Sacrifice testiculaire en Argentine
Toi, tu prends pas du Tonyglandil.
Comme pourrait dire le poète Eric di Meco, « il faut avoir des sacrées cojones pour jouer défenseur en Argentine ». Velazquez, défenseur de l’Independiente, ne fait pas exception à la règle. Enfin, ne faisait pas exception avant que le Boca tente le but du break. Regardez à 1’04.
Bien sûr, il a été remplacé peu après. Il aura au moins la satisfaction de ne pas avoir vu de 2e but pour Boca. N’empêche que sacrifier ses couilles pour perdre un match 1/0, c’est con.
J’ai pas l’impression que ce soient ses cojones qui ont pris le choc.
« ouïllouïllouïlle »
Joli relance régissienne au début.
Je l’aurais laissé passer celle-ci…
Après la production de bouchers et de viandes argentines, les gauchos se lancent dans l’élevage d’eunuques.
Suis pas sur que le succès soit au rendez-vous, enfin peut-être que Loulou nicollin aimera.
C’est Eric Besson, le coach de Boca ?
Il y a clairement faute sur le poteau qui se fait tacler les deux pieds levés. En plus, le joueur simule. Et il a bien raison de s’entraîner à simuler, il ne pourra plus jamais faire autrement !
Si Frank Dumas avait taclé de cette façon, le poteau aurait sauté.
C’est ainsi qu’est née Marinette Pichon, qu’on appelait encore Marin avant l’accident.
Bah il le prend dans le bide. Je sais pas où sont placées vos couilles, mais conseil d’ami, allez voir un médecin vite si les votres sont là.