Arsenal – Napoli (2-0) : La Napoli Académie revient de cuite

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Rikiki et Patapon aux pays des sent-la-pisse

 

Ça a commencé comme ça. On a pris deux buts, on a paraphrasé Ferdinand et on a pris la douche. Et pourtant, ça aurait pu être pire. Certain agité du bocal, sa compagne qui ne pouvait manger sans bavoir au risque de s’en mettre partout (elle aimait tout particulièrement les saucisses) et autres espèces de pédés infréquentables tels François, André et Elsa (la pute), auraient pu charrier le corps de pépé dans une brouette, le trimbaler sur quelques milliers de kilomètres de route cahoteuse et l’expédier dans la fosse à purin. Avant de lui pisser dessus, debout ou accroupi, avec ou sans grumeaux. C’est dégueulasse mais essayez donc d’ouvrir en deux un chaton et vous apprendrez un peu la réalité de ce monde vomitif; même la chatte de ta femme te dégoûte mon salaud. L’épilation transforme celle-ci en cul finalement, donc t’es pédé comme Elsa et compagnie. Il y a toujours un au-delà l’apparence lisse (ou non!) des choses; ainsi des victoires en championnat contre Carpentras et Avignon Franco-Turc. Ouvrez le chaton en deux, vous avez perdu 2-0 contre Horse Anal. Le triple décimètre est dur à encaisser. Mais comme dieu est juif, juif et dieu, alors la tête à Toto égale la différence de buts particulière et les salopards de la Ruhr finiront bien par nous verser les réparations. Votre acompte, vous pouvez vous le coller au cul.
Titolari :

Reina (2/5): Finalement pas très bien placé sur le premier but, après il a essayé de faire avec les moyens du bord : une équipe de mécréants égarés sur la route du pipi chienlit.

Mesto (3/5): Au contraire de son homologue macaque tout à fait simiesque, il a cadenassé ou tenté du moins de cadenasser son couloir, tout en montrant une belle envie d’offensive, comme un symbole de dent de sagesse.

Albiol (3/5): Pas le plus à blâmer dans une défense qui a pris l’eau bénite par le trou du missionnaire.

Britos (2/5): Fautif sur les actions qui amènent les deux buts, il a montré une fébrilité étonnante pour un gugus qui nous avait habitués à être au niveau européen.

Zuniga (1/5): Zu Zu Zuniga, mais pourquoi tu pleures ? Zu Zu Zuniga, pourquoi t’es mauvais ?

Berhami (2/5): À côté de ses pompes funèbres, il a assisté impuissant à sa propre mise en bière. Valon, pour l’instant, avec la pression, ça fait pschiiitt.

Inler (3/5): A presque redonné l’espoir avec ses frappes génocidaires de volatiles de toutes espèces. À vol d’oiseau, il était pas loin d’être le meilleur sur la pelouse.

Insigne (3/5): Assez remuant pour être remarqué et remarquable, mais pas assez pour secouer les puces de ces chiens grabataires qui lui servaient de coéquipiers.

Hamsik (2/5): Très décevant. C’est le maillot caca d’oie ça.

Callejon (1/5): Ridicule de lourdeur et d’approximation. Un bon film français en somme.

Pandev (2/5): Très loin de sa performance contre le Genoa. Trop peu souvent en pointe, et pan dev les dents. MOUHAHAHAHA.

Sostituzioni :

Mertens: Money Drop.

Zapata: J’ai un gros nez rouge, des traits sur les yeux. Un chapeau qui bouge, un air malicieux.

Fernandez: Quelle audace !

Baci, è tutto figlio di cana.
Diego Marulanda e San Gennaro.

2 thoughts on “Arsenal – Napoli (2-0) : La Napoli Académie revient de cuite

  1. Mes condoléances, les Gunners feront aussi ce qu’il faut contre le Borussia, ils le feront pas pour vous, certes, mais il y a pas de raison de donner la qualif’ à une équipe plutôt qu’à une autre.

    Et t’aurais pu mettre un 4 à Higuain, il a été bien placé tout le long du match, aucun dézonage, aucun mauvais pas, et il a pas eu de mal à retrouver ses repères après la mi-temps.

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