Manchester United 1 – 3 F.C. Séville : La Raide et Vile Academy ne jubile pas vraiment.

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Wayne Boulet est plus colère que Jean

2002-2013 : Cela faisait bel et bien dix saisons à la fin de celle qui vient de s’écouler, que Rio Ferdinand avait rejoint Manchester United.
Et s’il n’est plus tout à fait le frais et fringant jeune défenseur recruté pour plus de quarante-huit millions d’euros en 2002, il reste une des valeurs sûres de la Premier League, comme l’atteste sa dernière saison de toute beauté, salué qu’il a été par ses pairs comme étant l’un des trois meilleurs défenseurs du royaume. Alors, certes, avec tous les lourdauds que l’on peut se coltiner dans ce beau Championnat, vous allez me dire que la compétition n’est pas si relevée. Mais taisez-vous donc ! Ne gâchez pas cet instant.

Dix ans que notre cher Rio est au club donc, dix années plutôt couronnées de succès. Jugez plutôt : 6 titres de champion d’Angleterre, une Champions’ League (et deux finales), deux League Cup, un championnat du monde des clubs, six fois dans l’équipe-type de Premier League et membre de l’équipe-type de la FIFA en 2008, ça fait un palmarès somme toute raisonnable, non ?

Et comme le veut la tradition, après dix années passées au club, le joueur se voit offrir un match jubilé, histoire de célébrer tout ça convenablement.

Ferdinand dessous de plat

« Oh ! Un dessous de plat ! Non, vraiment, fallait pas… »

« Comme Mickaël Silvestre ? » allez-vous me demander. Moui… Certes. Mais nous préférerons retenir les jubilés de Scholes, Gary Neville, Giggs ou Solskjaer, par exemple.

Sur la fin de la phase de  préparation, et à deux jours de disputer le Community Shield face à Wigan, l’équipe emmenée par David Moyes se voit privée de nombreux titulaire, mais devrait pouvoir tenir le choc face à une équipe du F.C. Séville nécessairement moins fraîche. On voit cela tout de suite dans…

La Composition Diabolique : 

Anderson, Fabio et  Smalling titulaires… Je crois que David Moyes en veut définitivement à ma vie. On note également la présence de Januzaj, nouveau chouchou de beaucoup de supporters (dont moi-même), Henriquez qui avait montré de belles promesses face à l’AIK, Kagawa pour nous faire nous tripoter devant sa classe, et enfin le retour en tant que titulaire de Valencia, pour voir s’il a appris à centrer pendant les vacances. L’équipe est organisée en 4-2-3-1 et donne à peu près ça :

Compo United SevilleSubs : Giggs, Jones, Zaha, Lingard, Carrick, Evans, Bébé, M.Keane, Lindegaard

En face, ça jouera dans le même schéma tactique, avec de la recrue (Marin), du titulaire habituel (Perotti, Medel, Kondogbia) et du joueur qui doit gagner sa place (Baca)

Compo  Seville

Le Live Qu’il Ne Fallait Pas Regarder En Mangeant Des Tapas : 

2’ : Décidément, en cette pré-saison, nous abordons nos rencontres tambour battant ! La preuve avec ce débordement de Figueiras conclu par un superbe centre en retrait vers Perotti à l’ entrée surface. La frappe du droit de l’Argentin est détournée corner.

3’ : Wouhouhouhouh ! Le public scande le nom de Rio après une action incroyable ! Il vient en effet de…dégager tranquillou en corner.

5’ : Standing ovation pour Rio. Ben oui,  il porte le numéro 5 le bonhomme.

6’ : Astucieuse combinaison entre Marin et Perotti sur un coup-franc lointain, ce qui permet à l’Argentin de s’approcher de la surface et de tenter une nouvelle fois sa chance du droit. A côté.

11’ : Bon ballon de Fabio vers Januzaj aux abords de la surface. Le coup d’œil parfait du Belge lui permet de voir l’appel d’Henriquez dans la surface. Il sert donc le Chilien dans les intervaux (© Aly Cissokho). Le jeune buteur rend hommage à la fraîche carrière de Welbeck lorsque, seul face au but, il décide de tirer sur le gardien.

17’ : Coup-franc tiré par Cleverley à cinquante mètres, sur la droite. Plutôt que de balancer dans le paquet, il préfère intelligemment renverser le jeu vers Büttner, lequel, pas attaqué, se dit que c’est pas con de tenter la frappe. Mais Beto capte en deux temps.

18’ : Premier attentat tribunes  ! Vous l’attendiez, le voici ! Et il est pour Baca, servi à peine à l’intérieur dans surface, il tente l’enveloppé pied droit qui finit sa course sur le nez d’une jeune demoiselle qui considère maintenant la chirurgie esthétique comme une sérieuse option.

21’ : Superbe mouvement sévillan. Tout part du rond central et de Perotti lequel adresse un passe très appuyée vers Baca. L’attaquant agit très rapidement pour passer vers Vitolo, dans le dos de Ferdinand et Fabio. De Gea ne peut sortir à temps et l’Italien termine le boulot. 1-0. Non, mais compte pas, on n’est même pas chauds, là

25’ : Marin Remonte tout le milieu de terrain et passe la défense en revue n’est pas attaqué. Il sert Baca, lequel sert de relais pour lancer Vetolo, de la même manière qu’il avait servi Perotti, mais de l’autre côté, histoire de dire que ce soir, c’est toute notre défense qui est en carton. En bonne position mais en angle fermé, Vetolo préfère centrer vers…Marin. Oui, c’est con, il avait continué sa course et personne n’a suivi. 2-0. Tout roule.

28 ‘ : La défense n’attaquant toujours pas les milieux adverses, ceux-ci en profitent, à l’image de Perotti, lequel remonte tout le côté gauche, avant de servir à nouveau Baca. Celui-ci tergiverse un peu avant de remettre à Marin qui arrive lancé. La frappe du Bosnien passe de peu à côté.

29’ : Bon ben même Kagawa préfère marcher sur le ballon plutôt que de marquer, au duel face au gardien, maintenant. On est bien, là. On est bien.

37’ : Parti sur le côté gauche, Kagawa tente de lancer Büttner sur ce même côté, mais c’est trop long. Qu’à cela ne tienne se dit le Néerlandais, lequel récupère la gonfle et centre en fermant les yeux au deuxième potal. Valencia remet côté opposé, de volée, là où surgit Kagawa pour claquer une tête. Et alors que je me dis qu’avec autant de moule dans une même action, si on ne marque pas,  c’est que ce salaud de bon Dieu est impliqué, la gonfle file directement sur Beto, lequel sort la parade réflexe de cette présaison. Réponds à ça De Gea ! Non, mais vraiment, réponds, fais un truc, sauve-nous, démerde-toi !

40’ : Marin, toujours pas attaqué par la défense, et lâché par les milieux mancuniens, (c’est fatigant à lire ? Imaginez ce que c’est de l’écrire, alors !) se fraye un chemin jusque dans la surface et prend sa chance. Du pied, De Gea détourne sur la barre ! C’est pas vraiment ce à quoi je pensais quand je te demandais de faire un truc pour nous sauver, David.

44’ : Lancé dans la profondeur côté droit, Vetolo peut avancer, servir en retrait Baca à l’entrée de la surface. Aux dernières nouvelles, on aurait retrouvé le ballon à Glasgow.

46’ : Joli mouvement entre Anderson et Kagawa, conclu par un bon centre au deuxième poteau pour Valencia, lequel amortit de la poitrine, crochète intérieur (Si !) pour se mettre sur son pied gauche, et envoie une mine qui fracasse le crâne d’un pauvre innocent en tribunes.

Mi-temps : Mon Satan que nous sommes nuls. A part Januzaj, il n’y a strictement rien à retirer de cette première période. La défense est plus aux abois qu’une cougar devant une photo de Ryan Gosling, le milieu n’a pas compris qu’il pouvait redescendre et en défense on est aussi efficace que l’UCI pour trouver des dopés dans le cyclisme. On risque difficilement de faire pire, cela dit. 

46’ : C’est reparti ! Lingard et Jones entre pour Cleverley et Henriquez sortent. On peut raisonnablement espérer un peu plus de solidité au milieu.

51’ : Anderson lance la contre-attaque, s’approche de la surface, fixe tout le monde et décale Januzaj, dans la surface, sur la gauche. Le Belge se passe la balle derrière la jambe d’appui et frappe du droit enveloppé. Au-dessus.

59’ : Nouvelle occasion pour Marin qui résiste à la charge de Büttner (ah ah ah « la charge de Büttner », sérieusement…) pour tenter sa chance dans la surface, du droit. C’était bien parti mais ça finit à côté du poteau droit de De Gea.

63’ : Par miracle Büttner réussit un superbe centre au deuxième poteau. Et alors que Valencia aurait pu faire preuve de spontanéité et laisser sur le cul tout un stade en tentant la volée, il préfère remettre en retrait vers Kagawa pour une frappe détournée par les douze mille défenseurs sévillans présents dans la surface.

65’ : Après un relais vers Kagawa, Januzaj a du champ, pénètre dans la surface et tente sa chance du gauche. Le gardien repousse, mais le Belge n’a pas dit son dernier mot et récupère le cuir. De la gauche de la surface, il adresse un centre fort à ras de terre vers Valencia, n’a plus qu’à pousser dans le but vide. 2-1

66 ‘ : Carrick, Giggs et Zaha entrent, Kagawa, Valencia et Anderson sortent.

70’ : Côté droit cette fois, Januzaj enroule un centre au second poteau, où l’on a retrouvé Lindgard qui cueillait des fraises depuis un quart d’heure. La tête du Norvégien ne trouvera pas le cadre.

73’ : Plein axe et nez dans le gazon, Baca, à l’entrée de la surface, tente de se jouer de la défense, et s’essaye une nouvelle fois à cette maudite frappe enveloppée du pied droit. Encore un nom pour la rubrique nécrologique du Guardian de ce matin.

75’ : Jaloux, Büttner, à la réception d’une bien belle passe de Zaha dans la diagonale, frappe puissamment du gauche. Il remporte le challenge « mort subite »  avec 3 morts d’une seule tentative.

76’ : Giggs trouve d’une superbe passe Fabio sur sa droite, proche de la surface, le Brésilien peut centrer à ras de terre, vers Lindgard, absolument seul et qui tend la jambe pour la pousser au fond… Sauf qu’il est trop court et que le ballon vient mourir en sortie de but.

78’ : Au cœur du milieu de terrain , Giggs lance Zaha dans la profondeur. L’Anglais prend tout le monde de vitesse, et, malgré un angle très fermé, frappe du droit. Beto repousse.

79’ : Joli numéro de Januzaj sur la droite, il passe en revue toute la défense avant de centrer en retrait depuis la surface. Son ballon trouve finalement Büttner, lequel peut frapper mais voit sa tentative contrée, puis revenir sur Carrick qui prend également sa chance, mais c’est détourné en corner.

81 : Corner pour Seville. Air défense de tous les joueurs de United présents. Le cuir revient sur un Sevillan que je n’ai pu identifier qui tente la demi-volée du gauche. De Gea effectue une parade-réflexe qui lui échappe et arrive directement sur le pied de Rabello, lequel trouve le moyen de propulser le cuir au-dessus. Danny Welbeck a les yeux brillants d’admiration sur le banc.

82’ : Sortie de Ferdinand , entrée de l’énorme ovation du stade ainsi que de Jonny Evans.

88’ : Zaha, côté gauche, fait preuve d’une sacrée dose de chatte en voyant son dribble foiré lui revenir directement dans les pieds. Les joueurs sévillans n’ayant plus les jambes pour défendre, il a tout temps de s’approcher de la surface, dans l’axe, et de tirer à ras de terre. Cela passe à côté. Sur le banc, Danny Welbeck a une érection.

91’ : A l’entrée sur le terrain d’Evans, une peur a fait trembler d’effroi pas mal d’entre nous. Le potentiel cagade-slip souillé d’une charnière Evans-Smalling. Les deux joueurs ne voulant pas que nous restions sur notre faim, ils s’illustrent. Au départ de l’action, une intervention complètement foirée d’Evans dans les pieds d’un attaquant adverse, ce qui profite à Gameiro qui mystifie la défense, eeeeet ouais. Et transmet à Rabello, pas du tout hors-jeu(.net), puisqu’il est largement couvert par…Smalling, évidemment ! Le reste n’est plus qu’une formalité. 3-1.

Fin du match : C’est bien on aura été réguliers et on aura fait preuve d’une belle cohérence entre les deux mi-temps… Alors non, nous n’avions pas l’équipe qui est censée démarrer la saison, il y avait des jeunes, c’était un match amical à deux jours d’une rencontre importante. Mais au-delà de cela, lorsque l’on se fait passer dessus sans opposer la moindre résistance, telle la première fille de joie venue à Budapest, on se doit de faire preuve d’un minimum d’orgueil et au moins tenter de réagir, histoire que les 70 000 clampins qui ont acheté leur billets ne se sentent pas bien baisés, à la sortie.
Pire encore, alors que la pré-saison touche à sa fin, nombreux sont les supporters à se poser des questions sur ce que veux apporter David Moyes à United. Aucun schéma ni considération tactique n’ont été favorisés, les joueurs semblent complètement perdus défensivement, on n’a pas encore pu identifier ce que serait la « patte Moyes », ce qui n’est pas encore inquiétant, mais quelque peu préoccupant. Et c’est avec une impatience mêlée d’incertitude que j’attends le Community Shield de demain. 

Les Diables : 

A match exceptionnel, notation exceptionnelle ! Vous l’avez peut-être attendu, si vous avez suivi les débats sur Twitter, les joueurs de United vont être notés en…joueurs passés de United !

De Gea (Fabien Barthez/5) : Pas terrible. Les parades réflexes c’est bien, certains en sont même de fervents admirateurs (Coucou Luke !), mais quand ça finit sur la barre ou sur le pied d’un adversaire, c’est bof.

Fabio (Wes Brown/5) : Une ou deux montées intéressantes en début de matches. De l’approximation technique et de gros soucis défensifs par la suite.

Smalling (William Prunier/5) : Pris de vitesse, pris de panique, pris en tenaille, pris par derrière sauvagement. Gore.

Ferdinand (Laurent Blanc/5) : Tout n’est pas à jeter et il en a gardé sous le pied. Mais les interventions décisives se sont comptées sur les doigts d’une main de mutilé auquel il reste deux doigts.

Büttner (Kieran Richardson/5) : A fond, à fond, à fond, je me projette vers l’avant ! Comment, le quoi ? Le « Travail défensif » ?

Cleverley (Liam Miller/5) : Positionné bien trop haut et ne redescendant pas défendre, il n’aura pesé sur le jeu que sur deux coup de pieds arrêtés. Maigre.

Anderson (Kleberson/5) : « Madame je n’écrirai rien sur vot’ joueur, c’est une merde ! »

Valencia (Quinton Fortune/5) : Bon sang que tu es prévisible, Antonio. Enfin, je suis mauvaise langue, à un moment tu m’as surpris. Tu as fait un crochet intérieur.

Januzaj (Paul Scholes/5) : Brillant. Dans tous les bons coups et même quand l’équipe était sur le point de couler, il a tenté de la remettre à flots. Sacrée vision du jeu, superbes capacités techniques, précision dans les passes, refus d’abdiquer… De plus en plus intéressant le p’tit gars.

Kagawa (Juan Sebastian Veron/5) : Une classe folle et un talent inouï, trop mal utilisés.

Henriquez (Dong Frangzuho/5) : Une énorme occasion qui aurait pu tout changer, et puis plus rien. Le vide. Le néant. La vacuité.

Les Suppôts de Satan : 

Jones (Jesper Blomqvist/5) : Il a endigué les offensives adverses en colmatant les brèches comme il a pu. Rien de bien excitant toutefois.

Lindgard (Gabriel Obertan/5) : Clairement un match à oublier pour lui.

Carrick (David Beckham/5) : Entrée tranquille, stabilisation du milieu de terrain. Entrée plaisir, quelques transversales de quarante mètres. tranquille.

Giggs (Ryan Giggs/5) : Quelques passes et dribbles délicieux, pour montrer à Valencia comment on fait.

Zaha (Karel Poborsky/5) : Quelques beaux mouvements, une ou deux accélération, zéro efficacité. Mais il aura fait du bien.

Evans (Mickaël Silvestre/5) : Entré juste le temps de faire n’importe quoi tout en n’ayant pas de bol.

Les images du match sont ici 

Prochaine académie dès le match de demain avec, enfin, une victoire probante, face à une équipe qu’on a toujours tordu dans tous les sens, Wigan. (Enfin, on espère).

Barème des joueurs : 

Kleberson, William Prunier  = 0/5 :  Inutile, met plus l’équipe en danger qu’autre chose.

Kieran Richardson, Dong Frangzuho, Gabriel Obertan, Mickaël Silvestre, Liam Miller, Quinton Fortune = 1/5 : Tout juste bon à faire le plot à l’entraînement. Et encore, on est sympa.

Wes Brown, Laurent Blanc, Fabien Barthez, Juan Sebastian Veron = 2/5 : Deux ou trois petites choses à souligner, mais un niveau global insuffisant.

Jesper Blomqvist, Karel Poborsky =3/5 : La moyenne, voire un peu mieux. Pourrait mieux faire.

David Beckham = 4/5Inspiré, utile au collectif, tout simplement bon.

Paul Scholes = 5/5En tous points excellent. On en redemande !

Ryan Giggs = Immunité, au-delà de toute considération chiffrée : Légende vivante de son état.

Notez bien que les joueurs qui servent de notation sont considérés selon leur niveau global durant leur passage à United, pas leur niveau sur l’ensemble de leur carrière. Sinon, Veron serait au-dessus par exemple. 

Inferanalement votre,

L’Infernal Wayne Boulet. 

Sinon, Luke Seafer est aussi sur Facebook  et il veut des amis, plein, parce qu’il était toujours tout seul dans la cour de récré et personne ne venait lui parler. Peut-être à cause de la chauve-souris sur son épaule, de ses briques de sang pour le goûter… On ne sait pas trop. Mais viens lui faire coucou, ça lui fera plaisir. Et si tu veux faire encore plus, tu peux aussi devenir fan de la Raide et Vile Academy. Quant à Wayne Boulet, il craque carrément son slip et te file son identité secrète. Comme ça. Tu peux aussi lui faire coucou. 

Et tiens, Luke est aussi sur Twitter  et il trouve que c’est une invention de Satan un truc aussi addictif, donc n’hésite pas à lui faire coucou. Wayne Boulet s’y est mis aussi, mais il ne reconnaîtra jamais être accro. 

 

5 thoughts on “Manchester United 1 – 3 F.C. Séville : La Raide et Vile Academy ne jubile pas vraiment.

  1. @Hugog : Oui, parce que sur une échelle de valeurs aussi réduite, Obertan est nécessairement au-dessus de Kleberson ou Massimo Taibi, pour moi.

  2. Et Usain Bolt il est pas venu ?
    J’espère qu’on a tiut gardé sous le pied pour Wigan.

  3. @Kamikaz Koala : Merci bien !

    @Luke Seafer : Non, cruelle déception. Soi-disant une compet’ d’entraînement à disputer. D’obscurs « Championnats du Monde » à Moscou le lendemain. Tu parles d’une excuse.

    Je l’espère aussi. En tout cas, on a laissé au repos pas mal de monde. On a intérêt à assurer, là.

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