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L’Europameisterschaft (E-M)approche à grands pas et je ne vous cache pas qu’il me tarde de voir mes protégés débuter cette compétition. Déjà, parce qu’on se pointe au pays de Marc Dorcel avec une Mannschaft qui a une sacrée gueule. Ensuite parce que, c’est bien connu, l’Allemagne et les matches amicaux, ça fait 2.

En 2011, on avait ainsi pu meubler les matches de qualification (vite torchés, dans un groupe « A l’Allemande »), avec des victoire de prestige contre l’Uruguay, le Brésil et les Payx-Bas (fessés 3-0). En cette année paire, retour à la normale avec des matches amicaux juste là pour permettre aux Munichois de jouer quelques matches de plus.

Ainsi, on a commencé notre préparation par une défaite contre notre bête noire des matches amicaux, la France. Une Frankreich qui n’en finit plus de se venger de 40, de 82, de 86 et qu’on n’a plus battu depuis… ah ben 86 justement. Faudra juste un jour expliquer aux Français qu’on veut bien leur laisser les 329 prochains matches amicaux  tant qu’ils ne nous battent pas en compétition. Comme les Français me sont sympathiques, un pays où une candidate blonde représentant un parti nazi recueille 1/5e des suffrages à une élection ne peut m’être que sympathique, je ne leur en tiens pas rigueur et leur souhaite un bel Euro. Note que si nos chemins se croisent durant l’EM, on aura sans doute moins envie de leur mettre l’équipe B dans les pattes. (Oui Tim Wiese, tu es dans l’équipe B, désolé).

Par contre, débouler en Ukraine avec une équipe (certes privée des Munichois, laissés au repos avec la finale de la CL) qui vient de se faire ridiculiser par la Suisse (défaite 5-3 à Bâle) ne pouvait se faire sans victimes collatérales. Jogi Löw a tranché dans le vif, et certains n’ont pas survécu à cette défaite.

 

Die recalés.

Löw avait décidé de voir large avant de divulguer sa liste définitive. 27 joueurs étaient ainsi conviés à préparer l’Euro, soit 4 joueurs de trop. Avant même le dernier match, le défenseur Aogo, le milieu de Dortmund Kevin Großkeutz et les attaquants Kießling et Helmes sont priés d’aller faire chier les Espagnols sur les plages des Baléares.
Une 1e indication : On ne va débouler en Ukraine pour tester quoi que ce soit. Le sélectionneur s’appelle Joachim Löw, pas Laurenz Weiß…

En concurrence pour les dernières places, 3 gardiens pour 2 places (aucun intérêt de débouler là-bas avec 4 gardiens), les 2 puceaux Draxler (Schalke 04) et Gundogan (Borussia Dortmund), les jumeaux Bender, mais aussi Mertesacker et Schmelzer. Une dernière incertitude concerne l’attaque. Ce sera soit Cacau, soit un milieu polyvalent.
Histoire de régler l’affaire, Löw a décidé de profiter de l’absence des Munichois à Bâle pour faire ses derniers essais et laisser leur chance à ce beau monde. La branlée subie là-bas, 5-3 pour Schweiz,  aura au moins permis de clarifier les choses et de rendre évidente la présence de certains joueurs.

Offerte par l’Ecole des évictions de dernière minute Mickael Landreau, voici la liste des recalés.

 

 Marc André Ter Stegen, Borussia Mönchengladbach

Elu meilleur gardien du championnat, un an après ses débuts en pro, il a fêté sa 1e titularisation dans les buts contre la Suisse. Vu le score, on espère juste pour lui que ce ne sera pas la dernière.
Après des performances impressionnantes en réserve et chez les jeunes, le gardien du Borussia Mönchengladbach ne pouvait être décemment écarté sans que Löw ne le teste (Cacedédi à Carasso) Néanmoins, à 19 ans, il aura d’autres occasions de prouver qu’il est un solide concurrent à Manuel Neuer.

 

Julian Draxler, Schalke 04.

 Le gamin le plus brillant du pays regardera l’Euro depuis sa télé. Après ses débuts tonitruants avec le club de Gelsenkirchen, devenant au passage le 2nd joueur le plus jeune titulaire de l’histoire de la Bundesliga, il lui reste néanmoins pas mal de matches internationaux pour se consoler. Le milieu offensif est en effet sélectionnable dans les rencontres des U18, U19 et des Espoirs. Après une saison très réussie avec Null-Vier, on est à peu près certain de revoir très vite chez les grands.

 

Sven Bender, Borussia Dortmund.

Autrement connu outre-Rhin sous le nom de Karl-Heinz Pas de Chance. Frère jumeau de Lars Bender (qui figure, lui, parmi les 23), il est victime du Kollosal embouteillage du milieu de terrain allemand. Dur dur de se faire une place entre les Müller, Khedira, Schweini, Kroos ou Götze. Au moins il pourra mettre dans le nez de son frère qu’il aura été champion. Pas avec Leverkusen que ça risque d’arriver à Lars…
Paraît qu’une figuration dans Les frères Scott est prévue.

 

Claudemir Jerônimo Barretto, dit Cacau, VFB Stuttgart.

Ecarté au profit du Gladbacher Marco Reus, il dit, à 31 ans, sans doute au revoir à la Mannschaft. Sélectionné pour la 1ere fois à 29 ans, le Brésilien naturalisé paie la saison pourrie du VFB et l’indéboulonabilité des 3 sélectionnés. Le choix de Löw n’est pas forcément scandaleux, si on considère que Gomez et Podolski ont enfilé les buts toute la saison, que Klöse reste Klöse et que les Müller, Ozil, Reus, Schürrle et Götze sont des milieux très offensifs. Néanmoins, on va débouler en Ukraine avec uniquement 3 attaquants de métier et sans Das Joker, ça fait light quand même.

 


De dépit, Cacau s’est lancé dans la chanson.

 

 

Die 23.

 

Malgré les nombreuses tentatives de la presse Allemande pour saupoudrer cette sélection de suspense, il n’y a pas de surprises dans le choix final de Löw. Les 23 sont quasi ceux attendus et l’effectif retenu est le suivant.

 

Die Torwarte

 

Le Titulaire :

Manuel Neuer, Bayern München.

Lancé a capella par Löw en 2010 suite au décès de Enke et à la blessure d’Adler, Neuer est l’indiscutable numéro 1 au poste de gardien. Les raisons sont multiples :

  • Il est monstrueux.
  • La finale de LDC a définitivement démontré qu’il est complètement fêlé et imperméable à la pression.
  • On en a pris 5 sans lui contre la Suisse.
  • Il joue au Bayern.
  • Il est monstrueux.
  • Il a réussi la fusion entre Thomas Price et Ed Warner.
  • Il est vraiment monstrueux.

Il aura pour mission de compenser les lourdeurs de sa défense, et faire le foufou lors des éventuelles séances de pénalties. Si tout va bien, le meilleur gardien du tournoi, c’est lui.

 

  Manuel Neuer est capable de trancher un ballon de Ronaldo à la main tout en faisant coucou à ses potes au milieu du terrain.
Monstrueux qu’on vous dit.

Les 2 mecs qui vont passer 1 mois et demi à prendre des Karamels à l’entraînement :

Tim Wiese, le tatoué du Werder, toujours autant tricard auprès de Löw, et Ron-Robert Zieler, l’excellent gardien d’Hanover.

 

 Abwehr :

Il fut un temps où la défense allemande, c’était 2 moustachus dans l’axe (genre Köhler, Berthold ou Buchwald) et 2 mecs sur les côtés qui ne passaient pas le milieu de terrain (sauf pour tirer les pénalties inexistant en finale de coupe du monde). Ces 4 là imprimaient le rythme « à l’Allemande », à coup de passes dans la largeur, de temporisation et d’ouverture létale en profondeur. Ce temps-là est révolu, la faute à la volonté de Klinsmann de prendre le jeu à notre compte et de jouer de manière plus offensive.
Bien aidée par une génération où pléthore de milieux de terrain s’amuse à péter les reins des mecs d’en face, la Mannschaft assume désormais le jeu et mise moins sur sa défense. Si c’est bien sympa à regarder, l’Allemand n’en a cure. Il constate juste qu’avant, on gagnait 1-0 en étant bouffé tout le match, maintenant on perd à la Française, comprendre avec panache et des regrets.
Du coup, le gros chantier de Jogi Löw reste cette assise défensive, où les solutions de rechange restent limitées. Ainsi, on a quasiment un remake de la défense du Bayern (sans Van-Buyten, rassurez-vous) à laquelle se greffe Hummels, un ancien Bavarois. Si l’associaton Lahm, Badstuber, Hummels et Boateng devrait ressembler à la défense-type, ces 4 là seront sur le grill. Une hypothétique victoire finale incomberait aux créateurs et aux attaquants, la défaite serait du fait de la défense.

Du coup, le gros chantier de Jogi Löw reste cette assise défensive, où les solutions de rechange restent limitées. Ainsi, on a quasiment un remake de la défense du Bayern (sans Van-Buyten, rassurez-vous) à laquelle se greffe Hummels, un ancien Bavarois. Si l’associaton Lahm, Badstuber, Hummels et Boateng devrait ressembler à la défense-type, ces 4 là seront sur le grill. Une hypothétique victoire finale incomberait aux créateurs et aux attaquants, la défaite serait du fait de la défense.

 

 Philipp Lahm, Bayern München.

Arrière gauche, arrière droit, ailier, milieu, capitaine du Bayern, de la sélection, professeur dans plusieurs écoles Philipp Lahm (Ecole des débordements-centre-but, Ecole des tacles sans faire faute, Ecole du remettage de brassard humiliant, Ecole des 8 poumons), co président de l’Ecole Laurent Romejko du gars qui a toujours 16 ans et de la Bundeschule des Pralinen.

Intraitable derrière, indispensable dans la construction, docteur es tacles, es relance, es centre, es placement, Lahm, c’est l’histoire du plus petit de l’équipe qui succède tour à tour à Van Bommel et à Ballack au capitanat du Bayern et de la Deutschemannschaft. Le seul mec au monde capable de te donner envie d’être arrière droit (ou gauche).

 

Mats Hummels, Borussia Dortmund.

Double champion en titre avec le Borussia, il a été de toute la campagne d’éliminatoires. Pas encore au niveau de ces performances en club, il est régulièrement sur la sellette dès qu’il s’agit de matches internationaux. S’il reste à 23 ans néanmoins un titulaire en puissance dans l’axe, il est temps pour lui de définitivement s’installer dans cette équipe et d’aller rejoindre Sammer dans la légende du football dortmunder.

 

Holger Badstuber, Bayern München.

Le gars jamais indiscutable mais qui réussit toujours à finir dans les 11. Il ne devait pas participer à la CM 2010, Westermann se blesse, il y va et débute le 1e match. Pas transcendant avec le Bayern, Heynckes le relance après l’arrivée de Boateng sur le côté. En concurrence avant les qualifs, Friedrich puis Mertesacker se blessent et le revoici quasi assuré d’une place en défense centrale.

 

Jérôme Boateng, Bayern München.

Frère de.
Auteur d’une belle saison avec le Bayern, l’ancien Hamburger puis Citizen peut être aligné à droite, à gauche ou, si besoin, dans l’axe. Indiscutable depuis la coupe du Monde en Afsud, une place parmi les 11 lui semble offerte, reste à voir à quel poste. Indice : lors du dernier match contre Israël, il jouait à droite.

 

Per Mertesacker, Arsenal.

De retour après une grosse déchirure à la cheville, le « Grand-Per » a été titularisé contre Israël, histoire de retrouver quelques repères et accessoirement de remuer les puces d’Hummels. Toujours aussi lent, il reste le défenseur devant lequel tous les attaquants se présentent en étant sûrs de lui casser les reins… et repartent la plupart du temps sans la balle. Un jeu de tête très précieux et un sens du placement hors-pair lui permettent de compenser son manque de mobilité, il reste pour l’instant derrière Hummels.

 

Benedikt Höwedes, Schalke 04.

Le cauchemar des commentateurs français. « HO Wé Dez », « Heu vé detch », « Hou v’ dech »… n’en jetez plus, c’est marre.
Membre de cette génération 88 qui flambe en Bundesliga et en sélection, le capitaine de Null-Vier n’a qu’un seul défaut : avoir pour principal concurrent Philipp Lahm. Dur avec ça de se faire une vraie place en équipe nationale… surtout quand t’en prend 5 dans le buffet contre la Suisse…Du même profil que Boateng, il est néanmoins assuré de rentrer réhulièrement en jeu, tant sa polyvalence (dans l’axe ou sur l’un des côtés) peut compter dans une telle compétition.

 

Marcel Schmelzer, Borussia Dortmund.

Arrière gauche, comme Philipp Lahm, mais en moins bon. Au moins il a un prénom rigolo.

 

 Lahm est également pressenti pour le prochain volet des aventures d’Indiana Jones, intitulé A la poursuite du tricot gris.

Mittelfeld :

On entre dans le vif du sujet avec l’inventaire des milieux de terrain dispos. La liste fait vraiment peur tant la concurrence est rude dans cette partie du terrain. Entre milieux infranchissables, dribbleurs foufous, distributeur classieux et artilleurs longue distance, Löw a du méchamment cogiter pour faire son choix. Si on part avec seulement 3 attaquants à cet EM, c’est avant-tout parce qu’on y déboule avec un le milieu de terrain le plus dense du continent. Voyez donc :

 

Bastian Schweinsteiger, Bayern München :

L’âme de l’équipe s’appelle « Bastien Tracteur à cochons », est surnommé «  petit cochon » (Schweini) par la chancelière, a une peau dégueulasse, et sort d’une saison qu’il a terminé sur un tir au but sur le poteau en finale de CL. Hormis ça, c’est juste le meilleur milieu défensif d‘Europe. Lui manque juste la consécration internationale qui le fuit depuis trop longtemps.

 

Sami Khedira, Real Madrid :

Le 6 madrilène est à peu près assuré de débuter l’EM en tant que titulaire, formant une Kollosale charnière avec Schweinsteiger. Au sortir d’une saison parsemées de pépins physiques, Khedira va arriver frais comme un gardon et gonflé par la confiance acquise avec le Real. Plaisir de voir un mec qui n’a pas perdu en finale de CL, lui.

 

Mesut Özil, Real Madrid :

Le maître à jouer de l’équipe est attendu comme l’une des grandes attractions de cet EM. Enfin champion avec le Real, il marche sur l’eau en sélection, enquillant buts, passes dé et performances de tout 1e plan. Si le madrilène est en forme, on risque de tout péter.

 

Toni Kroos, Bayern München :

Le gars qui a raté l’occasion d’éliminer l’Espagne lors de dernière CM va avoir la tâche difficile pour trouver du temps de jeu dans cette équipe. Bloqué par Ozil ou Schweinsteiger, il partage avec Müller le statut de joker de luxe. Son jeu balle au pied et sa faculté à se créer des occasions font de lui le remplaçant tout trouvé de Podolski à l’heure de jeu, à moins que Löw ne le préfère en électron libre devant la charnière.

 

Mario Götze, Borussia Dortmund :

Das Große Pépite est né en 92, est déjà double champion d’Allemagne et arrive à l’Euro la baver aux lèvres. Il n’a joué que 26 matches cette saison avec le Borussia et déboule là pour tout casser et vous prouver que Super Mario, c’est lui.

 

André Schürrle, Bayer Leverkusen :

L’ancienne révélation de Mainz est passée par le club maudit qu’est le Bayer. Forcément, il y a fait une saison de merde et arrive là pour sa polyvalence. D’avantage doublure d’un Podolski ou d’Ozil, il n’aura assurément pas beaucoup de temps de jeu mais qui sait, un destin à la Müller l’attend peut-être.
PS : ce mec n’a que 22 ans.

 

Thomas Müller, Bayern München :

Die Revelazion aurait pu être là nouveau le héros de tout un Land en finale de CL. Il aura fallu un coaching tout pourri et la rentrée de Van Buyten pour ruiner la fin de saison du Bayern et de l’ex meilleur jeune du monde. Après un Weltmeisterschaft impressionnant en Afrique du Sud, il a eu du mal à confirmer avec le Bayern tout le bien qu’on pensait de lui. Infatigable relayeur, buteur opportuniste, son état d’esprit conditionnera la réussite de l’Allemagne.

 

Ilkay Gundogan, Borussia Dortmund :

Convoqué pour la 1ere fois lors de la réception du Brésil, le Borussian est la seule petite surprise de cette sélection. Ancien de Nürnberg, il est surtout là pour découvrir le zonder haut niveau. A moins qu’on ne joue encore la petite finale…

 

Lars Bender, Bayer Leverkusen :

Illustration du génie de Löw : ne prendre qu’un seul des jumeaux Bender permet à l’autre de le remplacer en cas de blessure. On sera donc la seule sélection à 24 joueurs. (insérer ici un rire diabolique).

 

 

 Khedira a l’entraînement. Le groupe vit bien.

 

Sturm :

A mes yeux la grosse interrogation de cette sélection.
Certes on déboule là avec 3 valeurs sûres et expérimentées, mais malgré les solutions de rechange que peuvent être Müller, Schürrle, Götze ou Kroos, mais ils ont le défaut de n’être … que 3.
J’espère sincèrement que Klöse aura la bonne idée de ne pas se blesser.

 

Miroslav Klose, SS Lazio Roma :

Le meilleur attaquant allemand de la décennie arrive au moment clé de sa carrière. A la fin de ce tournoi, il aura soit été le malheureux finaliste d’une coupe du monde, d’un euro, 2 fois demi-finaliste et l’éternel étendard de cette équipe de looser, soit sera devenu l’égal de Gerd das Bomber Müller en remportant le tournoi, portant aux nues la légende des granzattaquants germaniques.
De retour aux affaires avec la Lazio, il reste l’attaquant le plus classe du monde et le meilleur joueur de tête depuis Morientes. Comme en plus il n’est jamais passé à côté d’une phase finale…

 

Mario Gomez, Bayern München :

J’ai toujours pensé que Gomez était la plus grande supercherie du FuBball actuel, une insulte à la technique. Juste un type capable de claquer des buts de raccroc à Bochum ou à Bielefeld. Que nenni, die Tormaschine sort de 2 saisons à plus de 30 pions et a marqué contre adversaire rencontré en éliminatoire. Sa saison aura été émaillée de triplés en championnat, de quenelles en CL mais, malheureusement pour lui, d’une finale de CL ratée. Dans un système à une seule pointe, il sera titulaire. La balle est dans son camp, enfin, dans ses grands pieds.

 

Lukas Podolski, FC Köln / Arsenal :

Comme en chaque année paire, Prinz Podi s’est décidé à se sortir les pouces. Il aura fallu que Köln soit au bord du précipice pour que la tête de con la plus célèbre de Germanie montre qu’en fait, quand il veut, il est énorme. Histoire d’arriver serein en Ukraine, il aura même eu le bon goût de gérer son transfert avant de commencer. Ca, au moins, c’est fait. Reste plus qu’à ne pas faire regretter Tonton Arsène de son choix.
Voilà le groupe Allemand.Mine de rien, Löw réussit l’exploit de réunir une équipe dont une bonne partie est née en 88 et après, tout en ayant déjà goûté aux grandes compétitions internationales.
On se donne rendez-vous dans quelques jours pour la 1e rencontre, contre nos meilleurs ennemis, les Oranje.

 

 

Küssen, Ballack Obama.

10 thoughts on “La Klaquette – Moustache akadémie fait sa revue d’effectif

  1. Même principe pour Gomez, j’ai pas compris comment il avait fait pour passer de futur bide à mec plus fort que ce qu’on pensait…

  2. penses tu que que la réussite actuelle des joueurs du bayern (ironie inside) aura une influence sur l’equipe entiere?

  3. Tiens, j’ai oublié Reus.
    Sinon pour répondre à Andreas,le Bayern reste la locomotive du club et la culture de la gagne y prédomine. En toute honnêteté, qui aurait parié un centime sur le Bayern en début de saison? Après, le foot reste un sport avec son lot d’incertitude, mais il n’en reste pas moins qu’ils arrivent plus rassurés que s’ils s’étaient fait torcher en 1/4 contre Nicosie.

    Après, on compte aussi un beau contingent du borussia, qui arrive avec la toute la confiance du monde, plus les madrilènes, qui ont du prendre 5 cm de tour de crâne cette année et une bande djeuns prêts à tout péter.

    Si on a un poil de la réussite qui nous a manqué sur les derniers championnats internationaux, on ne sera pas loin du compte.

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