« On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite.  »

Proverbe Japonais.

« Hijo de puta ! »

Supporteur anonyme.

 

21h52. La campagne Française.

–          Monsieur. Des hommes en uniformes souhaitent vous parler.

–          Non.

–          Ils insistent.

–          Raaaaaah. Quoi ? Ça  va reprendre d’une minute à l’autre là.

–          Police nationale Monsieur… Heu… Mystérieux. On nous a signalé une situation de tapage nocturne, à proprement dit, en l’occurrence de votre domicile.

–          Bah. Qui vous a prévenu ?

–          Le voisin.

–          Il n’y a pas de voisin à moins d’un kilomètre.

–          C’est ça. M. Paul Poullette, domicilié à 1 kilomètre.

–          Paul Poulette ?

–          Avec deux « l ».

–          Je suis un peu stressé par le match mais je sais me contrôler hein…

–          « Un cri strident d’une forte intensité a engendré la crise d’épilepsie de Mme Poullette. » d’après  le rapport du légiste.

–          Du légiste ?

–          Elle s’est coincée la tête dans le four par la suite.

–          Oui et ben j’en ai rien à foutre ! Le match va reprendre alors soit vous m’arrêtez, soit vous quittez ce château immédiatement.

–          Bon tachez de faire moins de bruit, et lâchez cette épée.

–          Si je veux, Schtroumpfs à képi.

Diego Costa ?
Diego Costa ?

 

Si Paris vaut bien une messe, le Clasico vaut bien une académie. D’autant que le Clasico, c’est un peu la grand-messe du football. Au moins du point de vue médiatique. C’est un match qui renait à chaque fois, tel un ballet à la chorégraphie aléatoire, source inépuisable de scénarii inattendus.

Voilà j’ai réussi la pire intro de l’histoire d’Horsjeu.net, qui devrait me valoir une place au comité entre Degorre et B(u)RP. Ça, c’est fait.

Allez, pas de chichi, passons au match de l’année. Pas de chichi. Foutredieu, ce match m’a bousillé le cerveau. Je le sais, vous le savez, nous le savon on fait des bulles avec, ce match avait une saveur de finale, l’odeur du souffre et tout le tintouin. Tintouin. Jesus DiMaria Joseph, que suis-je devenu ? Certes le Clasico n’a pas besoin d’enjeu, il se nourrit de lui-même mais évidemment c’est toujours plus sympa avec un peu de pression. Moi-même je m’étais servi une triple d’Abbaye devant le match et c’était tout de suite plus sympa.

Pour Barcelone, pas de calcul, une défaite signifie l’adieu au titre, une victoire le retour dans la course. Madrid en revanche s’avance avec plus de sérénité. Avec 3 points, le Real serait quasiment champion, un nul laisserait les Blaugranas à distance raisonnable et même une défaite ne serait pas catastrophique, si ce n’est peut-être sur le plan mental. Mais tout cela, vous le savez déjà puisqu’en dehors de l’Association des Sado-Masochistes de Lille (oui, l’ASM Lille, il y a beaucoup de travail derrière tout ça, c’est un art le jeu de mot) personne n’a regardé la Ligue 1 hier soir. Je ne sais même pas quel était le match en fait. (Hop, référence direct au jeu de mot susmentionné, décalage, rires. C’est un métier.)

Sans transition.

Oui parce que c’est bien beau d’être invaincu depuis 28 ou 29 matchs je n’ai même plus le compte, c’est bien gentil de renvoyer les Allemands dans leurs tranchées à coup d’obus et de martyriser des petits clubs comme Levante dont la vente ne couvrirait pas ¼ de la dette Madrilène (en comptant la vente de la ville entière de Valence et de ses habitants comme esclaves), mais la dernière équipe à avoir battu le Real, aux temps immémoriaux de la phase aller, c’était le FCB. Barcelone, pas Bâle, ils ont le même maillot, mais pas le même budget.

Je ne vais pas entrer dans des considérations complexes sur le fait de savoir qui est favori de ce match, la forme du Real est évidemment sans précédent, le trio BBC passe toutes les défenses au grill… NON ! NON NON NON… A la prochaine blague de ce niveau je m’immole par le feu en criant « Free Tibet », j’en ai rien à foutre. Je me déteste. Ce match a ruiné ma vie. Je décompense là, je décompense. Bien. Où en étais-je avant d’être grossièrement interrompu par moi-même ?©Desproges. Oui et donc ok le Real est au top mais ça ne compte presque pas dans ce match, d’autant que je trouve les faux prophètes annonçant la célèbre « fin de cycle » du Barça complètement cons. En plus c’est très républicain comme expression ça ne me dit rien qui vaille. Voilà donc 0-0, balle au centre et que le meilleur gagne, c’est-à-dire nous. Super analyse hein ? Heureusement que vous payez pas…

Codex tactica.

 

Le Real fait face à quelques blessures, notamment celle, très grave, de la révélation Jesé, mais pas de problème chez les titulaires, c’est donc la vrai équipe type de Madrid qui se présente sur la pelouse. Une équipe qui a mis un peu de temps à se mettre en place mais qui dans sa configuration actuelle, est devenue une machine de guerre.

nh3g

Le Barça n’est pas beaucoup plus original, Neymar est bien titulaire.

aye4

Un petit point sur le classement en tête de la Liga et roulez jeunesse ! Roulez jeunesse putain. Je mérite la guillotine.

Gel vociférant, Sourcil vigilant et Tata mobile.
Gel vociférant, Sourcil vigilant et Tata mobile.

Le Real ayant été tenu en échec par l’Atletico en Liga, malgré deux victoire en copa précédemment, dont une par KO, tout se resserre en tête et le suspense est à son comble. C’est haletant.

 

Le résumé du Clasico, en mode « Inside ».

 

Pour cet événement exceptionnel, j’ai décidé à la majorité de moi-même de vous faire vivre le Clasico comme si vous étiez moi. Profitez-en, c’est le rêve de la plupart des gens. Je vais donc mettre en avant mon ressenti pendant le match, sans oublier de vous expliquer un peu ce qui se passe quand même. Pour être clair, en noir, les réactions à chaud de votre académicien, en bleu, les faits du match.

Éloignez les enfants.

20h55. La pelouse est verte. Jusque-là, tout va bien.
20h55. La pelouse est verte. Jusque-là, tout va bien.
« Alors M. Xavi, il vous la montre ou pas ? »
« Alors M. Xavi, il vous la montre ou pas ? »

00’

C’est qui lui ? Allez on y va là, Dieu est avec nous !

Hommage à Adolfo Suarez.

03’

Pfffffff… Tantouse !

Première parade pour Diego Lopez sur une frappe écrasée de Neymar.

05’

Meeeeeeeeeerde, applique crénom !

Benzema écrase lui aussi sa frappe dans la surface du Barça.

07’

Noooooooooooooooooonnnnnnnnn ! Mais depuis quand il frappe aussi fort lui ? Depuis quand il frappe tout court putain ?

Pas attaqué et entre les lignes, Messi parvient à glisser le ballon à Iniesta dans la surface. Esseulé, Andres frappe en puissance et en lucarne, du gauche. 0-1

13’

Mais c’est pas possible ! Mais va te faire sodomiser par Yossi Benayoun, espèce de Gignac !

DiMaria élimine 4 joueurs, pénètre dans la surface et sert Benzema sur un plateau. Le français n’a qu’à la pousser au fond mais il préfère transformer l’essai. 3-1

15’

Ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff’

Couvert par Marcelo, Messi s’échappe mais écrase complétement sa frappe face à Lopez.

17’

Bon ben ça se passe pas trop mal…

Le premier quart d’heure Madrilène est très très laborieux.

20’

Yes ! Yes ! Yes ! Yeeeeeeeeees ! On est dedans, on est dedans!

Egalisation. Très bon centre de DiMaria sur la gauche, Benzema s’impose de la tête et marque. Valdes n’a pas la main ferme. 1-1

Non ! Non Angel me laisse pas, reste avec moi, tu peux pas me faire ça putain !

Trop fort pour lui-même, DiMaria fait un malaise. Sans conséquence.

24’

Wouhou ! Popolopopopo po ! Et ils sont où, et ils sont où les Blaugranas ! Benzema, Benzema, Benzema ! Benzema, Benzema, Benzema !

DiMaria encore et toujours au centre, Mascherano se troue, Benzema est à l’affut. Contrôle, demi-volée, but. Karim est sur une autre planète. 2-1

26’

Aaaaaaaargh… Je te chie dessus Piqué, sur toi et sur ta femme, cette salope qui urine sur la mémoire de Francis Cabrel ! Il est pas mort Francis Cabrel ?

Pour changer, DiMaria centre au second poteau et trouve Benzema bien démarqué. RimK enchaine contrôle-frappe mais Piqué sauve in-extremis sur sa ligne.

35’

« Quel plus terrible fléau que l’injustice qui a les armes à la main ?  » Aristote.

DiMaria prend un jaune logique.

42’

Noooooooonnn, Raaaaah Gnaaaaaahaaaaa, non, pas le nain ! Pas le nain !!!

Suite à un petit jeu en passe courte dans la surface Madrilène, Messi parvient à tromper Lopez à bout portant et devient le meilleur buteur du Clasico. 2-2

45’

Bruit de tête contre un mur. Silence. Bruit de tête contre un mur.

Sur un bon centre de Carvajal, Benzema met la tête au second poteau, ça passe à quelques centimètres du poteau d’un Valdes battu.

Mi-temps.

53’

Sa mère la P… Péripatéticienne !

Bale envoie l’accélération qui tue et met Benzema sur orbite. L’attaquant frappe sur Valdes bien sorti.

54’

YiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Prends ça Alves de mes deux ! C’est but, c’est but, c’est but !

CR7 est fauché par Dani Alves à la limite de la surface, l’arbitre désigne le point de pénalty. Ronaldo prend ses responsabilités, effectivement, c’est but. 3-2

58’

Woooopopop… Karim, épouse-moi !

Superbe talonnade de Benzema dans la surface pour Bale lancé qui frappe dans l’angle fermé. Valdes est vigilant et repousse le ballon.

64’

Mais non ! Mais non ! Espèce de gros connard d’indigène à crête, étouffes toi dans tes propres excréments avec ton faciès de condylome du zob, meurs asphyxié par les gaz moutardes qui te sortent du fion sale face de muqueuse ano rectale de porc ! J’espère que tu vas exploser comme la grosse bonbonne à coke que tu es, foutue fistule anale gangrénée !

Magnifique passe pour Neymar passé dans le dos de la défense, Sergio Ramos intervient maladroitement et le Brésilien s’effondre immédiatement. La faute est légère mais elle existe, Ramos est expulsé pour anéantissement d’une action de but. Messi se charge du pénalty. 3-3

74’

C’est la merde putain, c’est la merde…

Frappe d’Alves à 20 mètres, plein poteau.

75’

Faute ! Faute ! Traitre ! Vendu ! Indépendantiste ! Elle est évidente celle-là !

Faute pas évidente de Piqué dans la surface sur Bale, l’arbitre ne bronche pas.

80’

Frimeur. Salope.

Iniesta est un génie.

83’

C’est un putain de complot ! C’est un putain de complot ! On dérange Jean-Eudes, on dérange !  Bande de dégrénés congénitaux. On veut détruire le grand Real, suppôts de Satan républicains, on se laissera pas faire Jean-Eudes !

Double faute de Xabi Alonso et Carvajal sur Iniesta dans la surface. Penalty. Messi va chercher la lucarne de Diego Lopez. 3-4

90’

On a perdu une bataille, mais pas la guerre. Jean-Eudes, passe-moi la hache, je vais voir Poullette.

Ben non rien.

Fin du match

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire,
Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
Tant de fois affermi le trône de son roi,
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Œuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d’où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voir triompher le comte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?

Corneille. Chanteur franco-rwandais.

Il n’y a pas mille façons de jouer la Barça. On peut tromper une fois Victor Valdes, mais on ne peut pas tromper mille fois… Non, attendez ! On peut tromper mille fois… Bref. Le Real a choisi de presser très haut pour empêcher les nains de développer leur jeu dès la première passe et avec l’intention de récupérer rapidement le ballon pour lancer des contre-attaques en utilisant la vitesse des latéraux ou en sautant les lignes avec de longs ballons. Une tactique qui demande beaucoup d’intensité physique mais qui a porté ses fruits dans ce match. Gênés pour construire leurs attaques, les Blaugranas, qui n’ont pas l’habitude de défendre près de leur but, ont souffert face aux longs ballons et aux attaques rapides Madrilènes. Mais les Catalans sont froids et patients, et l’engagement des Blancs devait fatalement laisser des espaces entre les lignes ou dans le dos de la défense. C’est ainsi qu’on prend le premier et le troisième but. On le sait, les dribbleurs du FCB vont rentrer au moins deux ou trois fois dans la surface pendant le match. C’est là qu’il faut garder ses nerfs, c’est là qu’il faut faire confiance à son gardien, quitte à prendre un but. Le Real a craqué psychologiquement sous la pression de ce match à part, et ce malgré une bonne prestation générale. Avec un peu plus d’efficacité dans la première partie du match, les Blancs auraient pu marquer un ou deux buts de plus. A 10, c’est forcément une autre histoire. Le scénario est évidemment frustrant mais le Real est toujours en course sur les trois tableaux. Seul point noir, la différence de but particulière défavorable aux joueurs d’Ancelotti par rapport aux 2 autres prétendants au titre. Du coup c’est l’Atletico qui est en tête avec le même nombre de points que le Real, Barcelone étant désormais à un point. Dommage, car les Blancs ont une meilleur différence de but générale.

  1.        Atletico              70 pts
  2.        Real                    70 pts
  3.        Barcelone          69 pts
  4.        Hého? Il y a quelqu’un?

Les Notes :

 

Diego Lopez (3/5) : Rien à lui reprocher sur les buts, sauf qu’il n’a pas fait de miracle.

Carvajal (2/5) : Du très bon – le centre pour Benzema qui aurait pu faire but et quelques bonnes montées – et du beaucoup moins bon – son placement cata sur le premier but et la faute sur Iniesta – soit le match caractéristique du bon joueur qui manque encore d’expérience.

Pepe (4/5) : Quand il ne s’embrouille pas avec Fabregas, Pepe est le chef de la défense Madrilène, contrairement à ce que pourrais faire penser le brassard de Sergio Ramos. Sur la lancé de sa très bonne saison, la meilleure de sa carrière peut être, il n’a pas fait d’erreur, pas de faute inutile, et il s’est fait marcher sur le visage par Busquets.

Sergio Ramos (2/5) : Utilisé comme arme de dissuasion massive en début de match, il a bien rempli son rôle, appuyant ses tacles et sortant avec autorité aux devants des attaquants Blaugrana. Quelques errements, notamment sur le deuxième but, et sa faute sur Neymar lui coute son match. Bourreau ou victime, à vous de voir.

Marcelo (3/5) : Marcelo ne tient pas la forme de sa carrière mais il a eu le mérite sur ce match d’être concentré et appliqué en défense. Son bon travail avec DiMaria n’est pas pour rien dans le fait que les offensives Madrilènes sont souvent passées par la gauche.

Xabi Alonso (2/5) : Cette faute vulgaire sur Iniesta, je ne m’en remettrai jamais. Je ne peux même pas parler du reste de son match.

Modric (3/5) : Il a eu du mal a trouver son positionnement en début de match et s’est fait pas mal engueuler par Xabi. Il est finalement resté un peu plus bas que d’habitude pour contenir un Iniesta en état de grâce. Malheureusement insuffisant. On ne l’a vu que par intermittence.

DiMaria (4/5) : Deux passes décisives, une débauche d’énergie telle qui en tombe dans les pommes, des dribbles fous, du harcèlement constant, le meilleur Blanc avec Benzema, de loin.

Cristiano Ronaldo (2/5) : Parce qu’il m’a énervé, parce qu’il a énervé un peu tout le monde. Son pénalty (qui n’en était pas un) ne peut masquer un match médiocre, bouffé qu’il était par l’envie irrépressible d’être le héros de la soirée. Pendant ½ heure, il a tenté de passer en force, oubliant tous les autres autour de lui, puis il s’est éteint. En fin de match, il a fait parler le physique mais il a manqué de soutien.

Bale (3/5) : Il a galéré face à Jordi Alba. Le temps de comprendre qu’il ne pourrait pas le prendre de vitesse, c’était déjà trop tard. Néanmoins, son travail défensif et quelques bonnes percées – une passe presque décisive pour Benz’ et une frappe bien détournée par Valdes – lui valent une meilleur note que CR7 dont j’attendais plus.

Benzema (4/5) : Un match plein, mais paradoxalement insuffisant quand on sait que le Français a eu 5 occasions franches dont une quasi-inratable. Un ou deux buts de plus en aurait fait un Dieu à Madrid. Reste deux buts de vrai attaquant et d’excellentes intentions jusqu’à sa sortie après le carton rouge. Le meilleur avec DiMaria. Benzema est définitivement au top de sa forme.

Varane, pour Benzema (4/5) : Remplacer Ramos à la 66ème minute d’un clasico, ça ne fait ni chaud ni froid à Raphael, dont l’aplomb et la sérénité m’impressionnent à chaque sortie. Je lui met 4 pour cette action devant Messi ou non seulement il ne se jette pas mais en plus anticipe la passe de l’Argentin dans son dos et relance avec amour. Futur ballon d’or.

Isco, pour DiMaria et Morata, pour Modric (non notés) : Pas vu.

 

Omar m’a tuer !

Votre pot-pourri des meilleures citations de Maitre Omar Da Fonseca.

« Dans le jeu de jambes, Pepe et Ramos, c’est ce qui se fait de mieux ! »

« Varane, parce qu’il a été titulaire lors des matchs internationaux, forcément sont entamés dans le caractère énergétique. »

« Je suis partant que les joueurs se protègent avec les mains dans le dos ! »

« Il est dans 1 match assez optimiste ! »

« Il ne faut pas rester rigide dans le coté positionnel. »

« Arbeloa, techniquement, c’est pas un joueur qui est trop dans le visuel. »

« C’est une performance assez précaire ! »

 

L’Homme Mystérieux

L’homme mystérieux est sur Facebook et il accepte tous les amis même les gueux, les communs, les ordinaires, les bélîtres et les républicains.

Attention ! Braves gens, damoiselles et damoiseaux…Troubadours, faites rugir les trompettes, les tambours et autres luths car l’Homme Mystérieux est désormais sur Twitter, c’est moins cher à nourrir que les pigeons voyageurs. Alors n’hésitez pas à suivre ses élucubrations et autres palabres sur son compte @ArcanumHomo.

 

3 thoughts on “Real Madrid-Barcelone (3-4): La Meringue Académie pleure son Clasico

  1. Au moins l’Homme Mystérieux comprend ce que dit Omar, j’ai beau monter le son je pige que dalle

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.