Metz – Laval (1-0) : la Metz Que Un Club Académie
Du natianal à la ligue de mes 2, Rigobert reste Pirès
Salut les couilles de morses,
Pour les aveugles homosexuels et les sourds-muets, petit rappel : le FC Metz revient chez lui après un an de vagabondage dans l’enfer du footbanal français, le Natianal. Et pas les mains vides : non content d’avoir pour une fois su garder ses joueurs, le club s’est renforcé et compte bien devenir le club le plus puissant du monde.
Point mercatal : les départs
Yohann Croizet, Vitron : Le petit ligament s’en va se péter le genou en Belgique. Ni chaud, ni froid.
Bruno Cirillo, libre : Papi a finalement fait ses bagages plus vite qu’il ne courrait sur le terrain. Chauve qui peut.
Olivier Cassan, libre : Après 96 ans avec la réserve du FC Metz, Olivier décide de changer d’air. Soit.
Guillaume Cappa, libre : Avis à tous les recruteurs qui cherchent un jeune gardien prometteur, Guillaume Cappa est un futur très bon ! Nan, je déconne.
Albert Baning, libre : Le gros sac à foutre s’en est allé, et c’est pas le Gobert qui va le pleurer. Depuis, Sedan (CFA) l’a testé une semaine : essai non concluant.
Grégory Proment, Staff Caen : Fin de carrière pour Captain Proment et une reconversion de choix : Greg devient entraineur adjoint de Caen. Ambitieux va !
Olivier Kemen et Younès Marzouk, Newcastle et Juventus : Seuls transferts avec gains pour le FC Metz, les deux petits traitres prouvent une nouvelle fois la puissance de la formation messine et la bêtise de ceux qui portent une crête.
Servan Tastan, Karsiyaka : Bouffeur de kebab s’en va faire du foot à Izmir. Comme un saint bol.
Les arrivées :
Romain Rocchi, Arles : Le come-back de Romain. Recrutement malin.
Luciano Teixeira, Benfica : La petite touche ‘J’ai pas touchéao’ du FC Metz.
Ali Bamba, Le Mans : Les 40 voleurs n’ont plus voulu venir.
Johann Carrasso, Rennes : Carrasso va enfin pouvoir redevenir troisième gardien de l’EDF.
Yves Angani, Magic Système Kinshasa : Il met l’ambiance, y’a pas problème.
Sylvain Marchal, Bastia : Deuxième retour au bercail, et pas des moindres. Marchal, nous voilà !
Jérémy Choplin, Bastia : Metz ne recrute jamais ses défenseurs centraux un par un. Choplin-Marchal : la nouvelle paire de couilles centrale du FC Metz.
Nicolas Fauvergue, Reims : Recrue toute fraiche et pourtant pas loin d’être périmée, Fauvergue a de la chance, Nancy était sur les rangs.
L’album photos des vacances du FC Metz :
Exclu : Le dernier entrainement de Proment avec les grenats avant de prendre sa décision d’arrêter.
Romain Inèz est parti en vacances à la montagne et a failli trouver l’amour.
Michel Lê, longtemps blessé, a eu beaucoup de temps libre.
Mais vraiment beaucoup..
Moussa Gueye quant à lui a paru plutôt affuté.
La préparation a fait du bien à tout le monde, même au gros Thibault Bourgeois.
Les amicaux se sont avérés très concluants, le FC Metz a notamment montré à Lorient comment jouer au foot :
Metz que oune interview :
On reprend les bonnes habitudes avec la petite interview d’avant match. Pour cette première de la saison, Rigobert a choisi de taper dans le dur tout de suite, en allant déloger le gros président du FC Metz, Bernard Serin. Ambiance vin rouge-moustache.
Bonjour Bernard. Vous attaquez votre cinquième saison en tant que président du FC Metz ; quel bilan tirez-vous de ces années ?
Franchement, oui. C’est sûr.
Ça ne ressemble pas vraiment à une réponse ça.
Oh, bof.
Vous ne voulez pas faire des phrases ?
Vous ne voulez pas changer de question ?
Je change de question qu’en échange d’un ragot.
Ok, va pour le ragot. Jacques Rousselot est un ancien albinos gay.
Ça Monsieur Serin, tout le monde s’en doute. Donnez-nous une vraie info.
Métanire est un crocodile.
… Vous ne coopérez pas du tout. Bon soit, j’abandonne. Comment abordez-vous cette nouvelle saison ?
Très optimiste ! Le FC Metz est sur le chemin de la rédemption. Outre un effectif de qualité allemande, nous avons toujours des infrastructures dignes des plus grands clubs français, ainsi qu’un centre de formation formidable. Je suis très serein sur l’avenir. (rire étouffé)
D’autant que naissent d’autres projets en marge du sportif et du club en lui-même ?
Tout à fait. Nous développons actuellement et à une plu grande échelle nos relations avec la Chine, Singapour et toutes ces saloperies jaunâtres de Vietcongs bridés. Nous construisons également un nouveau centre en Afrique. Et enfin, je vais devenir propriétaire d’un club belge qui s’appelle Seraing… ça ne s’invente pas !
Vous le faites pour le club ou uniquement pour vous marrer du jeu de mot ?
50-50.
En admettant que ça marche, quel impact cela pourrait-il avoir sur le FC Metz ?
Ce serait formidable ! Nous pourrions alors recruter des Sénégalais, des Togolais ou même des Burkinabés, puis les prêter à Seraing. S’ils sont bons, ils nous rejoignent, s’ils sont nuls, on les vend comme esclaves.
Un peu cynique non ?
Le FC Metz a longtemps souffert d’être un club sympathique et familial. C’est bien beau de faire la chenille sur le terrain quand on gagne 2-1 contre Sochaux et puis de se taper dans le cul devant les caméras de téléfoot pour avoir l’air sympa, mais en attendant, ça ne fait pas avancer le club ! Moi, j’ouvre le FC Metz à de nouvelles perspectives plus en lien avec la réalité du football moderne.
C’est un attaque directe contre votre prédécesseur, l’emblématique Carlo Molinari ?
« L’emblématique Carlo Molinari » gna gna gna ! Y’en a toujours que pour lui de toute façon. Il s’est retiré il y a cinq ans, il est plus mort que vivant et tout le monde parle encore de lui ! J’en ai ma claque de vivre dans son ombre.
Et donc, vous voulez changer de formule pour métamorphoser le FC Metz ; qu’enfin il devienne « votre » club ?
Euh… oui je crois.
Habile. Merci Bernard Serin d’avoir livré vos impressions. Prenez soin de votre moustache.
Merci Rigobert. Et juste, je ne rigolais pas pour Métanire hein !
Je prends note, merci encore.
Metz que oune contexte :
Metz reçoit donc ce soir une belle saloperie de club estampillé Ligue d’eux jusqu’à la moelle. Le Stade Lavallois mes couilles, surnommé « les Tangos ». Et pour épicer un peu la rencontre, deux anciens messins gangrènent les rangs mayennais : Sébastien Renouard, mi chauve-mi homme, et Guillaume Rippert, élu joueur le plus nul du monde en 2005.
Le FC Metz de son côté, souffre de l’absence de sa brute argentine, Guido Milan, éloigné des terrains pour trois mois, ainsi que de celle de Romain Rocchi, suspendu (comme un saint bol de Jésus Christ). Sinon, tout le monde est là, bronzé et tout chaud pour casser du tangos et faire pleurer Philippe Hintszberger.
Metz que oune match :
-1e : Tous les supporters lavallois ont fait le déplacement. Le parcage reste donc désert.
1e : Le FC Metz a installé un écran géant, qui en fait s’avère être juste un grand diapo d’un peintre en informatique manifestement pas encore au point.
4e : Quand Metz joue comme ça, il a un niveau D1 lettone. Facile.
18e : Manifestement, les Mayennais n’ont désormais plus Laval du coach pour passer le milieu de terrain.
21e : Rippert est encore plus nul qu’en vrai.
24e : Métanire a sûrement bouffé un champignon rouge avant de venir. Il court beaucoup plus droit et paraît beaucoup plus grand.
27e : A moins que ce soit une étoile parce que là il vient de clignoter.
32e : Sakho dribble son ombre et quelques Lavallois déboussolés avant de tromper le cadre et de toucher le montant comme prévu.
35e : Kévin Lejeune n’est pas chaud du tout pour défendre. Rigobert risque fort de n’être pas chaud du tout pour la moyenne. Fils de ton oncle va !
42e : Ok, Choplin est une star du X.
43e : Ok, Marchal est vieux.
Mi-temps.
56e : Metz pousse, mais Laval résiste ; clin d’œil de l’histoire.
58e : Robic dribble, mais Bussmann découpe ; clin d’œil de l’homme-bus.
65e : Entrée du roi Bouna. Semi-molle.
67e : Quelle parade de Carrasso ! Nan, je déconne, les Lavallois ne savent pas vraiment comment passer le milieu de terrain.
69e : Kashi évite la rupture d’anévrisme de peu. Ça sent la fin du match en roue libre.
71e : Choplin est taillé pour la Ligue des Champions. Les yeux dans les poches.
78e : Rigobert n’est pas très friand du lynchage quasi systématique que subissent les arbitres. De plus Rigobert n’est presque pas très friand du lynchage quasi systématique que subissent les arabes. Mais parfois, les habitudes ont la vie dure (comme ma bite) : Hakim BEN EL HADJ vous êtes du caca de chameau, un mangeur de foutre d’obèse et du cérumen de Dalaï-lama.
81e : Quant à vous les Lavallois, vous êtes des Lavalloises.
83e : Des petites bites de Lavalloises.
84e : Des petites couilles de tigre, mais de tigre homosexuel dans un zoo orange de Lavallois un peu efféminé.
86e : Équipe de vilaines petites chiffes molles. Même Adil Rami paraîtrait hétéro en Mayenne.
88e: Metz pousse, mais ça ne veut toujours pas sortir.
91e : Bouna Sarr pénètre dans la surface et centre en retrait, mais à 13,56 mètres de hauteur. Sakho y met du sien mais ne peut toucher le ballon.
94e : Bouna Sarr pénètre dans la surface et centre en retrait, et cette fois au sol : Bussmann était monté au filet et perfore le dernier rempart d’un coup-droit plein centre. 1-0
95e : Joie et confettis.
96e : Ambiance.
Fin.
Les notes :
Johann Carrasso, 3/5 : Le spectateur le mieux payé de Ligue d’eux.
Romain Métanire, 4/5 : Plus rapide et véloce que jamais, Métanire a défendu en mode patron et a attaqué avec l’envie d’un lion. Dès qu’il a fallu faire du football, Métanire a préféré laisser la place à ceux qui savent. Héros discret.
Gaëtan Bussmann, 3/5 : Le sauveur du soir n’avait pourtant pas flamboyé mais l’homme-bus est un buteur qui s’ignore et à force de courage, de duels gagnés, de rigueur, et d’amour du contact avec des fesses de noirs, Bussmann a délivré le peuple grenat et Ingrid Bétancourt.
Sylvain Marchal, 3/5 : Presque aussi lent qu’il est vieux, à moins que ce ne soit l’inverse, le néo-capitaine messin a comblé cette lacune par une science de la défense en ligne et la justesse de son placement. Pendant ce temps-là, Inèz entamait sur le banc sa dix-neuvième partie de Shifumi contre lui-même.
Jérémy Choplin, 5/5 : Alors qu’il vient de débarquer à Metz seulement cinq jours avant le match, Choplin a délivré une grande prestation, toute en justesse et avec tranchant, et sans parler. L’art du football muet selon Charly Choplin.
Ahmed Kashi, 3/5 : Kashi a fait du Kashi pendant une heure avant de devenir aussi utile qu’une bite d’eunuque.
Mayoro N’doye, 4/5 : Et donc Mayoro, plus noir que jamais, a fait le double du taff. Maître des airs, Mayoro est une sorte de Matuidi sauvage, mais en plus mignon.
Yéni N’gbakoto, 1/5 : Pour rester en Ligue d’eux dans son club de cœur, génie est prêt à tout, même à se transformer en Oumar Pouye pendant 90 minutes. Tout nul.
Kévin Lejeune, 1/5 : Ben alors Levieux, on est trop nul et trop moche pour défendre comme ses petits camarades ? On laisse Métanire dans la mouise juste parce qu’on s’en fout ? On s’appelle Kévin et on a une tête d’idiot ? On va bientôt signer à Istres ?
Diafra Sakho, 4/5 : Volontaire, affirmé, vif, rapide, costaud, brouillon, énervé, combattif, et dangereux, Diafra a énormément progressé dos au but, et a saccagé la défense mayennaise à coup de raie fluo et de sprints ravageurs.
Thibault Bourgeois, 2/5 : Après s’être déguisé en l’homme invisible pendant la première période, Bourgeois a été bien plus consistant en deuxième, presque dangereux et appliqué. Le Rooney messin se rode doucement.
Entrés en jeu ;
Bouna Sarr, 3/5 : Le roi Bouna tricote comme une petite pute de luxe, mais saccage des reins par paquet de douze, hein Lejeune ?
Maxwell Cornet, non noté : Le récent vainqueur de la Danone Nations cup est encore un peu tendre pour ses huit ans et demi.
Rigobert Pirès.
Retour gagnant!
Belle acad’ aussi!
On se retrouve demain LDC à l’envers.
Ça va etre un bordel pour académiser ce tour de coupe.
L’équipe est quand même pas mal ça devrait se maintenir assez facilement; j’suis d’accord concernant rocchi l’année passé c’était le meilleur joueur d’Avignon et si le club monte en ligue1(why not?) il avait fait ses matchs avec avignon en Ligue1.
Bref bonne saison pour le Fc metz et une des meilleurs académies d’Horsjeu
Content de retrouver le Rigobert ! Belle Ligue D’eux à venir avec le MC Fetz.
Meilleur academie jamais !
Vive Rigobert !