Salut les loulous,

 

Parlons peu, mais parlons bien. Lens, club de shmirlaps rouge et jaune, vient encore passer par la Lorraine avec ses sabots (c’est tout ce qui leur reste) pour essayer de consolider leur statut officiel de bête noire du FC Metz, communsymbole de Guirane N’Daw, sauf que dans un cas c’est une image, ta gueule, alors que dans l’autre c’est un animal sénégalais ou malien, peu importe. Car, depuis 1998 et cette sale race de Drobnjak, Lens a décidé de se mettre systématiquement sur le chemin du FC Metz dans le but de lui nuire au maximium. Alors que de son côté, le FC Metz n’a jamais fait de mal au RC Lens, à part des moqueries et des insultes, même si les Lensois sont de toute façon tombés dans les moqueries et les insultes quand ils étaient petits. Et frêles. Et beaufs.

Aujourd’hui, le FC Metz est 19ème et bon dernier de Liguain, tandis que le RC Lens réussit l’exploit inhumain d’être 20ème et encore plus bon dernier de cette même Liguain. Avec à sa tête, un alcoolique en fin de vie, qui tente de se racheter un honneur en essayant de sauver son club, au lieu de se laisser mourir doucement dans l’alcool et la honte, une fin inéluctable. Mais plutôt que de se rendre à l’évidence, Gervais martèle depuis des mois que le projet lensois est viable et que si la Ligue a coulé Luzenac, c’était pour la bonne cause nordiste.

Car si Lens a bien un don c’est celui-ci : s’ériger comme les chouchous intemporels des élites bien pensantes du footbanal français et de tous les fils de putes de la Terre, qui ont jeté leur dévolu sur un second couteau un peu sale, qui sent encore l’huile et le charbon, chante les chorons avec le ventre vide et sans comprendre les paroles, se maquille le visage en rouge et jaune alors qu’ils ont déjà le visage rouge de honte d’être si pauvre et malheureux. Après Rigobert n’exprime là que son avis, et certains diront sûrement « tu peux pas dire ça, c’est méchant et vulgaire ». Rigobert aimerait bien répondre à ceux-là qu’une petite cure au zyklon B ne leur ferait pas de mal, mais il préfère laisser le train de leurs injures rouler sur le rail de son indifférence.

Si ça n’avait été le RC Lens, Rigobert a l’intime conviction que la messe eût bien vite été dite, et que le club se serait vu rétrogradé en deuxième division de cécifoot, le truc pour les aveugles, dans lequel Maïga serait ballon d’or et Lejeune un joueur passable. Quoiqu’il en soit, les gentils lensois se retrouvent dans une situation encore plus dramatique que celle du FC Metz, malgré l’espèce d’autochtone qui essaie tant bien que mal de faire jouer au foot des individus qui n’ont pas encore le permis, soit à cause de leur âge, soit à cause de leur département de naissance.

Mécanisme d’apparition de Yoann Touzghar 

Mais plus sale et plus choquant qu’un Lensois, la LFP. Tout doucement, l’homme moustache et sa bande de mignons deviennent les agents d’une dictature sans visage, dans laquelle le football ne vit plus que pour l’argent qu’il génère, tandis qu’à la racine (les supporters), on coupe à gros coups de sécateurs. Car si Rigobert n’a pas dans son coeur la bande de veaux que constitue un parcage lensois, c’est la mort dans l’âme qu’une fois de plus il doit se rendre à Sinsinf’ en sachant que de Lensois il n’y en aura pas. Pire encore, le FC Metz qui fait la petite salope lorsqu’il doit casquer pour un fumigène, n’hésite pas à sortir l’artillerie lourde et mettre en place un dispositif policier sauce champignons de grande envergure pour un match entre les deux derniers de la classe, et sans l’un des deux. Logique moustachue manifestement.

Mais si la tendance que prend le football français fait froid dans le dos, comme le visage de Busmmann après une erreur de marquage, il faut se dire que la moyenne d’âge de toute cette bande de sacs à vins est de 69 ans et demi, que ça n’étonnerait pas Rigobert d’apprendre que y’a du cholesterol, du diabète et d’autres réjouissances du genre qui traînent et qu’en enfer, ils pourront jouer à la belotte en se touchant la moustache, tandis qu’à Sinsinf et ailleurs retentiront encore les clameurs des vrais. Après la pluie vient le beau temps. Même en Moselle. Shalom.

 

Ze match :

-20 : A la question des supporters lensois « est-ce qu’on peut aller à Saint-Symphorien », la ligue répond :

 

-14 : Du côté des Grenat, on remet les même et on recommence. Et on fait une bise à Choplin.

-8 : Le rouxmoute tunisien fait sa première apparition dans le groupe. Pour mettre un peu de couleur sur ce banc bien terne. Malgré la présence de Tonton Guirane N’Dieu, le footballeur le plus sous estimé de tous les temps.

-2 : Coup d’envoi fictif donné par le futur entraîneur du FC Metz : Danny Boffin.

4 : Metz a déjà plus de frappes cadrées que Lens a de passes réussies.

6 : Corner du Roi Bouna, tête de Khal Drogo, et Maïga plat du pied sécurité petit filet. Lens est au supplice. Riou tombe à genou et demande pardon à Jésus.

7 : Le duo Métanire – Roi Bouna envoie énormément de violence en direction des reins de Boulenger, avant de pouvoir centrer en direction de Malouda, qui enchaîne en mode breakdance dans la surface à feu et à sang et or des Lensois, avant de frapper dans la niche de Rudy Riou.

10 : Même Kashi paraît technique au milieu de la bande de cul-de-jatte qu’Antoine Kombouarré a lâché à Sinsinf.

13 : Landre rate sa passe puis se transforme en statue de sel, ça profite à Sassi la famille qui tente le pointard, avant que Malouda ne puisse se coucher en mode Brazil sur ce ballon contré, pour perforer la vilaine chatte lensoise. 1-0

15 : Pourquoi Metz était dernier au fait ?

32 : Gros duel dans le mileu et beaucoup de violence sur Ahmed Kashi, dont la douleur fait peine à voir.

34 : Petite déviation ambiance footbol total d’un Modibo Maïga surtechnique pour Malouda qui tente d’exécuter Riou à 20 mètres. Le couperet est repoussé. Mais Riou patiente toujours dans le couloir de la mort.

44 : Coup-franc de Bouna, sur la barre de Riou. Le ballon revient dans les pieds de Sassi la famille. La suite n’est pas brillante mais visible à oeil nu sur les rézo socio (2:05)

Mi-temps. Dans la confusion générale, Sinsinf’ ne sait pas s’il doit rire ou pleurer, Metz repart avec un petit pion d’avance sur les globules rouges et or.

48 : Bouna percute l’honneur de Boulenger d’entrée avant de claquer un centre au cordeau pour Modibo, qui de volée, reprend juste à côté du cadre. Le slip de Riou en tremble encore.

56 : Sarr continue de retourner le cerveau d’un Boulenger à la rue (et encore Rigobert a déjà vu des shlags avec plus de tenue que le défenseur lensois) et obtient un pénalty. Et Bouna, d’inscrire en toute décontraction, le deuxième but messin de la rencontre. Metz 2 – Lens 0

58 : Ca y’est, Sinsinf est parti pour une demi-heure d’ambiance Ligue des Champions. La Liguain ne sait pas ce qu’elle risque de perdre.

62 : Les émissaires de la Fédération d’Athlétisme du Qatar venus observer Métanire attendent déjà le latéranal droit du FC Metz, contrat et stylo à la main dans le couloir menant aux vestiaires.

68 : Guido la grosse bestiole Milan qui envoie une praline sur coup-franc. Riou repousse en corner. Rigobert pleure de joie.

74 : Timidement, les joueurs du RC Lens repartent à l’attaque.

 

79 : Superbe ouverture de Nomenjahary mes couilles sur ton nom dégueu, dans la course de Maïga qui devance un Riou sorti de piste, avant de rabattre le ballon entre les cuisses décidément bien écartée des Nordistes. 3-0

84 : La tentative désespérée d’Antoine Con Bourré pour sauver le RC Lens s’avère donc être un échec.

88 : Bussmann, lui, reste une petite pute fragile et offre un but au RC Lens qui n’en méritait pas temps. 3-1

Super loupe HD de la course défensive de Bussmann sur le but lensois

90 : Liquide de refroidissment oblige, Bussmann a totalement calmé Sinsinf’.

93 : Mais l’essentiel est là, les trois poings, les trois buts, les petits noirs qui courent partout devant et les Argentins qui veillent au grain derrière. Metz en route vers la Ligue Europa.

 

Les notes :

Anthony M’Fat, 2/5 : FAR, y’a rien à faire pour le gardien messin, sauf une ou deux petites parades des familles. M’Fat en a faite une, préférant laisser Bussmann dans sa honte sur la deuxième. C’est bien joué.

Romain Méganire, 5/5 : Monstrueux ! Métanire a été irréprochable les rares fois où il a défendu pour laisser le champs à une énergie surhumaine dans son couloir, pulvérisant à coup de débordements hard core toute envie de résistance du côté lensois. Un match de gros porc.

Gaëtanche Bussmann, 0/5 : L’inverse exacte de Métanire. Frileuse et enrouée, le petit homme bus sensible n’a pas su se mettre au diapason de ses coéquipiers. Pire encore, Bussmann a réussi à nous faire une tâche d’huile sur la copie quasi-parfaite de ses coéquipiers avec cette réduction du score qui lui incombe à 102%.

Guido Milan, 3/5 : Quelques petites faiblesses en début de match pour ensuite révéler le monstre qui sommeille en Guido.

Jean-Louis Palomino, 4/5 : Excellent. Rien à redire. Juste du kiffe. Savant mélange de grinta et de justesse. Cartier aura mis une trentaine de match pour comprendre que Marchal n’avait pas sa place dans la charnière messine. Enculé va !

Ahmed Kashi parfait, 4/5 : Incompréhensible ce petit chauve arabe récupérateur. A l’agonie il y a quelques mois, Kashi retrouve de sa superbe et du niveau qui faisait de lui un incontournable du système messin l’an passé pour le plus grand bonheur de ces dames.

Ferjani Sassi la famille, 3/5 : Un croquage cinq étoiles qui méritent que Sassi brûle en enfer, mais une activité et une justesse remarquable. Sassi est le liant qu’il a manqué beaucoup au FC Metz, à l’époque où ce bon vieux Guirane balançait des pralines vers le septième ciel et que Maïga était trop horsjeu pour les récupérer.

Florent Malouda, 4/5 : Un gros Malouda bien en jambes, inspiré et buteur. On peut chercher les causes de la déroute messine dans la moustache de Serin ou dans le slip de Cartier, mais sans devoir oublier que les deux mois lors desquels le FC Metz dégringolait en hors-piste dans les profondeurs anales du classement, Malouda réparait ses petites pattes à l’infirmerie. Ceci n’est pas une coïncidence.

Génie N’Gbakoto, 3/5 : Toujours pas sur la même grosse vague qu’en printemps dernier, mais il est clair que le Yéni retrouve en partie sa superbe d’antan, permettant au FC Metz de ne plus sombrer dans le Kévin Lejeune primaire, la gangrène terrible qui avait frappé le onze titulaire grenat pendant de nombreux mois pour le résultat qu’on connait. Amen.

Putain de Roi Bouna Sarr, 5/5 : Keskia les recruteurs du Bayern ? C’est le roi Bouna que tu veux ? Ben viens le chercher. La grosse moustache présidentielle t’attend avec le sourire et une facture de 10 Millions.

Modibo Maïga, 4/5 : Alors, autant Rigobert ne pense pas se tromper quand il insulte les mamans de Marchal ou de Lejeune, mais il doit reconnaître que ce gros fils de pute de Maïga en avait plus dans les pattes que ce qu’il laissait entendre. Mea culpa Modibo et puisse Dieu te faire passer la barre des 10 buts, synonime de maintien pour le FC Metz.

Les remplaçants :

Mylène Farmer, lol/5 : Beaucoup trop grand et trop roux pour être crédible, même si sur quelques pas, on a pu voir une vélocité et une puissance encourageantes. Reste plus à Cartier qu’à comprendre que Ben Youssef n’est pas un 9.

Cheick Doukouré, non noté : Doukouré s’est enfermé aux oubliettes à double tour, en attendant qu’un club de Liguain lui fasse une offre.

Kévin Lejeune, non noté : Kévin doit devenir le latéranal gauche de secours du FC Metz : une solution catastrophique mais quand même bien meilleure que ce satané homme bus, désossé par des Roumains en octobre, et qui attend patiemment à la casse qu’on le répare ou qu’on l’achève.

Prochaine échéance chez Claude Pèze, qui ne s’attend sûrement pas à ce que va lui mettre le FC Metz. Puisse Albert Cartier ne pas devenir fou entre temps.

 

Rigobert.

 

5 thoughts on “Metz – Lens (3-1) : La Metz que un club Académie ambiance remontada

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