Salut les Charlies

Bande de gays.

Les vrais infos 2015 :

  • La signature du rouxmoute tunisien pour 1.3 Millions. Joueur tunisien de l’année et finaliste de la LDC africaine, Ben Youssef est le premier rouquin à porter le maillot du FC Metz de mémoire de Rigobert, il est également le premier Tunisien roux du monde, et le joueur acheté le plus cher par les Grenat depuis bien longtemps sa mère.
Ben Youssef part à la CAN.
  • Il est accompagné par un milieu récupérateur/relayeur/voleur qui évoluait lui aussi chez les Sfaxiens et qui figure lui aussi en équipe de Tunisie. Sassi avec deux « s » pour ne pas confondre avec Hakim Saci et son niveau de myopathe en fin de carrière. Prix de l’opération = 400.000 puisqu’en fin de contrat dans six mois.
  • Le jeune prodige en couche culotte, Maxwell Cornet à la vanille et son papa le noir signent à l’Olympique Lyonnais pour quelques 500.000 et quelques pourcentages. Gonflé par sa Danone Nations Cup et ses nombreux courtisans, l’attaquant messin rejoint la trop longue liste des fils de pute de traitres qui partent sans avoir rendu à Sinsinf’ ce qui est à Sinsinf’.

 

Le Papa de Maxwell Cornet s’est montré très rude en affaire.

 

Le FC Metz pendant ce temps-là :

Pendant ce temps-là, le FC Metz avec ses grands sabots a été s’imposer sur le terrain rouge d’Epinal, dans les Vosges, en Lotharingie, par le score assez peu flatteur de 2-1, mais nique sa mère les flatteries. Les buteurs reluisants ne sont autres que Guido Milan, sa queue de cheval et sa frappe de mule sur CF ; puis du bon gros Guirane N’Daw comme on les aime : bien noir et à l’affût. Metz se qualifie donc ainsi pour les 23ème de finale de la Coupe de France des clubs français.

Puis, le FC Metz, ses 19 points, et son visage d’anus devait se déplacer à la Beaujoire pour la reprise du champianal. Avec une composition d’équipe bien plus couillue et rigolote qu’à l’accoutumée, les Messins firent mieux que de résister à des Canaris emmenés par Bangoura et son immense vagin, puisque si ce n’était le strabisme de Krivets et la barre transversale de Riou, les FC Metz repartait de Nantes avec les trois points et une bonne pinte de confiance avant de recevoir Montpellier. Mais par les temps qui courent, personne ne crache sur un bon gros 0-0 des familles.

Ainsi se pointe donc le Montpellier Blaireaux Poubelles Club dans l’antre Symphorienne. Club d’animaux, habitué à la puanteur et aux cartons rouges, le MHSC ne cristallise pas les passions. Même un titre de champion de France n’a rien su faire pour changer cette image de décharge qui accompagne systématiquement les Héraultais partout où ils vont. S’il n’était son gros morse boursouflé de président grabataire, personne ne saurait même de quoi Montpellier est-il le nom. Sauf un club de Kévin sponsorisé par les égouts. Et n’en déplaise à Marcelin.

Match :

-12 : A l’aller, Metz avait perdu 2-0. C’est chiant.

-8 : On ne change pas une équipe qui gagne presque : Guirane N’Daw fera office de sentinelle noire et aveugle devant une ligne de 4 tandis que Génie s’agitera seul en pointe. Un classique.

-5 : Retour aux sources du Jourdren pour Montpellier ce soir, puisque Roland Courbis aligne son gardien n°1 malgré ce visage d’anus déformé par la bêtise.

-2 : Voir Lejeune prendre ses marques sur la pelouse, ça vaut déjà le prix du billet.

1 : Metz archi-dominé n’arrive pas à sortir de sa propre surface de réparation. Montpellier a déjà 5 tirs.

4 : Mais est-ce que dans la vie de tous les jours, Bussmann a aussi ce visage hagard du mec dépassé par les événements qui lui va si bien sur un terrain de foot ?

8 : Tête de Petr Cech Hilton et son masque de l’enfer. Génie repousse presque sur sa ligne. Metz fait de la peine.

12 : La Horda déploie la plus belle action messine du match, avec cette banderole à la limite du footballistiquement correct.

14 : Les supporters éboueurs gitans montpelliérains arrivent dans le parcage et sèment le chaos dans leur cerveau avant d’attaquer les grillages qui les séparent des Messins.

Arrivée dans le parcage des Montpelliérains

 

16 : Kévin Mounier s’échappe du marquage déculotté de l’homme bus et pénètre dans la surface messine. Guirane, qui n’est manifestement pas Charlie, choisit l’option attentat sur l’ailier montpelliérain. Pénalty.

La faute de Guirane N’Daw sur Kévin Mounier

 

17 : Montpellier provoque en faisant tirer Lucas Barrios, l’homme qui a réussi à faire un grand pont à sa propre carrière. Malgré tout, c’est transformé. Misère. 0-1

18 : Le pénalty aidant, les CRS parviennent à calmer les animaux de cirque montpelliérain et leur cerveau maigrichon.

19 : Corner inespéré pour Metz. Palominal met sa grosse tête et Marveaux sa petite menotte. Pénalty. Une habitude locale.

20 : Génie à la baguette pour la transformation. Contre pied, sécurité. 1-1

25 : Le FC Metz tente de construire quelque chose mais c’est laborieux.

38 : Corner immonde du FC Metz. La chance intercède en la faveur des Grenat et remet dans le jeu le roi Bouna qui montre à Dabo qu’il n’est pas parti à la CAN exprès pour pouvoir lui éclater ses petits reins fragiles, avant de propulser un centre de l’amour directement sur le pare-brise de l’homme bus qui n’en demandait pas tant. 2-1

42 : Difficile de dire qui est le plus nul de Kévin Lejeune et de Serregay Krivets, chacun menant sa barque anale avec style et originalité.

43 : Le gros avantage de Krivets dans ce mano a mano, c’est qu’il a sur lui sa cape d’invisibilité. +2 en style.

44 : Lejeune lui c’est plus introspectif. Il faut imaginer voir le monde et le match comme Lejeune, penser comme Lejeune pour comprendre le football de Lejeune. Sur Terre, un seul homme y arrive et c’est Cartier.

Mi-temps. Les chiottes de Sinsinf’ sont globalement dans le même état que le jeu du FC Metz et que le visage de Jourdren.

46 : Changement pour le FC Metz. Sortie De Bouna Sarr, entrée de Falcon. Joie de Bouna Sarr.

53 : Dabo envoie un ballon totalement au pif dans l’axe. La défense centranale messine écarte les cuisses pour laisser Barrios ajuster en fouine le Carrasso vivant. 2-2

59 : Rivièrez crie Allahou Akbar et se jette en avant comme un âne. La septième fois du match. Lorsque le défenseur du FC Metz se retourne, Kévin Mounier est déjà loin.

60: Entrée de Kwamé N’Sor.

64 : C’est sûr que c’était un pari risqué de confier l’organisation du jeu à Guirane N’Daw.

69 : Montpellier déroule et Kévin Sanson envoie une pissette sur le poteau d’un Carrasso bien empoté qui la touche du dos et ne parvient pas à se relever pour empêcher Barrios de mettre un peu de sel sur la plaie béante qu’est l’anus des Grenat. 2-3 et des poussières.

 

72 : Kévin Mounier et  Kévin Sanson combinent parfaitement sur le côté gauche. Et au milieu coule un Rivièrez.

75 : Bon coup-franc pour le FC Metz. C’est Yéni qui souhaite s’en charger. Mais le joueur du FC Metz fait onze fois trop le beau avant de frapper en prenant une position de mec fort et l’envoie directanalement en Ouest médian sans puissance.

Rigobert est encore sous le choc de ce CF de N’Gbakotal

 

75 : Sortie de Milan. Jamais vu l’Argentin faire un tel sprint.

77 : Bussmann qui disait croire à l’Equipe de France en interview. Jamais vu un tétraplégique aussi ambitieux.

80 : Entré en jeu quelques minutes auparavant, Fédérico Andrada tente de tirer malgré sa gueule de bois.

84 : Metz est censé pousser. C’est mignon de voir chaque joueur passer la balle à l’autre sans même un soupçon de prise de risque. Le FC Metz, ou le football sans testicule.

 

86 : Andrada au Vélodrome il était sous MDMA sinon c’est pas compréhensible.

88 : Certes, depuis que Montpellier est arrivé au stade ça sentait déjà un peu les égouts, mais maintenant il y a quelque chose en plus dans l’air.

Rigobert sent poindre une odeur déplaisante de Ligue d’eux par ici.

92 : Malouda s’installe tranquillement dans sa dépression profonde d’avoir signé à Metz. Là où le football est resté coincé dans les ronces.

93 : Fin du spectacle. Vivement le rouxmoute tunisien pour mettre un peu de funky dans ce bordel insalubre qu’est le FC Metz depuis des mois.

 

 

Les mauvaises notes :

 

Johann Carrasso, 1/5 : Gros et lent, Carrasso est en train d’être emporté par sa Marichezite aiguë. Incapable de  dégager loin sans tomber, le gardien n°1 du FC Metz a du soucis à se faire parce que Oberhauser c’est costaud derrière.

Jonathan Riviérez, 1/5 : Dépassé par les événements. Violé par cette petite pédale de Kévin Mounier, le gros Rivièrez, son visage en sueur, et son football des caniveaux de l’enfer a paru débarquer de nulle part à chacune de ses interventions ratées. Rendez-nous Métanire. Quoique.

Gaëthaon Bussmann, 2/5 : Footballeur hagard, Gaëtan Bussmann a l’air tout le temps dans le dur. Ça avait pourtant bien commencé avec un beau but de bon joueur de la tête qu’il est. Pour le reste c’est ambiance district, un dimanche matin, sous la pluie, en stabiles, avec la gueule de bois. Et une gastro. Et pas de slip.

Guido Milan, 2/5 : Rigobert ne dira jamais de mal de Guido. Y’a trop de respect.

José Luis Palomino, 1/5 : Le problème du Palominal c’est qu’il n’a aucune espèce d’influence sur qui ni quoi que ce soit. Il tient quand les autres tiennent et sombrent quand les autres sombrent. Et comme les autres sombrent plutôt régulièrement, Palominal est fidèle au poste, prêt à rater ce qu’il faut au moment opportun.

Guirane N’Daw, 2/5 : Un pénalty pour une charge de grand noir autiste. Un autre but où il se fait un grand pont à lui-même au départ de l’action. Deux coups d’éclat hémorroïdaux qui contrastent avec un match où seul à la récupération face à ce diable de Kévin Sanson notamment, le bon Guirane avait colmaté avec courage. Ça + son habituel ration de bons ballons et de ballons complètement chiés. Du Guirane, du vrai. Celui dont parlait Willy Sagnol en quelque sorte.

Florent Malouda, 3/5 : Malouda est discret mais incroyablement travailleur et professionnel vues les circonstances. Pris au piège dans une équipe incapable de faire une passe au sol, Florent regarde, désabusé mais ne lâche pas les armes et ne s’emporte pas. Très peu de joueurs au palmarès du Guyanais souriant auraient cette attitude dans pareilles circonstances. Pas mal de respect.

Kévin Lejeune, 1/5 : Comme à chaque fois, Lejeune se claque son petit match au petit trot, en courant alternatif, sans réel impact, et avec pas mal de maladresse. Mais plus Lejeune est louche et plus Tonton Cartier prend du plaisir à voir l’artiste contemporain faire son spectacle de mime sans ballon.

Sergay Krivets, 0/5 : Ben alors, elle est où la hype de l’été ? Enculé, c’est plus des vacances qu’il te faut c’est une mise en quarantaine. Complètement à cours de jambes et d’inspiration, le Biélorusse a perdu plus de duels que de ballons, ce qui n’était pourtant pas une mince affaire. Va falloir enrayer ce passage à vide, sinon ça va finir dans le championnat chypriote cette histoire-là.

Bouna Sarr, 2/5 : Peu visible en première période. Encore moins en seconde. Normal, entre temps était passé par là ce bon vieux Albert avec ses gros sabots, et la décision contestable de sortir le Roi Bouna qui venait de claquer une passe dèce de l’amour et qui n’était pas plus nul qu’un autre. La psychologie martiale de Cartier et ses limites.

Yéni N’gBakoTo, 1/5 : Lorsqu’il est en pointe, N’Gbakoto est à peine assez correct pour qu’on récidive l’expérience. Lorsqu’il est à droite il n’a plus envie de jouer et se transforme en un vulgaire Oumar Pouye, sans âme et avec le melon. Le passage à la Liguain est compliqué pour celui qui avait éclaboussé la Ligue d’eux de son talent.

 

La triplette magique :

Juan Falcon, 2/5 : Toujours aussi vénézuélien et court sur pattes, Falcon contrôle du poitrail comme un as. Le reste c’est pas visible tellement c’est brouillon.

Kwamé N’sor, 1/5 : Longiligne. C’est tout ce qu’on a pu voir en un an et demi qu’il prend des sous au FC Metz.

Fédérico Andrada, 0/5 : Footclubeur comique avec le cul d’une mule enceinte et la frappe d’un enfant mort.

 

Le technico-tacticien :

Albert Cartier : Tonton, Rigobert t’aime assez bien pour ne pas tomber trop facilement dans les insultes. Mais au bout d’un moment va falloir songer à changer de discours enculé ! « Combat, agressivité, duel » sont des mots clés qui siéent à merveille à la Ligue d’eux. En Liguain, s’agirait de grandir et de penser à faire deux passes parce qu’en plus de perdre tout le temps, le FC Metz ne sait plus du tout jouer au football. Parce que qui dit Ligue d’eux, dit retour de Samy Kehli et Rigobert ne veut pas voir ça.

 

 

Coucou Lyon, on arrive.

Rigobert Pirès.

 

1 thought on “Metz – Montpellier (2-3) : La Metz que un Club Académie en chute libre

  1. La banderole Horda, teinte d’humour, est merveilleuse. Merci voilà des gens qui nous connaissent bien! Et bravo également pour ce beau compterendiou! Allez, je retourne à mes pare-brises, vive la Paillade!

    PS Barrios: 3 ans à arriver à pied par la Chine, et dans ce long périple, ne revoir la lumière qu’aux abords de Sinsinforien… Metz signifierait-il « Rennes » en lorrain?

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