Sochaux-Nancy (1-0) La Chardon à Cran Académie a eu droit à son replay.

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Pas d’arrêt sur l’autoroute de la Ligain.

Salut les cocus,

l’ASaNaL a donc regagné la Chine, à pied, bien sur. Mécontent d’avoir vu Cartier se dresser seulement une fois en championnat sur la route de l’hégémonie Lorraine blanche et rouge, un destin goguenard a infléchi le tirage au sort de la Coupe de France pour nous ramener chez ces charlots aux grosses mains d’ouvrier fordistes.

Des Lions sots qui avaient, je le rappelle, bénéficié lors du dernier match d’un penalty parfaitement justifié par les bonnes grâces d’un arbitre, qui, après enquête, s’est révélé être sensible à la cause doubienne, puisqu’il a été fait état de sa trisomie sévère, ainsi que de son incapacité patente à sanctionner l’existence même d’Albert Cartier à hauteur de l’ignominie ontologique qu’incarne ce sous-homme. Depuis qu’il est paché ché Schochaux, les lionceaux se sont dragonneaufiés, et d’irresponsables patrons exploiteurs (mais communistes de cœur, comme quoi il y a vraiment des lectures disparates) ont pris les commandes avec (enfin!) un objectif clair : perdre, à tout prix, en bafouant le football de préférence.

Ancien maoïste devenu Albert Cartier.

Bref, sortis une nouvelle fois par le sort des limites franches et saines de l’humanité, nos chardons s’aventurent encore un coup en terre hostile afin d’affronter un 8-1-1 armé de crocs de bouchers et dards empoisonnés planqués dans les slips (sans organes sexuels, il est facile de cacher tout objet contondant dans un slip sochien). Mais cette fois, Pablo, ce saint homme homonyme de Neruda et Escobar (tandis que certains se tapent des coachs répondant au nom de José, qui est l’homonyme de Mourhino et de divers mannequins de poils), a compris la leçon. Et surtout, il assène férocement cette affirmation à la face du monde, en présentant sa feuille de match : votre coupe de France, vous pouvez bien vous la carrer où Marcel Picon pense, mes gars et moi on vise la montée et rien d’autre. Alors mon petit Bébert, tu peux bien cramer les dernières forces de ton équipe de cul-de-jatte sur ce match et te faire sortir comme un foutre-en-cul par une DH au tour d’après, nous on colle Brice Samba dans les buts, et on fait tourner le reste un peu dans le même style, histoire de coller la dérouillée habituelle aux prochains péquenots qui vont se pointer à Picot. Fin de citation.

Après s’être mouché gracieusement avec la feuille de match et l’avoir tendue à l’officiel avec distinction (« Joder. Tiens, hijo e puta cabron. »), la vérité apparaît toute nue : effectivement, Correa s’en cogne.

Brice Samba est donc bien dans les buts.

Devant lui, la paire de centraux Michael Chrétien – Clément Lenglet est maintenue. Criant manque de variété dans les centraux, à Nancy. Diagne est à la CAN des enfants soldats, et Faitout Maouassa est blessé, tandis que Pablo s’épanche dans So Foot sur son ambition première de garer un taxi devant le but, à défaut d’un bus… bref, la défense tire la gueule, surtout que Tom Bobadila est de retour sur le côté gauche, en remplacement de Vincent Muratori laissé au repos. Idem pour la droite, avec un intérêt supérieur à suivre Geoffraie de Faux cul  : d’une part, pour terminer les présentations (depuis 19 ans à l’ASNL, et jamais on ne l’a vu disputer plus de 7 minutes de jeu d’affilée), et d’autre part, pour se renseigner un peu sur son niveau footballistique, puisqu’il va remplacer Julien Cétout lors du match de championnat, en raison de la suspension injuste et arbitraire de ce dernier.

Au milieu, Pablo a vraiment donné dans le foutage de gueule à l’adresse de Cartier. Qu’il titularise Rémi Walter, en manque de temps de jeu, soit. Mais qu’il place Jonathan Iglesias et Loïc Poyo dans l’axe, comme ça, sans même leur dire ce qu’ils vont bien pouvoir y foutre, il y a de quoi se sentir sali pour Albert.

L’attaque a tout de même l’air un peu moins moqueuse, mais garde malgré cela des airs d’amicale des punks à rats de la place Dombasle : Anthony Robic et Alexis Busin se partagent les côtés. Ne me demandez pas qui joue où, ils n’arrêtent pas de permuter, c’en est vertigerbant. Et le plus souvent, inutile. Youssouf Hadji le Magnanime, brassard au bras, est à la pointe de cette composition parfaitement inepte, chargé de la foutre au fond de leurs buts et de leurs sœurs, une Gopro attachée à la bite, mais pas sans quatre capotes en teflon, parce que sinon c’est sida direct, sans passer par la case seropositivisme. C’est comme ça en Doubie, on ne perd pas de temps avec la gestation.

EUL MÔTCH vu du fond d’un caveau nommé affliction.

-15 Le terrain du jour sera sponsorisé par le Mud day, les bottes Aigle et les engrais Monsanto. Merci à tous ces généreux sponsors, la couche de boue est parfaitement apprêtée pour du football campagnard.

-10 Grosse après-midi sur la chaîne publique, entre ce match programmé après Inspecteur Barnaby, avant du biathlon, et en attendant que la clique de Pujadas, Chabot et consorts prenne l’antenne pour commenter la victoire de Philippot dans le grand est…Heureusement le grand Manu Petit est la, tout en catogan, pour nous parler de foot à l’à-peu-près, et d’autres trucs émulsifiants (« vous voulez dire enthousiasmants, Manu ? Ouais, c’est ça. »).

-5 Le pyjama jaune est de rigueur pour Nancy, tandis que les Sochistes joueront en blanc. L’état d’urgence interdit donc aux spectateurs d’être bourrés avant de regarder des 128e de finale, maintenant.

-2 Cartier. CARTIER. J’ai vomi.

1 Nancy engage.

2 Manu mentionne « l’AX Nancy Lorraine ». On se demande s’il n’a pas en tête l’équipe la plus facile à voler du monde, quand il dit ça. Vivement qu’il parle des Chinois.

4 Iglesias est vraiment petit.

7 Frappe de Sochaux, que Brice Samba capte en pas rumba.

12 Iglesias est beaucoup trop léger.

15 Toko et Kambi est apparemment un seul mec, mais il fait effectivement le boulot pour deux, en face.

18 Les tigrous ne parviennent à faire peur qu’à eux-mêmes lorsqu’ils attaquent. « Moins que sept derrière, on se sent découvert » : proverbe cartien.

21 Nancy met mollement la pression. Poyo est au corner, et si peu probable que cela soit, le tire presque bien. Enfin, le ballon ne passe pas derrière la ligne de but avant que le gardien le capte, disons.

23 16e frappe de Sochaux à côté. L’échauffement suit son cours.

26 De drôles de de combinaisons rappelant les guignolades de Thomas Müller à la coupe du monde animent la partie quand Sochaux obtient un coup-franc. On ignore si ce sont les consignes de Cartier, ou si les six joueurs qui entourent le ballon font une baston de regard pour savoir qui va tirer. Le football est seul perdant, avec ce tir qui va d’abord dans le mur, puis dans les gants de Black Samba.

28 Le cul de Robic : 1. Un Sochiste qui apprend les rudiments du football physique : 0. Jaune pour Toto.

32 Busin, aussi épais qu’un enfant biafrais, est pourtant le seul à se débattre dans cette équipe de Nancy aujourd’hui. Il parvient même à tirer dans le cadre, arrachant des cris d’admiration dans le stade (8 ans qu’on n’avait pas vu ça). Le gardien des lionceaux arrête son tir.

33 Badila est soudain possédé par l’esprit de Vincent Muratori, ce qui lui fait sortir un tacle glissé splendide.

34 Les journalistes se font chier, alors ils interrogent Pablo : « Qu’est-ce qui manque pour parvenir à mieux jouer aujourd’hui ? -Un terrain. »

40 L’école des relances Ndy Assembe a bien formé Brice Samba, qui expédie un ballon très proprement à Belfort.

45 Iglesias trompe son ennui et le nôtre en faisant des fautes. L’arbitre décide de l’épargner, en sifflant la mi-temps avant la fin du temps additionnel. Merci.

Mi-temps.

46 Sochaux engage, et se rue vers le but nancéien. Honte absolue, c’est Jonathan Iglesias qui coupe court à leur assaut.

48 Cuffaut allonge le jeu. Touche. Poyo rate un contrôle. Touche. Sochaux relance. Touche. Etc.

52 On ignore comment ils font, mais les locaux parviennent à foutre un peu le feu dans notre défense. La surface de Samba ressemble à une marée noire à force de piétinements.

55 Le racisme anti-gros est une plaie, mais c’est réel. Aujourd’hui, par exemple, un Anthony Robic a été sauvagement descendu par de méprisables Doubistes, au vu et au su d’un agent de l’autorité compétente, qui n’a pas levé le petit doigt pour l’aider. Parce qu’il était gros. Soutenez la recherche.

59 Frappe de Iglesias. On joue long, on tire de loin…ça pue les prolongations et la victoire de la gauche.

60 Jaune pour un Lionceau, sanctionnant une 67e faute sur Robic. Il était temps, il lui reste deux points de vie.

66 Iglesias est vraiment trop maigre.

70 Le n’importe quoi s’installe en rampant comme un foutu reptile venimeux dans la rencontre, et remplace peu à peu le football. On voit des brouillons d’hommes courir en tous sens, dépourvus de conscience. Depuis son banc, seul un homme veille, stoïque, voyant une défaite parfaitement orchestrée se profiler sous peu. Tandis que son homologue d’à côté avale seau de merde sur seau de merde afin de se mithridatiser en vue de la conférence de presse qui va suivre son triomphe de face d’étron, grâce à son jeu fécal.

73 Poyo tente d’orienter le jeu, mais à 9 contre 12, c’est pas possible… attention, ce douze ne vise ni l’arbitre ni le « public » sochalien (inspirés de la manif pour tous, les dirigeants chinois ont payé des bus à des familles entières pour venir des quatre coins de la France, ce qui a porté la jauge à environ soixante enfants et leurs mamans), mais le double homme Toko et Kambi.

75 Le jeune Bousin, qui ne demande qu’à courir, est retenu dans son élan par un bras scélérat. Jaune pour l’adversaire, et nonoss pour la jeune victime.

77 Hadji sort, remplacé par Dalé.

78 Arrêt de Samba sur une frappe cadrée de l’adversaire. « Quand on cadre ses frappes, on a plus de chances de marquer » assène Manu Petit le Grand.

79 Nouvelle faute d’Iglesias, champion catégories poids négatif de combat de boue. On dirait qu’il aimerait bien rejoindre le vestiaire, lui aussi.

83 Le terrain donne la sensation que les équipes s’affrontent à la surface de Jupiter, en fait. On voit par exemple Busin tenter d’accélérer, puis son brusque arrêt laisse croire à une blessure, mais non : c’est juste qu’il a atteint sa vitesse de pointe.

86 Jaune pour un Peugeot pour une nouvelle faute sur Robic, qui n’aura donc pas fait que pleurer.

90 Geoffrey Cuffaut prend lui aussi un jaune, sur un contact aérien viril avec un adversaire qui refuse de jouer le ballon. La logique, tout ça… « Il faut catapulter sur ce coup-franc. -Vous voulez dire capitaliser, Manu ? -Ouais, c’est ça. »

92 Nancy rate le hold-up de peu avec une belle percée de Walter qui lance Robic pour le centre. Un défenseur sort le ballon en corner juste devant son gardien, alors que Dalé attendait en embuscade. Sur le corner, le même Dalé se fait rigoureusement plaquer au sol par la défense sochienne, mais l’arbitre préfère siffler la fin du match à un penalty.

J’avais raison pour les prolongations, moins pour le pronostic politique.

91 Pedretti entre sous les sifflets du public très classe du stade Jérôme Bonaldi. À la place de Robic, qui part direct en réanimation, tous les membres brisés.

93 Bousin se faufile partout et tente des trucs fort peu glorieux d’attaquant roublard. Mais c’est qu’il voudrait nous faire passer au tour suivant, ce gland !

94 Pedretti se fait siffler à chaque ballon touché. Tandis que Cartier est tranquille sur son banc. Les Sochaliers n’avaient pas besoin d’apporter une preuve supplémentaire de leur vacuité d’esprit, mais peut-être que tout le monde ne savait pas encore… ? On s’en branle : personne ne regarde. Mourrez tous dans votre cratère chinois.

96 à la suite d’une action lisible comme une affiche de Force ouvrière après trois barons de Grolsch, Sochaux ne marque pas un but, mais le célèbre quand même, car la balle est bien entrée dans la cage de Samba. C’est en fait Dalé qui les a aidés, pris de pitié pour cette bande d’éclopés finis à la pisse. 1-0.

99 Évidemment, Nancy se met à jouer un peu plus haut. Ou plutôt, Sochaux se terre prudemment à 25 mètres de ses buts, et entasse des sacs de sable devant sa surface en prévision de la tempête qui va suivre. Busin a une occasion d’égaliser, mais tape au-dessus.

101 Busin y croit encore, et du coup Nancy aussi. Une tête de Puyo prend le chemin de la lucarne et il faut une parade monstrueuse de Camara pour que le score reste à l’avantage de Sochaux.

103 Iglesias sort enfin, remplacé par Coulibaly.

106 Y a rien, et hop, faute. Devinez pour qui.

110 Énorme occasion pour Bousin, bien servi par Coulibaly. C’est sorti en corner in extremis. Ces galopins ont le toupet de nous y faire croire jusqu’au bout, c’est éreintant.

113 Sochaux se plaint à l’arbitre qu’il a laissé jouer alors qu’un des leurs était au tapis, attendant que ses crampes passent en se roulant dans la boue. C’est sans compter sur le fait que Nancy avait joué pendant 103 minutes à dix, sans la moindre compensation jusqu’à maintenant…

116 Cuffaut confirme auprès de ses détracteurs : il est bien nul, au moins autant qu’on le soupçonnait.

117 Walter, en revanche, semble se bonifier à chaque minute. S’il continue comme ça, il devrait marquer vers la 224e minute.

118 Moussa Sao n’est pas Moussa Sow, il vient du foot-sale, ce qui fait qu’il ne connaît pas la règle du hors-jeu ; il commet aussi des fautes de salope, et est pourvu d’une authentique tête de bite qu’on aimerait circoncire à la hache d’incendie. Il joue au FC Sochaux et semble en être fier, ce qui le place pas loin du top de mon hit-parade des esclaves sexuels sidaïques. Cela m’émoustille quand il essaye de marcher sur la cheville d’un de nos joueurs, juste pour se venger d’être nul.

120 Au bout de l’ennui, Nancy peut enfin fêter la défaite.

LES NOTES des nuls

Samba 3/5 : Il a pu bosser son pas basico et quelques giro de dama, mais pas n’a pas réussi à faire le gardien de but sur l’action victorieuse de Sochaux. A été prié de rentrer à Nancy en bus, et pas en stop.

Cuffaut 2/5 : Lundi, contre Valenciennes, le danger ne viendra pas du couloir droit.

Chrétien 3/5 : Tranquille comme un pape.

Lenglet 3/5 : Meilleur Nancéien.

Badila 2/5 : Lundi, contre Valenciennes, il ne jouera pas.

Walter 3/5 : Il a besoin de temps de jeu, il prend les chances qu’on lui offre. C’est bien.

Iglesias 0/5 : C’est fatigant, parce que Pablo l’encourage manifestement à continuer dans le football, alors qu’il n’a même pas les capacités à rester debout en cas de vent fort.

Puyo 2/5 : Placé dans l’axe par Pablo avec la consigne de ne créer aucun danger, il a parfaitement suivi les recommandations du coach, et a évité tous les ballons. A été un peu désobéissant en fin de match, quand il a retrouvé son côté gauche, là où il est plus dangereux. Enfin, pas vraiment pour l’adversaire.

Busin 4/5 : Jeune homme de bonne complexion, excellente condition physique, enthousiasme et mental à toute épreuve, cherche équipe de foot. Rép. souhaitée avant lundi.

Grobic 2/5 : ça va être dur après les fêtes, j’espère qu’il ne les passe pas dans le Périgord ou en Alsace…

Hadji 2/5 : Trop vieux pour ces conneries.

LES NOTES des post-nuls

Dalé 3/5 : Quatrième but en quatre match, celui-ci était presque aussi libérateur que les autres.

Coulibaly 1/5 : Non mais ce palier, tu aurais peut-être du le franchir un peu avant, non ?

Pedretti 3/5 : Le patron, le vrai.

NOTE ARTISTIQUE DE L’ÉQUIPE : 1/5

Depuis bien longtemps, on ne s’était pas tant ennuyé devant un match de ligue deux… ah mais ? Attendez…C’était la coupe de France !

C’est dire si on s’en branle, étant donné les enjeux de chaque compétition : soit aller encore arpenter des stades nuls aux quatre coins de la sombre France pour faire plaisir à des postiers et autres fils de dentistes de campagne, et se faire sortir par Paris ou Saint-Etienne dès que le sacre se rapproche, soit continuer à terroriser des prétendus professionnels du foot qui fantasment de retrouver leur tranquille promotion honneur des débuts dès qu’il s’agit de nous affronter pour monter en ligue Hein. Le choix est vite fait. Et Pablo fait toujours le bon choix.

Quant à déplorer le niveau comme l’Équipe qui titre que la Ligue deux est au plus mal, n’exagérons rien, et surtout, relativisons : Nancy a été sorti par un « club » de ligue 2 entraîné par un laniste enragé, alors qu’on alignait une équipe C bis de 13 ans et demi de moyenne d’âge. Tandis que Metz, par exemple pris au hasard, a effectivement été éliminé quasiment à domicile par des cheminots et des mineurs éclopés en pré-retraite, en jetant toutes ses forces dans la bataille. Dijon de son côté, est venu mourir une nouvelle fois en Lorraine (enfin, en Moselle), étrillé par un club sans nom ni emblème (à part peut-être une motte de terre noire saturée de minerais, impropre à toute culture). Là, oui, ça ressemble plus à de la décadence et de la perdition.

Bref, perdre comme ça, c’était presque moche, mais qu’on se le dise : ça faisait partie du plan. Pablo le sait, et maintenant, il demande qu’on reprenne le football sur de vraies bases saintes et éthiques, en commençant par faire place à Valenciennes : Ave Pablo, ceux qui vont mourir te saluent.

Je crois en Pablo Correa.

Marcel Picon.

2 thoughts on “Sochaux-Nancy (1-0) La Chardon à Cran Académie a eu droit à son replay.

  1. Vous jouerez la montée (pour mieux redescendre) quand nous jouerons le maintien (et peut-être la CDF).

    Ceci étant, tant de fiel étalé pour un match ô combien chiant !! Je m’incline.

    C’est bien de croire en Correa et au 10-0-0.

  2. Essessionnel !

    Pondre une académie niveau ligue des Champions sur un immonde match de coupe de Rance… chapeau l’artiste !

    Pas de Cartier, Pablo président !

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