de l’homme invisible avant de buter sur le mur portugay en forme d’Anthony Lopes.

59 : Putain on est biens là ! On est biens, biens, biens, biens, biens. Regarde tout ce qu’on peut faire !

63 : Entrée de Falcon, émeute à Caracas.

67 : Corner pour Metz. Contre-attaque. Métanire se retrouve seul face à 10 000 lyonnais et ne peut empêcher Lacazette de planter malgré une énième parade de Chaud Carrasso. 0-1

68 : CF pour Metz. Lejeune s’en charge. Les moufles d’Anthony Lopes se chargent du reste.

72 : Allez Roi Bouna, montre-leur de quel bois tu te chauffes.

80 : Et pan dans ta gueule de technocrate périmé Jean-Michel, le roi Bouna il est là ! Péno pour Metz, keskia !

81 : C’est Génie N’Gbakoto qui s’élance. LUCARNNNNNE ! Oui messire ! 1-1

82 : Ce pénalty de l’amour quand même. On ne s’en lasse pas.

84 : Le décalage de l’amour de Sarr sur Lejeune qui échoue dans sa passe mais ça revient sur le crâne de Falcon qui plonge et GOOOOOOOAAAAALLLLLLL de Falcon !!! GOALLLLLLLLLLLLL !!! 2-1


85 : Lyon est à terre. Metz est en l’air.

86 : Sur l’aile gauche de l’attaque lyonnaise peut-on désormais voir cette stèle : « Ci-gît Clinton »

87-92 : Plus aucun souvenir.

93 : Lejeune s’échappe en puissance, mais que fait-il ? Il est fou, il viole toute la défense lyonnaise ! Il continue, quel rush ! Puis il fait la passe à Gonalyon. Il y a des choses qui ne se perdront jamais…

94 : Rigobert aurait payé cher pour voir un jour Jean-Mimi faire cette tête-là. Quel bonheur !

 

Les notes :

Jésus Carrasso, 4/5 : The PIMP of the North ! Carrasso, c’est simple : soit tu prends sa mère en otage, soit tu ne marques pas. Le gardien messin a renvoyé la carrière de Bill Clinton N’Jie dans les cordes et a bien souillé le caleçon de Jean -Mimi.

Romain Méga Giga Nire, 4/5 :  Nom masculin, familier. 1) Footballeur freestyle ayant choisi le côté droit de la défense du FC Metz pour envoyer du geste pornographique involontaire par pelletées de 100kg. 2) Albatros noir qui possède la puissance.

Gaëtank Bussmann, 3/5 : Première mi-temps d’esclave, deuxième mi-temps de bonhomme. Bussmann est une machine ; une machine allemande, sans roue, mais avec la puissance rageuse d’un papa turc qui croise un enfant arménien.

Guido Milan de Chine, 2/5 : Petit chignon, poils au menton feat la chaise pas si roulante que ça de Sylvain Marchal pour se déplacer sur le pré. Le principe de la tour de contrôle mais avec une paire ébouriffante de testicules.

Jérhumide Choplin, 2/5 : Pourvoyeur insatiable en chandelles de tout type : ballons ou rotules, RAF, tout ce qui bouge ça dégage.

Guirane N’Drôle, 3/5 : Grand noir pas content, le gros Guirane a soufflé la haine et la violence pendant une heure et demi. Le temps pour lui de perdre plus de ballons qu’il n’en a touchés, mais avec un couteau entre ses dents de métal.

Romain Rochie, 2/5 : Un match de truand de la galère. Passes foireuses, passes de l’amour, tirs de femme, volume de porc, du sel, du poivre, du fat et du vomi de chat. Match en demi-teinte quoi.

Kévin Lavieille, 2/5 : Tu t’amuses avec ton caca. Tu joues avec tes excréments. Tu fais pipi sur Papa et Maman. C’est normal ! C’est la phase anale !

Génie N’Gbakostaud, 4/5 : N’Gbakoto, cet humain tunning.

Serguey Krivets, 3/5 : Et un gros pouce vert pour le soviétique lifté dans une première convaincante. Inch’Allah le nouveau Nedved il est là.

Modipabo Maïga, 2/5 : Allez un bon 2 pour le petit nouveau bis, qui a du foot sous les semelles, certes, mais également la condition physique d’Ingrid Bétancourt. Casper le fantôme en bronzé.

—–

Juan Manuel FalGOAAAALLL, 5/5 : GOOOOOOOOOOOALLLLLLLLLLLL de Falcon.

Roi Bouna Sarr, 5/5 : Espèce de petit enculé d’homme providentiel. Mon corps t’appartient.

 

Federico Andrada, non noté :

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Merci de votre patience. Merci pour le poisson. Merci Jean-Mimi. Tout est bien qui finit dans le cul de ta femme plus jeune que toi.

 

Rigobert.

6 thoughts on “METZ – LYON (2-1) : La femme de JMA appartient à la Metz que un club Académie

  1. Ça faisait un moment que je n’étais pas venu, je ne me rappelais plus que c’était aussi truculent
    Merci, I’ll be back

  2. Pffff c’est une nouvelle fois du grand art. Rigobert sur le toit de la Ligain des académies. Et en plus, double plaisir: le fist sur Jean-Mimi. Merci.

  3. Aaaah ! J’avais peur que le Grobert soit parti en vacances et ait oublié de nous pondre son article !
    Du grand art anal comme d’hab !

  4. Bonjour,

    j’aime beaucoup ce que vous faîtes, est-ce que vous pourriez faire des académies pour Lyon, le club que je supporte ?

    Cordialement

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