Metz – Brest (2-2) : La Metz que un Club Académie baisse (encore) sa culotte

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Rencontre entre nuls.

Attention lecteur d’enculé, si tu n’aimes pas le FC Metz, ce contenu peut t’intéresser. En revanche, si le club grenat te procure encore quelques petits frissons agréables au pubis ou si tu es le fils de Bernard Sauron, il risque d’agacer, d’autant plus si tu as la malchance d’être ethniquement inférieur. Car Messieurs-Dames, Rigobert est vénère.

Metz VS Brest : Le chocanal des Titans

Metz a perdu à la maison, en pantoufles, contre Le Havre. Puis, dans une très belle Académie d’un Docteur Jerhille qui prend de l’ampleur, vous vous êtes aperçu contre votre gré que les Grenats se sont également inclinés de belle manière à la 93ème chez les Crocos Nimois Sapiens Pédés.

Rigobert déteste prendre un but par un Nîmois, noir, à la 93ème, d’une frappe en plein milieu.

Le FC Metz dégouline donc sans honte jusqu’aux abords du ventre mou de Ligue d’eux, là où il se sent le mieux, bien au chaud entre les Normands et Clermont-Ferrand, une vraie ville de foot, entraînée par une ménagère.

Point réglement : En Ligue d’eux, un club se déclare en crise lorsqu’il est dépassé par Auxerre.

Heureusement pour les Grenats, c’est le très inoffensif Stade Anal Brestoix qui se déplace en Moselle. Entraînés par un roux, Sir Alex Dupont, les Bretons apparaissent à Sinsinforien au meilleur moment de la saison superbe du FC Metz. Avec sa belle tunique de victime expiatoire, le Stade Anal peut agir comme un remontant absolument nécessaire à des Grenats qui n’en finissent pas de faire à la Ligue d’eux ce que Rennes fait à la Ligain.

Le Match :

Metz attaque, Brest ne défend pas. Mais Metz défend encore moins sur les quelques contres, et Brest marque. Metz marque. Puis Brest marque. Puis Metz marque. Puis Brest devient rigoureux, un peu. Metz n’arrive donc plus à rentrer dans la surface des Bretons. Philippe Ingsberger fait des changements, le match s’enlise. Monsieur l’arbitre est un arbitre arabe, rien à redire. Peut-être un péno sur le gros Christian mais on s’en fout, le Camerounez ne mérite rien de mieux que la frustration d’être un poids lourd. Félicitations Monsieur l’arbitre. Fin du match, bien joué. Beau match. Les supporters messins sifflent. Metz devient encore plus 5ème qu’avant. Crevez en enfer joueurs et dirigeants du FC Metz (sauf Janis le petit CM1 letton et Kévine Lejeune qui nous manque).

Rigobert a tout vu de ses propres yeux d’aveugle. C’est juste qu’il ne peut pas en dire davantage sans se faire condamner par la justice.

Metz que des peintres :

Timmy Didillon, 1/5 : Le portier messin a beau être un pré-ado, il a déjà les fuites urinaires, la fébrilité physique et mentale d’une vieille épave de 72 ans, amoureuse de son médecin généraliste. Un comportement à la Yohann Gourcuff qui inquiète chez les supporters grenats, désormais à des années lumières de l’époque bénie des Dieu où Didillon tout puisant paraîssait pouvoir arrêter une ogive nucléaire pour peu que celle-ci fût cadrée. Désormais, il suffit de lui faire une passe en retrait pour que Sinsinforien se chie dessus comme un seul homme, et que Didillon l’envoie en touche pour le mieux.

Romain Métanus, 2/5 : Mi-homme, mi-bouc, mi-blanc, mi-noir, Métanire est une créature hybride et infernale, passionnée de touche longue et de centres de cancéreux. Sans âme, sans orgueil, sans fougue, sans idée, la bouche ouverte et les épaules en avant, Métanire est aussi sale qu’il est bête.

Tiago Gomez, 2/5 : Portugay au chignon navigue dans les eaux troubles de son manque de saveur. Et si les deux buts brestois viennent de ce côté-là, on n’enlèvera pas à Gomez le mérite d’avoir nettement progressé dans l’impact sans perdre trop de son jeu (un poil) léché. De toute la bande de putasserie portugaises et autres escorqueries estivales desquelles s’est entiché le FC Metz au mois d’août, c’est sans doute l’arrière gauche messin qui inspire le plus de sympathie à Rigobert. C’est bien peu mais c’est déjà ça.

Nuno notre Reis à vendre, 1/5 : Malheureusement recousu à temps pour hanter une nouvelle fois la défense centranale messine, à coups de placements approximatifs, de jeu long et sale, de moments de paniques, et autres maladresses techniques. Nuno Reis est dégoûtant, pendant que le bien propre sur lui et tout à fait respectable Guido Milan est retourné en réserve. Notre Reis à nous a au moins le mérite de s’inscrire parfaitement dans le projet de charlatanisme à grande échelle que le FC Metz nous propose cette année, et restera l’un des symboles forts de cette épopée maudite, qu’on racontera à nos enfants trisomiques, en leur jurant que ce qu’ils sont en train de voir c’est pas le pire de l’histoire.

Jean-Louis Paliminul, 2/5 : Nul, mais Argentin quand même, conférant à Jean-Louis un pédigré racial loin au-dessus de la saleté généralisée qui l’entoure. Jean Louis souhaite s’enfuir loin et vite du FC Metz, pour un challenge sportif plus excitant, et très franchement, difficile de lui en vouloir, tant le Jean Louis s’est fait traquenarder en signant à Metz, club dont l’âme est prise en otage par ses joueurs et ses dirigeants. Devrait donc signer à Rennes, et mettre fin à ses jours deux ans plus tard, dans une relative indifférence. Dommage Jean-Louis Tomato Palomino et tes grosses cuisses d’argentin rugueux.

Georges très profonde Mandjerk off, 1/5 : Tous les suceurs de Camerounais font de Mandjeck un joueur meilleur qu’il ne l’est. Peu concerné, noir, pas appliqué, noir, physique, noir, un peu nul, bien noir. Pourtant Rigobert aime les noirs, surtout les noirs milieux défensifs, surtout en Ligue d’eux, un championnat qui exige un degré de tribalisme que seul l’individu de couleur peut offrir à assez forte dose. Mais les doses de Mandjeck sont saccadées, parfois trop légères et sporadiques alors que Metz aurait besoin de plus de continuité dans la violence bestiale.

Sassi la famille, 2/5 : Sasssi tape plus fort et plus souvent dans les autres que l’an dernier, mais il tape beaucoup moins bien dans le ballon. Dribbleur malin et insatiable l’an passé, Sassi n’est plus que l’ombre du blédard surtechnique qu’il fût, et envoie désormais régulièrement des dévissées au-dessus ou des ouvertures anales en touches. Cependant le Tunisien mériterait quand même d’être essayé plus haut, de manière à pouvoir renouer un peu avec la roublardise technique naturelle de son peuple et apporter au FC Metz une vitalité nouvelle sur le plan de la créativité, absolument moribonde depuis le début de la saison. Philippe si tu lis Rigobert, sache que c’est un ordre.

Daniel Candéias des as, 1/5 : Aussi peu efficace qu’à l’accoutumée, que Daniel joue ou ne joue pas, le rendu est le même. Et quand bien même il n’a pas joué contre Brest, Rigobert ne voit pas pourquoi il n’aurait pas le droit de sanctionner un peu Candéias. Remplacé par Dieudonné Baclé, qui lui ne joue vraiment, mais alors vraiment plus du tout. Dommage, parce que les petits noirs virevoltants ont au moins le mérite d’être virevoltants. Big up pour Jésus Ikaunieks également, qui multiplie donc les petits pains en réserve.

Génie N’gBraoggroto, 2/5 : Capitaine, artilleur en chef et fer de lance du FC Metz. C’est dire.

Juan Karpoff, 3/5 : Remuant et bagarreur, petit et fourbe, Kaproff a le mérite de faire exotique dans un onze de départ et Sinsinforien ne s’y trompant pas et se contentant du peu qu’on daigne lui montrer à voir en matière de réjouissance, applaudit donc à la sortie du petit hérisson argentin, sachant pertinemment que tout le reste serait jeté en pature aux sifflets.

Habib Diallo, 3/5 : Un doublé, qui s’ajoute au but de Diallo à Nîmes. Elle est où la hype Diallo ? Elle est coincée quelque part entre les encore trop grossiers trébuchements et autres contrôles scandaleux du grantataquant messin. Cela dit, Diallo court beaucoup, donne de sa personne, et sa personne en est récompensée avec ces deux buts. L’autre petite bouffée d’oxygène dans le marasme messin.

Christian Bekamengros, 1/5 : Nul à chier, peu bougeable, y comprit par l’intermédiaire de ses propres jambes, prétentieux et individualiste. Tel est le gros Christian Bekamenga tel qu’il apparût contre Brest. Pas encore assez pour récolter son lot de quolibets et autres sifflotements à sa sortie, mais Christian ne marque désormais plus que le pas sous le maillot du FC Metz, et va devoir se ressaisir parce que la concurrence pousse derrière. Ah non.

La vermine :

Hamza Sakhi, 1/5 : Pas intéressant.

André Santos, 0/5 : L’intérêt d’avoir Santos dans un groupe de joueur de foot ? L’intérêt d’avoir Santos dans un groupe de danseurs étoiles, ok, là Rigobert dit oui, et peut être même qu’il achète sa place (bien sûr que non, bande de baltringues), mais dans une équipe de football masculine, mystère et boule de gomme. Faire rentrer Santos à la 76ème quand il s’agit de mettre désormais l’impact, la folie et la motivation nécessaire pour aller arracher la victoire, c’est comme faire intervenir Ingrid Bétancourt dans une opération du RAID en Colombie contre les Farcs, pas approprié.

Charles Edouard Moustapha Kaboré, ?/5 : Eh ouais Moustapha. Tu pèses rien dans la balance.

Rigobert Vénère Pirès

2 thoughts on “Metz – Brest (2-2) : La Metz que un Club Académie baisse (encore) sa culotte

  1. Cette violence m’avait manqué. Et ça fait plaisir d’avoir des nouvelles de Georges Mandjeck. Non, je déconne.

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