Aïoli les sapiens,

« Le sport peut-il atteindre une grandeur propre à nous faire oublier ce monde de putes ? ». Les Jeux Olympiques viennent de nous répondre sans conteste par l’affirmative. L’éviction des pauvres, la publicité omniprésente, Chibrald et sa surveillance de masse, Macron qui se torche avec des notions élémentaires de démocratie, la Seine et ses bactéries fécales malgré des travaux pharaoniques… Ces ignominies ont été dûment consignées dans un carnet que nous avons consenti à refermer pendant deux semaines, dont la cérémonie d’ouverture avait donné le ton : nous allions voir du beau. Du grand. Notre meilleur jour.

Deux semaines à construire des beaux, grands et durables souvenirs de sport. L’émotion non feinte de Djokovic, qui peut enfin se dire « j’ai fini le jeu », tout comme Mijain Lopez léguant ses chaussures à l’histoire olympique. Les courbes similaires, tout en nombre d’or, de l’ippon de Teddy Riner, du saut d’Armand Duplantis et des figures de Simone Biles. L’émotion quasi-mystique qui point à l’autre bout du monde quand l’Océan adresse à son fils Kauli Vaast la vague parfaite qui lui octroiera la médaille d’or. Montmartre transformé en mont des Flandres. La championne de dressage équestre qui enchante le Château de Versailles sur Edith Piaf. Léon Marchand. Les sports collectifs. Et cette question de plus en plus lancinante à mesure que la clôture approche : comment revenir à l’ordinaire après cela, surtout quand l’ordinaire en question s’appelle l’Olympique de Marseille ?

Cette parenthèse olympique n’était en effet pas nécessaire pour qu’on se demande à quoi bon suivre l’OM en particulier et le football en général. Juillet a été animée par un Pablo Longoria revanchard après les échecs de l’an passé, et un Pablo Longoria revanchard, c’est un président qui révise encore à la baisse des principes moraux déjà peu exigeants. Que l’OM soit dans sa conception du football un hall de gare, où les joueurs peuvent être jetés comme des malpropres six mois après avoir été recrutés, nous le savions déjà. Que notre absence de scrupules aille jusqu’à tirer profit de faits divers ayant rendu des joueurs tricards dans quasiment toute l’Europe, voici une étape de plus franchie dans le dégoût.

Le plus navrant dans l’affaire reste la réaction d’une grande partie du Peuple Marseillais, dépositaire des Valeurs du club. Héraut des droits de l’homme, dénonçant le PSG Qatari pour mieux rêver à une reprise par les Saoudiens. Parangon de l’anti-racisme, pointant l’extrême-droite dans les tribunes lyonnaises dans une région qui vote RN à quasiment 50 %. Et donc, premier défenseur des droits des femmes applaudissant à tout rompre l’arrivée d’un agresseur que la quasi-totalité des clubs européens se refusaient à recruter. Etre supporter de l’OM quand tout va mal, cela s’explique par la ferveur partagée qui entoure ce club, mais qu’en est-il quand les dépositaires de cette ferveur se divisent devant un scandale si évident ? Tout est bon pour que l’OM réussisse, disent certains ? L’essentiel se limiterait donc à voir onze gars aléatoires pousser avec succès un bout de plastique entre trois barres de métal ? Le temps d’un match nous permettait, autour de l’OM, de nous évader d’une médiocrité humaine aussi omniprésente que pesante dans le contexte national, et voici qu’une grande partie de nos coreligionnaires s’affichent sur les réseaux sociaux aussi veules et mesquins avec l’écharpe bleue et blanche que n’importe quel Bidochon de ce pays. OM is not a safe place anymore.

Cela étant posé, keskon fait et oueskon va ?, a dit un jour le philosophe. Ben on va faire comme d’hab, des blagues de slip et de bite, quelques lapins, et on se fait des câlins au chaud entre les quelques copains qui se chagrinent de voir notre club bien aimé s’enlaidir ainsi. Si l’on s’est émus quasiment aux larmes devant un tennisman ultra-nationaliste et un judoka de droite ami des Balkany, on devrait être capables de tirer quelques menus bonheurs de la saison qui s’ouvre, aussi laid le football soit-il.

Le mercato

Petit jeu estival : parmi ces outils, lequel n’est pas utilisé par Pablo Longoria pour gérer les départs au mercato ?

  • une chaussure pointure 41 pour dégager les indésirables à coups de pied au cul ;
  • une spatule à désarapéder ceux qui s’accrochent, regroupés dans le loft ;
  • un code du travail.

Pour les premiers, une recherche « tableau des transferts » sur votre second site préféré (le premier étant bien évidemment horsjeu.net, mâtin ! quel site !) suffira à vous renseigner. Pour les seconds, Veretout, Gigot, Ounahi, et surtout Mbemba, entre autres, ont droit au traitement spécial pressions, harcèlement, tête de cheval dans le casier et autres méthodes préconisées dans le guide « non mais quand c’est des footballeurs on a le droit », aux éditions des prud’hommes.

Et pour les arrivées, citons Carboni, Brassier, Koné et De Lange, ainsi que d’autres sur lesquels nous n’allons pas nous étendre puisqu’il en est question pas plus tard que dans le paragraphe suivant. Car à un moment on va bien finir par parler du match, bordel de merde.

Les Longorious Basterds

Rulli
Murillo – Balerdi – Cornelius – Lirola (Meïté, 71e)
Merlin – Højberg
Greenwood (honte à nous) – Harit (Abdallah, 87e) – Luis Henrique (Rongier, 87e)
Wahi (Moumbagna, 71e ; Sternal, 78e)

Roberto de Zerbi n’est pas avare de surprises, à commencer par la titularisation du revenant Lirola, en transit entre ses multiples prêts (un peu comme Jordan Amavi, dont l’OM a fini de se séparer définitivement seulement cette année, précision apportée ici de manière tout à fait anodine comme l’on s’en doute).

Autre surprise, Merlin est titularisé au milieu à côté de Højberg : il faut patienter encore un peu pour assister à un retour de Rongier sur les terrains. Au final,cinq des onze titulaires faisaient partie du club la saison dernière, dont notre capitaine Balerdi.

Le match

Après trois premières minutes dominées par Brest, il suffit d’un judicieux placement de Luis Henrique et d’une déviation non moins habile de sa part pour faire péter le milieu de terrain adverse. Harit lance Greenwood (honte à nous) sur le côté droit : l’ailier anglais kylianebappise Amavi et file dans la surface où il ajuste le gardien (0-1, 3e).

Benoît Bastien, lui, n’est pas homme à multiplier les prouesses sur le gazon pour amadouer quelque noirceur de sa vie réelle. Non, lui son côté fils de pute c’est sur le terrain et uniquement sur le terrain qu’il l’exprime, à l’image de son sosie Kevin Bacon : s’il est présent dans un film c’est systématiquement pour jouer le rôle de l’enculé, c’est attendu mais ça fonctionne. A la huitième minute, sur un duel Cornelius/Ajorque tenant plus de la lutte gréco-romaine que du football, l’arbitre siffle d’abord en faveur de notre défenseur, avant de se raviser et d’aller faire semblant de consulter la vidéo pour inventer un pénalty. Romain Del Castillo voit sa tentative arrêtée par Rulli et dépose immédiatement une réserve technique au motif que l’OM a recruté à l’insu de ses adversaires un gardien qui plonge.

Ces dix premières minutes mouvementées ne donnent guère à voir comment se dessine le Zerbiball, la faute principalement à nos relances invariablement salopées par des erreurs techniques à faire regretter ces soirées passées à regarder plutôt du kayak sprint biplace. Néanmoins, la défense et surtout Rulli tiennent admirablement le choc. Mieux encore, les contre-attaques de l’OM s’avèrent dévastatrices : Harit lance de nouveau Greenwood (honte à nous) sur la droite, notre ailier travaille et retrouve Amine en retrait : celui-ci improvise une sorte de délicieuse talonnade tournante en pleine course, permettant de décaler Luis Henrique dont la frappe déviée file au fond (0-2, 26e).

Sonné, Brest concède un pénalty quatre minutes plus tard, à la conclusion d’un beau démarrage d’Harit relayé par Wahi. Retrouvé à l’entrée de la surface, Amine est bousculé par ce gros benêt de Martin, ce qui offre à Greenwood (honte à nous) l’occasion de réussir le doublé d’un pénalty tiré à contre-pied (0-3, 31e).


Parallèlement à ces transitions fulgurantes, l’OM maîtrise les débats nettement mieux qu’en début de rencontre. Le mode gestionnaire est enclenché, seulement troublé par Balerdi à deux reprises : la première sur une main jugée involontaire par Benoît Bastien, dont soit dit en passant la beauté sensuelle n’est pas sans évoquer Kevin Bacon dans Footloose. Peu après cette défense de la main de Dieu, notre capitaine répète ses classiques et s’offre cinquante mètres de randonnée maradonesque jusqu’au gardien adverse, sans le résultat victorieux hélas.

Difficilement entamée puis maîtrisée une main dans le slip, cette première mi-temps vire à l’excursion touristique. Il faut attendre six minutes de temps additionnel pour se rappeler que l’OM reste toujours l’OM, quand nous servons aux Brestois notre spécialité « défense de demeurés × but improbable ». Alors qu’il reste moins de 30 seconde à jouer, Lirola et Cornelius trouvent judicieux d’aller presser dans le vide ensemble à la ligne médiane : Brest s’engouffre aussitôt dans l’espace laissé libre, le centre est repoussé par la défense sur Camara, qui valide la demi-volée barre rentrante qu’il n’a jamais dû réussir en dix ans de carrière (1-3, 45e+6).


L’OM affiche dès la reprise sa résolution à ne pas se laisser davantage emmerder. Après une belle sortie de balle, Balerdi expédie ainsi une très jolie ouverture vers Greenwood (honte à nous), pour une fois à gauche. Un nouveau déboulé, un centre péniblement repoussé par la défense devant Wahi, et voici Luis Henrique qui se trouve de nouveau au bon endroit pour conclure une main dans le slip (1-4, 48e).

S’ensuit un amour de contre-attaque Wahi – Luis Henrique, au cœur d’une défense à l’agonie. Le centre du Brésilien parvient à Lirola, lancé à toute vitesse dans la surface mais qui satellise sa reprise. Qu’à cela ne tienne, l’OM dispose d’une large avance qu’il gère avec sérénité et – osons le dire – avec intelligence.

Mason Greenwood, encore lui (honte à nous), fait subir les derniers outrages à Amavi, pétrifié par les passements de jambes de l’Anglais avant de le faire tomber benoîtement. Wahi est invité à participer à la fête, en transformant en force le pénalty (1-5, 69e).

Les vingt dernières minutes sont anecdotiques : on y recense pêle-mêle l’apparition des jeunes lauréats de la Gambardella Sternal et Abdallah, le retour de Rongier après plus de neuf mois d’absence, une nouvelle RAIE de Rulli après une erreur d’Harit, et surtout la blessure très inquiétante au genou de Faris Moumbagna dès son entrée en jeu, seul événement qui ternisse réellement cette entame quasi-idéale.


Les notes

Rulli (4+/5) : Mission : conjurer deux des maux principaux qui frappent l’OM depuis des années, les défenses en bois et les Benoît Bastien. Pouvoir spécial : pousse sur ses jambes pendant les pénaltys.

Murillo (2/5) : Des premières relances qui sentaient encore les soirées de vacances à se bourrer la gueule au Macumba Beach, avant une suite de match moins fantaisiste une fois la gueule de bois passée.

Balerdi (4/5) : Confiance en soi, charisme, autorité, élégance. Apparemment on est à l’abri de le voir partir cet été pour un autre club de foot, mais il reste toujours le risque de le voir nommé premier ministre.

Cornelius (2/5) : Avec trois blessés graves lors de ses trois premiers matchs, la Ligue 1 n’avait certainement pas besoin de voir en plus Samuel Gigot faire copain-copain avec ses adversaires. Avec Derek au moins, la sécurité des personnes y gagne ; pour ce qui est de la sécurité défensive, en revanche, ça reste à voir.

Lirola (2/5) : Bon ben merci du dépannage, on se revoit à ton rerereretour de prêt en août prochain.

Meïté (71e) : Une présence conséquente mais exclusivement consacrée à gérer les affaires courantes. Un peu comme un ministre français, si ce n’est que Bamo n’en a pas profité pour enculer 10 milliards d’euros de crédits publics, lui.

Merlin (3-/5) : Passées vingt premières minutes à la ouaneugaineuflaille, le dépannage de Quentin à ce poste surprenant s’est effectué de manière très convenable. Le retour annoncé du Rongieur laisse cependant espérer que tout rentre dans l’ordre bientôt.

Højberg (3+/5) : L’intelligence du placement, la sérénité dans l’action, je sens que nous allons apprendre beaucoup de choses de ce garçon, à commencer par le fait que « ALT+0248 » est le raccourci clavier pour le ø.

Greenwood (honte à nous, 4+/5) : On s’est longtemps demandé comment les supporters du PSG se sentaient d’avoir vendu leur âme contre des joueurs qui survolent leur discipline. Bah on a déjà un élément de réponse.

Harit (4/5) : Ah non mais si tu fais des matchs comme celui-ci on veut bien que tu restes, hein, ya pas de problème.

Abdallah (87e) : Premières minutes en pro pour la nouvelle génération.

Luis Henrique (4/5) : Un match qui offre la définition parfaite de « se trouver au bon endroit au bon moment ». Quand d’autres font des mauvaises rencontres en sortant de la Commanderie, Luis Henrique, lui, il tombe sur Scarlett Johansson qui vient de faire le pari de rouler une pelle à la première personne qu’elle croise.

Rongier (87e) : Content de vous revoir, camarade.

Wahi (3+/5) : Une impression parfois agaçante mais des statistiques d’un but et une passe quasi-décisive. On a connu des joueurs agaçants plus agaçants que ça.

Moumbagna (71e) : Finit la saison précédente en se faisant tirer dessus à la sortie de la Commanderie, commence la saison suivante par se blesser sévèrement au genou. Je pense qu’un câlin de soutien s’impose.

Sternal (78e) : Un nouveau moussaillon embarque dans le navire.


L’invité zoologique : Jordan Amavier Marin

Le propre d’une bonne cérémonie d’ouverture, c’est de savoir revisiter les classiques fondateurs. Vous me direz que Jordan Amavi + le vier marin, ça ne revisite pas grand-chose de cette académie, certes. La prestation de notre Jordan national méritait cependant d’exposer ce monument sous sa forme la plus pure.

  • Les autres : s’ils conservent une naïveté pareille en défense, leur campagne de Ligue des Champions finira diffusée sur Pornhub.
  • Le classement : sauf performance fâcheuse de l’un des anonymes du jour, l’OM prendra donc le maillot jaune à l’issue de cette première journée.
  • Coming next : le baptême du Vélodrome pour l’OM de De Zerbi (ou de Zerbi, les italophones corrigeront éventuellement l’écriture de la particulebordel) aura lieu dimanche prochain contre Reims.
  • L’agenda ludique pertuisien : le Chat Chouette des Jeux accueille samedi 31 août à 19 heures la première édition du Chouette Quiz du Chat Chouette, sur le thème de « notre fascinante nature ». Retrouvez tout le bon goût et l’élégance verbale de la Canebière Académie pour cet apéro-jeu autour du vier marin, des questionnaires sur le caca et des cris de truie.
  • Les réseaux : ton dromadaire blatère sur Twitter, Facebook et BlueSky. L’éternel Didier A. remporte le concours zoologique.


Bises massilianales,
Blaah.

11 thoughts on “Brest-OM (1-5) : La Canebière Académie ferme la parenthèse

  1. Vous n’avez pas fait que de vous séparer d’Amavi, de ce que j’ai vu du match vous l’avez au moins désanussé, et allez savoir ce que vous avez fait de sa rondelle…

  2. Donc pour toi la justice n’existe pas?
    La poursuite a été abandonné…que tu le veuille ou non il n’a selon elle commis aucun crime.
    Faut arrêter là…
    C’est plus honte sur toi va!
    Tu connais l’adage légal : innocent jusqu’à preuve du contraire ?
    N’étant pas français je me foutais un peu de tes positions politiques vu que cela ne me concernait pas…mais là !
    Je ne me voyais jamais être serieux sur ce site …mais voilà

    1. Le problème n’est pas judiciaire mais moral. Est-ce que Greenwood a tapé sa femme ? Oui. Est-ce qu’il l’a violée ? Oui aussi. Qu’elle est décidée de ne pas continuer les poursuites judiciaires ne changent pas ces faits.

      Que ça ne te pose moralement pas de problème c’est ton choix. Mais ça n’empêche pas certains de se plaindre et de considérer ça comme moralement dégueulasse.

      1. Merci de te substituer à la justice britannique.
        D’où tu sors tes certitudes ? Des réseaux sociaux ?
        Ben oui tu dois avoir raison toi!
        Et la terre est plate aussi hein?

      2. Putain même ici vous venez avec vos arguments tout droit retranscrits de votre dernière fin de soirée au club med?

        Camelius a bien gagné le droit de d’écrire son sentiment sur cette page sans qu’on vienne la saloper avec nos petites phrases qui sont à la réflexion ce qu’aurait dû être pour vous la pilule du lendemain.

        Ceci dit, merci pour votre acade.

    2. Savez vous, j ai fait de longues recherches, et Greenwood veut dire « bois vert » en français ¡¡

    3. Poursuites abandonnées suite à rétractation de témoins et souhaits de la victime de clore l’affaire, en dépit d’une bande sonore assez explicite sur les faits et donc le personnage. Alors certes cela l’empêche de faire un mea culpa officiel qui pourrait plus facilement permettre de donner une deuxième chance, mais faut pas se bercer d’illusions non plus.

  3. On notera sur cette journée l’inspiration donnée par Rulli à Mandanda qui nous a son tour gratifié d’un arrêt de péno – qui aura au moins plongé du bon côté, la frappe méritant à peine ce qualificatif…

  4. C’est plus sur la mise à l’écart des cadres de l’année dernière ou je ne suis pas sûr de te suivre au niveau des scrupules. On a fini 8 éme à la fin d’une saison au goût de merde alors qu’aucune équipe était particulièrement supérieure mis à part Paris et Monaco. Pour moi, c’est normal qu’on leur demande de se barrer ; ils auraient dû le faire d’eux-mêmes. Rappelle toi les matchs qu’on s’est envoyé ! Alors sur la gestion des Payet, Steve Mandanda je suis ok . Mais Veretout, Gigot, Ounahi, et Mbemba, je comprends le club. Je pense que Veretout , Gigot et Ounahi il y a en plus un problème de niveau, comme Lopez qui lui l’a compris et est parti de lui même avec son état d’esprit comme toujours irréprochable. Ceux qui restent sont ceux qui ont le niveau et l’état d’esprit qu’il faut pour l’OM . A la rigueur je veux bien te concéder que j’ai de la peine pour Garcia, mais là encore, pas le niveau…

  5. J’ai de la peine pour personne.

    Notre maillot est souillé quand Veretout le porte.

    Ce crétin est un cadre nullissime. L’année dernière il n’y a, parmi les vrais pros, que Balerdi Rongier et Moumbagna (câlin) qui ne méritent pas le goulag . Les autres nous ont chié dessus. Tout simplement.

    On ne peut pas parler de ces merdes sans faire remonter des séquences de jeu humiliantes pour notre Ohème, des matches honteux.

    Mais il existe le droit du travail: Blaah a pourtant encore raison. On doit le respecter.
    Il nous protège nous de devenir des monstres.

    Lopez L’a même publiquement admis.

    Bref.

    Vous vous excitez beaucoup pour un violeur.

    Des viol

  6. Je ne suis pas d’accord avec Camelius, mais son mal être s’est diffusé en moi et maintenant je suis un peu amer. Non pas qu’on ait signé Greenwood, mais de voir que notre Camelius ait mal à son Ohème.

    Jamais une acade fut aussi triste.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.