Nancy – Paris (3-2) : La Chardon à Cran Académie a fait trois tours dans son slip.

3

Un jour, il va faire une connerie.

POURQUOI ENCORE TAPER SUR PABLO NOM DE DIEU DE POMPE À MERDE ??

Salut les Parigots,

En direct de la province la moins invivable de France avec la Belgique, on commémore des batailles qui foutaient en l’air six fois la population de Nancy en moins d’un an, et puis on continue à subir le même procès d’intentions, cette fois de la part des plus grands hipsters du moment du football vrai : la marmaille au grand complet des Dé-Managers, ces héros de la coolitude, qui ajoutent un dérapage anti-nancéien de plus à la grande reprise d’Holiday On Ice exécutée ces derniers temps dans nos propres colonnes. Mais bordel, JE SAIS que certains d’entre vous viennent de chez nous, je SUPPUTE que vous avez plein de tendresse pour les habituels parias des médias, je PRESUME évidemment que les blagues récurrentes sont les plus fédératrices (c’est comme celles sur les Arabes, finalement, hein, ça rassure, ça renforce le quant-à-soi des bons français), mais POURQUOI ENCORE TAPER SUR PABLO NOM DE DIEU DE POMPE À MERDE ??

C’est bien joli d’avoir écrit des milliers et des milliers de pages d’articles tous plus finauds les uns que les autres sur le gegenpressing, l’ontologie substantialiste du meneur de jeu reculé ou le post-structuralisme assumé de Pep Guardiola, mais si c’est pour recycler des blagues façon Vincent Lagaf au milieu de tout ça en se disant que ça va passer, bien mal vous en prend : vous desservez votre propos, les gros. Je tape dur, comme le picon quand tu n’as plus de bière, exactement. D’ailleurs, vous devriez goûter, c’est bien meilleur que ce qu’on le dit. Vous devriez peut-être aussi lire vos confrères, qui ne font pas que publier des tranches de matière fécale sur papier glacé non recyclable.

Défendre, défendre, toujours défendre, c’est bien gentil d’accuser les autres de toujours défendre, mais quand tout le monde attaque et que tu es à un contre cent, tu fais comment ? Personnellement, j’ai choisi d’en rajouter une couche dans l’outrance et la vérolerie, ne m’en voulez pas, mais demandez vous ce que ça vous ferait si Busquets était continuellement traîné dans la boue comme ça (ce qu’il mérite en réalité d’ailleurs, puisque son prénom est Sergio, je le rappelle, et que l’adage veut que tout Sergio soit considéré comme une salope). Ce serait…injuste ?

J’en finis de cette introduction trop longue en rappelant à la ville et au monde que la devise de l’ASNL, (tout à fait ridicule, j’en conviens), est une traduction un peu gentillette de la devise, elle, bien plus agressive, de la ville de Nancy (planquez vous les non latinistes) : « Non inultus premor », ce qui littéralement signifie « ne me touche pas, je pique », (déjà, l’impératif arrive pour te ramener vite fait à la raison), et, si l’on en reprend l’origine historique (phrase prononcée lors de la bataille de Nancy au 15è siècle, Metz était encore un marécage, à l’époque), peut se traduire plus adéquatement par « attention, je subsume que tu vas te faire poncer la gueule à coup d’épée à deux mains par un barbare chaotique mauvais niveau 72 si tu t’avises encore de colporter des informations erronées sur ma belle région et mon club de cœur ». Faites en ce que vous voulez les méprisants, moi je transmets l’information et je m’en retourne jouer au bowling, avec un mec qui entre autres phrases qui sonnent juste, a un jour dit « avec des amis comme ça, on n’a pas besoin d’ennemi »…

Sans rancune les gros, vous aurez tout le loisir de nous taper dessus quand on jouera le maintien la saison prochaine, arc-boutés devant notre surface.

CHARDOLOGIE

La grande parade des absents bat son plein comme un foutu défilé de la Saint Nicolas, en ce moment : Coulibaly et Guidileye sont toujours blessés, et la justice rétrograde et inique de ce pays de constipés sévères a encore frappé contre les sages représentants de nos minorités ethniques. Ainsi le bon Youssef Aït Bennasser se retrouve-t-il suspendu (accumulation de cartons jaunes), et deux petits blancs servent d’alibi aux autorités pour ne pas attirer l’attention sur leur orientation raciste : Geoffraie Faucut ne manque à personne, Clément Lenglet un peu plus.

Dans les buts, un poissonidé à larges nageoires nommé Gui-Roland prend place, en espérant qu’il ne va pas trop se faire nettoyer le bocal.

La défense retrouve le saint Julien Cétout, homme-tout dont le centre est partout et la circonférence nulle part. Mickael Chrétien l’accompagne en défense centrale, flanqué de l’inénarrable Pape Diakhaté, et du génial Vincent Tackle. L’Europe des mous de la bite retrouve donc ses nobles racines chrétiennes, avec cette charnière Pape-Chrétien (je l’ai déjà faite, mais elle est tellement drôle. Rigole, enculé).

Au milieu, l’homme à qui Pablo murmurait de ne pas défendre, mais qui aura tout de même fort à faire pour contenir l’adversaire vu les deux acolytes qu’on lui a collé dans les pattes : Benoit Pedretti, obligé de chaperonner Arnaud Lusamba le puceau, et surtout le jeune poliomyélite Jonathan Iglesias.

En attaque, surprise : Alexis Bousin prend place à gauche à la place de Poyo Hermano. Dalé trône dans l’axe quant à lui, avec Anthony Robic à sa droite pour l’alimenter en centres au troisième poteau.

EUL MÔTCH

-15 Comment peut-on avoir la moindre idée de du niveau de nos adversaires du soir, alors qu’ils ont recruté tout l’onglet « non affiliés » de PES 2008 pendant le mercato d’hiver ? Le club doit avoir 227 joueurs sous contrat, dont des Bocundji Ca, des Romain Grange (on reparlera de toi, petit bâtard), et même des Bakari Koné. Bref, avec autant de déchets, ça ne nous étonnerait pas que Nicollin reprenne la direction du club un de ces quatre.

-10 On peut toujours se rassurer en disant que leur compteur victoire reste bloqué à 1, ce qui les mène à une enviée 20è place, plus communément appelée peuchotte pour qui parle le vosgien couramment.

-5 Pablo n’est pas sur le banc, il est malade, en tribune, couvert sous huit tonnes de coton acrylique et de laine Damart. Bonjour l’odeur dès que ça va commencer à chauffer pour nous.

1 Le Paris Fiotte Club engage, et le ballon n’attend pas plus de onze secondes pour se retrouver en touche. Authentique.

2 Premier centre de Robic, capté par Thébaux. Les Pharisiens répliquent avec un brouillon de frappe, à côté.

5 Nouveau centre, qui se termine par un tir sans angle de Dalé. Thébaux capte à nouveau.

7 Grosse confiance de ce défenseur parisien, qui dégage le ballon en tribune Schuth d’un violent coup de pied, alors que son gardien se proposait tranquilou pour ramasser le ballon. Le F de PFC, c’est pour fébrile, en fait

11 Incompréhensible cafouillage dans la surface du Paris Fried Chicken, qui annonce déjà le boxon à venir et la « défense héroïque » des petits poucets qui résistent tant bien que mal aux coups de boutoir de nos valeureux chevaliers rouges et blancs. La suite s’annonce épique.

13 Diakhaté s’essaye au jeu long. On constate que son point fort reste encore à découvrir.

17 Paris défend à 22 mètres de son but, comme à la maison quand les lignes du rugby sont mal effacées : les repères, c’est utile.

19 Busin tente la frappe, mais le ballon rentre sous terre, tel un rongeur apeuré. Ce serait bien qu’on ait droit aux hormones de croissance en ligue 2, comme en Liga.

22 Lusamba encaisse un joli ramponeau par un Parisien, qui a dû le prendre pour un vulgaire sac de frappe sur pattes. Iglesias se charge de la riposte, en dessoudant un autre Parisien, au hasard. Bel esprit.

29 Un tir chiant de Paris est bien négocié par Ndy. Il était l’œuvre d’un random-Diarra de la ligue 2, qui s’amuse avec nos défenseur depuis le début du match, le gredin. La team Picon n’est pas violente, mais tout de même, la team Picon souhaite ardemment que Vincent Muratori lui explique, à sa manière.

Vincent Tackle, portrait en pieds par Francis Bacon.

32 Au grand soulagement des Parisiens, l’arbitre sonne l’ouverture de l’open-bar : fautes autorisées sur Lusamba.

37 Ça combine comme pour faire du vrai football sur le pré en silicone. La frappe de Pedretti part, mais le cadre est encore trop étroit. Placez ici une blague en rapport avec un anus quelconque.

38 Sur le contre, les Parisiens calment tout le monde en manquant de peu ouvrir le score. C’est pas notre rôle, ça normalement ?

40 Apparemment pas : non content d’être le joueur le plus mauvais de l’univers, Iglesias nous chie dans la colle sévère, en provoquant le penalty le plus évitable de l’histoire du footbanal. Ajoutant l’infamie à la honte, c’est cette pelure galactique de Judas impuissant à la tronche vérolée de Romain Grange qui le tire. Putain, mais tu ne t’es pas dit qu’on allait peut-être chercher ton adresse pour venir violer ton chien et tondre ta femme ? 0-1.

43 Les entraînements de judo reprennent comme à Niort sur Maurice-Junior Dalé. Un nommé L(ad)yhboy s’essaye à une nouvelle prise de son invention, visant à décapiter l’adversaire dans la course. Rouge direct.

Mi-temps

46 Diakhaté est jugé trop mauvais par Pablo, et c’est un euphémisme uruguayen, parce qu’il décide d’envoyer Modou…non, Tobias Badila à sa place en défense centrale. C’est original.

47 Forcément, à 11 contre dix, la pression monte sur les nuls.

Léger déséquilibre dans le rapport de forces.

53 Ce qui ne les empêche pas de nous remonter le côté droit en toute impunité, les sordides petits enculés. Ni de repiquer dans l’axe et de transmettre la balle à Diarra, le sus-nommé. Selon toute vraisemblance, il est le seul sur le terrain à savoir quoi faire de la balle à cet instant, ce qui le pousse fort logiquement à nous planter un cachou bien mérité, et de surcroît plutôt joli. 0-2.

55 Pour fêter la victoire à venir, la défense de Paris se fend d’une deuxième célébration empruntée aux arts martiaux. Cette fois, c’est Robic qui en fait les frais, mais Paris qui le paye cher : deuxième rouge, et penalty.

58 Peu avant le penalty, et après quelques vifs échanges entre la police et le service d’ordre l’arbitre et les visiteurs, Pablo lance Hadji à la place de Iglesias, qui devrait bientôt figurer en guest star dans une vidéo de la L214. Je ne vais pas refaire la blague du « maintenant on passe de 10 à 11 contre 9 », mais putain, j’aimerais qu’on me renseigne plus sur le rôle que Jo Église a joué aujourd’hui.

Robic marque le coup de pied de redressement productif. 1-2.

60 C’est à ce moment que les gênes de héros de Cétout le démangent, et qu’il adresse une frappe de mule, difficilement détournée par un adversaire qui n’y croit déjà plus.

64 Dalé se charge de l’égalisation avec une spéciale course croisée vers le premier poteau, centre à ras de terre de Cétout, but en déviation à bout portant. C’est très joli, Maurice ce que tu fais, en ce moment. 2-2.

Maurice-Junior, si près du sublime.

68 Bousin se voit refuser un penalty évident pour cause de compassion arbitrale exacerbée. De rage, Pablo sort l’innocent blondinet, et lance Poyo Hermano.

70 À match plein de surprise, péripéties rocambolesques : c’est un sauvetage sans précédent dans l’histoire du football que Ndy livre face à un attaquant fripon qui avait échappé à la surveillance indolente de Michael Chrétien (sûrement Diarra, encore). C’est la parade qu’il faut pour qu’on reste dans le match. C’est du vrai football. Je…je…je ne sais qu’écrire.

75 Robic préserve encore un peu de suspens en trouvant le moyen de tirer à côté seul face au but, aux 6 mètres.

79 C’est donc Hadji (qui d’autre, à la fin ? N’essayez même pas, les autres !) qui se charge de remettre la Lorraine à ses pieds, en signant le but de la victoire. Il est la magie, il est marocain, musulman mais pas islamiste, il vous encule tous. 3-2.

80 Cétout joue totalement relâché, à tel point qu’il expédie un centre à Pagny sur Meuse, de joie.

84 Lusamba a toujours la pêche, et depuis que les Parigots se retiennent de charger crampons en avant, il parvient à se démarquer et frapper. Il ne tient plus qu’à toi de cadrer, mignon.

88 C’est un peu plus facile de défendre en avançant quand on joue en « double supériorité numérique », comme dirait le journaliste de l’Équipe qui n’a pas du beaucoup suivre ses cours de maths du collège (de toute façon il sera à la rue sous peu) pour ignorer à tel point le sens du mot « double »… ça n’en reste pas moins plaisant à regarder, ces petites équipes qui tombent comme des mouches à Picot.

89 Dalé rate le quatrième, un dernier petit début de baston s’ensuit, et hop :

Fin du match

LES NOTES

Ndy 3/5 : Pas brillant, mais efficace. Gui Roland plonge toujours du bon côté sur penalty (mais ne les arrête jamais), est toujours à deux doigts d’arrêter un tir assassin…attendez, je dis qu’il est efficace et puis je démontre tout le contraire ensuite, là, non ? Ah oui, mais c’est parce que j’ai encore en tête sa sortie décisive de la 70e.

Cétout 3/5 : Troisième capitaine, le bon Juju a assumé son rôle dans la bonne humeur, et s’est payé une passe décisive sur le but de l’égalisation. Infidèle à une pratique désormais scrutée de près chez les latéraux noirs, il n’a insulté personne, et a même calmé le public qui dilapidait sa rage contre Romain Grange en projectiles. Éco-responsable.

Chrétien 2/5 : Ah c’est dur quand Guidileye n’est pas là pour faire le ménage devant, et Lenglet pour couvrir ses grosses fesses…le chrétien est gentil, mais le chrétien est lent et tend bêtement la joue gauche quand on le prend dans son son dos comme un vulgaire sodomite. Grand bien lui ferait de recommencer à courir un peu.

Diakhaté 1/5 : La roue de secours franchement pas évidente, que tu places sur l’essieu parce que tu n’as pas le choix, mais dont tu sais qu’il va falloir vite s’assurer d’un substitut beaucoup plus fiable. Papy, c’est une galette, en fait. Mais pas celle que tu vomis, celle que tu sors du coffre pour faire les derniers kilomètres qui te séparent de l’autoroute de la montée. Bwah l’image nulle ! Taisez vous.

Muratori 3/5 : Le pacificateur n’a pas besoin d’une arme à feu pour rétablir la paix : il porte ses couilles comme un vrai pacifiste, et assure la sécurité sans effusion. Du moins, tant que vous ne le cherchez pas trop. Restez planqués.

Pedretti 4/5 : À l’origine de deux des trois buts rouges et blancs. Toujours pas de rides. On dirait même que l’air lorrain le vivifie.

Iglesias -10/5 : Nul à chier, puis à se faire une salade avec l’étron fraîchement expulsé. Au bout d’un moment, vas courir sur l’A31 plutôt qu’à Picot, et ne viens pas pleurer si les camions ne te passent pas la balle. Signez un âne et mettez le à sa place, on aura plus de chances

Lusamba 3/5 : On a tôt fait de s’emballer sur les jeunes, mais force est de constater que sa progression est assez satisfaisante, cette saison. Devrait figurer dans les pré-selectionnés de Pierre Ménès pour l’Euro  sous peu. Tiens, d’ailleurs, vous avez déjà vu la tête de Pierre Ménès  à l’âge de Lusamba ? Cadeau :

Busin 3/5 : Bon potentiel, lui aussi. S’il n’est pas trop pressé de signer à Lorient (ou dans tout autre club maintenu en ligue Hein par l’opération de forces trop obscures pour un métaphysicien autrichien), on lui trouvera un rôle la saison prochaine.

Robic 3/5 : Plein de sang-froid sur le penalty, mais pas non plus de quoi en faire plus qu’un reptile un en surpoids. Le Toto reste cependant un bon besogneux, toujours généreux dans l’effort. C’est ça qu’on aime.

Dalé 5/5 : L’homme dont la Lorraine avait besoin, c’est pas Beckamenga, c’est d’un Dalé à ce niveau là.

REMPLAÇANTS

Badila 2/5 : Entré pour jouer ni à son poste, ni dans le rythme. Parfaitement attentiste sur le deuxième but. Bof, quoi.

Hadji NN : We dont need another hero. Parce que tant qu’on l’a lui, la vie est belle comme une voiture volée, putain.

Poyo NN : Pas vu.

NOTE ARTISTIQUE DE L’ÉQUIPE : 4/5

Scandale ! Outrance ! Vos sœurs ont tout pris, couille comprises ! Les dieux du football étaient de votre côté, mais des forces obscures arbitranales ont frappé de leurs rouges desseins, par deux fois, l’un après l’autre, chacun de vos vaillants trompe-la-mort de la charnière centrale, comme par la plus grande des malices, juste après chacun des buts que vous inscrivîtes en bonne et due forme aux chardons décontenancés qui vous faisaient face !

Ignominie du sort qui vous poussera, Parisiens de vos morts,  je n’en doute pas, à vous référer à la première tafiole romantique dont vous trouverez des citations éculées sur les sites hantés par Marc Levy et tous les petits exemplaires de pisse-copies annuels dont il est le prototype. Mais si vous voulez, je vous en donne, moi, de la citation, et pas de la merde : tiens, le principe de Clifford, par exemple : « c’est un tort toujours partout et pour quiconque de croire quelques chose sur la base d’une évidence injustifiée » Eh oui, je ne suis pas d’accord, avec lui, mais on peut dire que vous êtes tombés les deux pieds dans le tort, les gros : se croire à l’abri une fois qu’on mène chez la meilleure attaque de ligue d’Eux au point de laisser tomber le foot pour se consacrer à la lutte greco-romaine, pas étonnant que la bonne moraline vous ait fait rentrer dans le rang.

Autre citation, d’un illustre enculé (je préfère citer les enculés que les copains, ça fait plus classe), mais vrai romantique : « La chouette de Minerve ne prend son envol qu’à la tombée de la nuit. » En substance, ça veut à peu près dire la même chose que tout vient à point à qui sait attendre, mais faut vraiment être un neuneu pour donner des leçons avec des phrases toutes faites comme ça.

Attendez, j’en ai encore plein ma musette à suffisance, au boulot on m’appellerait « le détestable », si j’avais un boulot ! Bon, la dernière, promis, que je tiens de la sagesse populaire française, celle-là : « Paris, Paris, on t’encule ! ».

Bon retour à toi, Romain Grange.

Je crois en Pablo Correa.

Marcel Picon

PS Cette académie a été rédigée avant la parution du beau texte de l’éditeur, ce bel homme, pour fêter l’arrivée du nouvel ordre mondial Horsjeu.net. Toute ressemblance avec un tissu de référence au bowling, au Vietnam et à des cowboys radotants est purement fortuite. Par ailleurs, je me désolidarise totalement de son départ, car vous m’aurez encore sur le dos pour un bout de temps. Amour, gloire, et Horsjeu.net.

3 thoughts on “Nancy – Paris (3-2) : La Chardon à Cran Académie a fait trois tours dans son slip.

  1. Il existe vraiment un « Paris Fried Chicken », le cul entre 10e et 19e, vers le métro Stalingrad. D’ailleurs ce restaurant a une affluence supérieure à Charlety un soir de match.

Répondre à Jean-Claude Pied Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.