La LOSC Académie note Lille-CSKA Moscou (2-2)

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Michel Saint-Doux a muté pour la LDC.

« On est orgueilleux quand on a quelque chose à perdre, et humble quand on a quelque chose à gagner. » Cette sentence d’Henry James a cela d’intéressant qu’elle va à l’encontre de ce que l’on a pu voir mercredi soir au Temple. Alors que le LOSC se dirigeait vers une première victoire méritée dans cette phase de poule de LDC, le LOSC a péché par excès d’orgueil mal placé ; là où un peu d’humilité lui aurait certainement permis de tenir ce match jusqu’à sa fin.

Si toutes les réactions d’après-match vont dans le sens d’une fin de match placée sous le signe du bétonnage, se prendre le but égalisateur à la 90è minute sur un contre donne tout de même un éclairage contraire aux propos du Prophète et de ses brebis. M’enfin revoyons ensemble le film du match.

La compo :

Landreau – Debuchy, Basa, Rozehnal, Béria – Mavuba, Balmont, Pedretti – Obraniak, Sow, Hazard

Vous l’aurez compris à la lecture de cette composition de départ, les mauvaises surprises se répètent d’un match à l’autre. Basa est de retour mais Chedjou est finalement forfait; Rozehnal enchaîne donc une deuxième titularisation en quatre jours, lui qui n’avait pas joué depuis la fin de saison dernière. Si le reste de la défense et le milieu de terrain sont inchangés, une nouveauté apparaît devant. Payet surprenant forfait d’avant-match, Obraniak prend sa place et Joe Cole continue de squatter le banc.

Le LOSC rentre bien dans son match. Le ballon circule de pied en pied, avec plus ou moins de réussite, comme à l’accoutumée. Peu d’occasions à se mettre sous la dent dans le premier quart d’heure. Le match s’emballe un peu à la 19ème, sur un corner lillois qui s’achève par un retourné de Sow qui, avec un peu plus de jugeote, aurait pu tenter autre chose. Mais visiblement sa tentative a donné des idées à ses coéquipiers puisque dans la foulée c’est au tour de Pedretti de s’essayer au ciseau retourné, et de nouveau l’abstinence aurait été préférable. Néanmoins la partie est lancée. Et toujours autour de cette 20ème minute, l’équation qui pique : arrachage de cheveux + pleurs + insultes = Sow seul devant le gardien (volant qui plus est sur le coup). Un raté monumental, qui vient heurter l’intelligence de jeu de tout footballeur amateur du dimanche matin (hormis évidemment les mecs au Q.I. Sowien). Pourquoi tenter un extérieur du droit quand on a en face de soi un gardien en lévitation alors qu’un petit intérieur du gauche lui aurait permis d’ouvrir le score. Por Qué?! Passons avant que je devienne tout vert et ne déchire ma soutane de rage. Après dix minutes de domination stérile, les dix qui vont suivre vont enfin aboutir à l’inévitable ouverture du score losciste. C’est d’abord Balmont, possédé par le démon du jeu hier soir, qui s’infiltre dans la surface moscovite en profitant des appels de Sow et Obraniak pour adresser une belle frappe repoussé par Gabulov. S’ensuivent des tentatives plus ou moins heureuses de Béria, Hazard (par deux fois), Debuchy ou encore Pedretti. La pression monte, le public s’emballe, ne manque plus qu’un but pour concrétiser une première mi-temps maîtrisée. On joue la 45ème minute, corner côté gauche pour Lille. Sow reprend sur le poteau et immanquablement dans ces situations (insistons sur le pluriel) Michel Saint-Doux se retrouve à genou, la tête entre les mains, la bave au bord des lèvres, mais puni par le Saint-Esprit de sa propension à se taper la tête contre les barres de sécurité du Temple, il loupe le but de ce même Sow, sur une remise de Rozehnal et une subtile Madjer. Peut-être faut-il y voir en fait, cher(e) lecteur(trice), la grâce d’une intervention divine. En effet, le Seigneur sachant que seul son obligé aurait pu déceler qu’il donnait un coup de main aux brebis, ce qui aurait entraîné chez Michel Saint-Doux, modèle de probité, un élan de consternation qui l’aurait obligé à écrire à l’UEFA pour dénoncer cette triche manifeste, a forcé le destin en envoyant le tir de Sow sur le poteau. L’attention de ce dernier détournée, il ne restait plus qu’à conclure ce plan indigne. Non parce que quand même, me faire croire que c’est comme des grands que Rozehnal et Sow ont réussi à être décisifs, on me la fait pas. Passons sur cette analyse aussi vraisemblable que de voir Philippe Lucas parler de football (quoi c’est déjà fait? Oh putain!) et passons à la seconde mi-temps.

Le début de seconde période ressemble trait pour trait à la première mi-temps. Le LOSC pousse tandis que le CSKA est toujours absent des débats. On peut même dire que nos brebis impressionnent dans leur constance à mettre sous l’éteignoir ces descendants d’Ivan le Terrible. Bien que Tosic trouve le poteau à la 55ème sur une percée remarquable du non moins remarquable Vagner Love, on ne peut pas dire que l’on commence à brûler les cierges cachés sous ma soutane. Et la 57ème minute va nous conforter dans notre suffisance. Lille inscrit peut-être le plus beau but de son début de saison. Initié plein axe par Hazard, poursuivi par Obraniak et magnifié par Balmont, ce mouvement est conclu à l’entrée de la surface par une frappe impeccable de l’intérieur du pied droit par Pedretti. Net et sans bavure, ni quelconque intervention divine. Le CSKA est alors complètement à la rue, abattu par ce second but lillois. La logique aurait voulu que le LOSC inscrive alors un troisième but, on ne sait que trop que la logique a parfois ses raisons que la raison ignore. En effet, le Temple, bercé par tant de maîtrise, semble s’assoupir petit à petit, entraînant dans sa léthargie les brebis. La 73ème minute va réveiller tout ce petit monde. Doumbia est servi à l’entrée de la surface, complètement oublié par la charnière centrale et couvert par le mauvais placement de Debuchy, enchaîne par un petit pont sur un Rozehnal totalement dépassé et bat Landreau du droit. C’est à cet instant critique que le LOSC va se couper en deux, entre sa volonté de toujours attaquer et celui de fermer le ban. Les entrées en jeu, attendue de Cole (à la place d’Obraniak) et plus surprenante de Gueye (à la place d’un Pedretti intéressant), vont encore accentuer cette impression. Si Cole impressionne à chaque prise de balle et permet à l’équipe de remonter, il n’est pas un foudre de guerre en ce qui concerne le replacement défensif. Gueye, quant à lui, est plus un milieu défensif et n’assure pas le liant entre l’attaque et la défense comme peut le faire Pedretti. Seul Balmont, rayonnant, parvient encore à remonter les ballons. Associée à cette dualité tactique, la fatigue va faire de gros dégâts dans les rangs lillois. Et à la 90ème, après un une-deux Doumbia-Dzagoev, le premier se retrouve seul face à Landreau et envoie une mine du gauche dans les cages. Il serait bien trop fastidieux de dresser toutes les responsabilités lilloises sur ce but, donc je ne le ferai pas. Malgré un dernier une-deux dans la surface entre Balmont et Cole qui débouche sur une frappe moyenne du dernier, le score ne bougera plus.

Le LOSC, après sans doute sa meilleure performance de la saison, tant dans la fluidité de son jeu que dans les statistiques (24 tirs dont 11 cadrés à 8 dont 4 cadrés), échoue donc dans sa quête de ses trois premiers points en LDC cette saison. Il est quand même paradoxal de constater que, hormis le match à Caen, le LOSC ne s’est imposé qu’après des prestations contrastées et qu’il s’incline ou fait nul alors qu’il domine et paraît bien supérieur à son adversaire.

Dans l’autre match du groupe Trabzonspor a maté l’Inter 1 à 0, ce qui ne constitue pas forcément à mes yeux une mauvaise nouvelle pour le LOSC. Le groupe est homogène et va donner lieu à de belles batailles, dont le LOSC a les moyens de ressortir vainqueur. Retour à la Ligue Sainte ce samedi à 21h contre Sochaux au Temple. En attendant de tondre les lionceaux, place aux notes :

Les brebis :

Landreau (2/5) : Occupé à compter le nombre de supporters russes bourrés jusqu’à la 73ème minute, ce qui aurait pu lui coûter cher sans la présence héroïque de son poteau à la 55ème, il n’a pas réussi à contrer le Lokomotiv Doumbia. A son crédit, il n’a vraiment pas été aidé par sa défense centrale.

Debuchy (3/5) : Une première mi-temps très intense, où il a bouclé son couloir et énormément apporté devant, s’essayant même à la frappe de loin, qui bien que foireuse témoigne de sa confiance du moment. Il a d’ailleurs tellement bien bouclé son côté droit que les Russes ont compris qu’il fallait passer par l’axe et c’est là qu’on a dégusté. -1 parce qu’il est pris en flagrant délit de placement défectueux sur le premier but de Doumbia.

Basa (2/5) : Il est vraiment beau à voir jouer, mais il a visiblement besoin de quelqu’un de costaud à côté de lui. Je l’ai vu plusieurs fois se cacher sur les offensives venues du froid, laissant la responsabilité de l’intervention de secours à Rozehnal qui n’en demandait pas tant. Pourtant je n’ai pas l’impression que le duel soit un problème pour lui. Il gagnerait à plus s’affirmer.

Rozehnal (1/5) : Lui en revanche gagnerait à se cacher, mais alors loin, très loin de toute surface gazonnée propice à l’épanouissement de ce jeu qui nous donne tant de plaisirs coupables, à savoir le football. S’il est rarement pris en faute sur son placement, interceptant plusieurs passes russes qui sentaient le souffre, il est en revanche d’une abyssale nullité dès qu’il s’agit de mettre un coup de tatane (cf. Dhorasoo). Et quand ce gros défaut vous coûte un but largement évitable si Doumbia s’était fait découper le genou, Michel Saint-doux est tout proche d’enfreindre le sixième commandement.

Béria (4/5) : Un match très propre pour un joueur qui monte clairement son niveau depuis le début de saison. Je ne me rappelle pas d’une action dangereuse russe venant de son couloir, tandis que le contraire est plus qu’avéré. La question est de savoir s’il peut mieux faire, son potentiel technique notamment me semblant moins élevé que celui de Debuchy.

Mavuba (3/5) : Il se fait enfumer par Doumbia sur l’égalisation, plus à cause de la fatigue qu’autre chose, mais c’est quasiment sa seule faute de goût du match. Et ce n’est pas par hasard si les Russes ont été inexistants jusqu’à la 73ème minute. Sobre et efficace, ce qui devrait en inspirer certains.

Balmont (5/5) : Il est de retour le fils prodigue! L’Élu des Dieux! Quel match cher(e) lecteur(trice). Deux jambes pour frapper, passer, courir ; deux yeux pour tout voir et tout comprendre ; deux poumons pour cavaler partout, tout le temps. Pourtant il n’est pas comme vous et moi.
PS : et une imposante paire de gonades qui n’a pas été loin de provoquer l’envoi express d’un Russe dans l’espace. Et cinquante ans après Gagarine, ça aurait eu de la gueule.

Pedretti (3/5) : Un bon match, avec nombre de transversales pour trouver ses ailiers ou Sow, un but tout en finesse. Mais pourtant je n’arrive pas à me résoudre à monter sa note. Il y a dans son attitude quelque chose qui me gêne. Il reste quand même très effacé, parfois lent. Je ne suis pas loin de penser que Loulou avait raison.

Obraniak (3/5) : Bien plus en vue que Payet, le Polonais est parvenu au contraire de ses ancêtres à percer à plusieurs reprises, par ses passes, la défense russe. Et ses CPA sont toujours aussi dangereux. S’il a beaucoup permuté avec Hazard, il s’est tout de même un peu trop rapidement éteint.

Sow (2/5) : Aussi irrégulier qu’un TER sur la ligne Lille-Rouen, Moussa a de nouveau déraillé contre le CSKA. Toujours aussi combattif, il a nettement moins pesé sur le jeu que lors du dernier match. Même si son but est important, il ne sauve pas une prestation très pauvre techniquement, et encore je ne reviens pas sur son incroyable déchet devant le but, mes yeux saignant encore.

Hazard (4/5) : Moins précis dans ses dribbles il n’en reste pas moins que c’est lui qui contrôle le jeu de l’équipe, les meilleures passages lillois correspondant aux siens. Et on ne pas dire qu’il ait été absent des débats : tantôt à gauche, tantôt à droite et tantôt dans l’axe ; touchant nombre de ballons ou délivrant de subtiles déviations pour ses coéquipiers. Il ne lui aura manqué qu’un peu plus de précision devant le but.

Les remplaçants :

Gueye : Une entrée en jeu encore une fois positive. On ne peut pas lui reprocher grand chose.

Cole : Acclamé par le Temple pour son entrée en jeu, il a fait admirer son toucher de balle pendant le peu de temps de jeu qui lui a été offert. Je ne l’ai pas vu perdre un ballon et il semble affuté physiquement. Il aurait pu donné la victoire à l’équipe en fin de match mais sa frappe manquait de puissance. On ne devrait pas tarder à le voir titulaire.

Rodelin : Moqué à son entrée en jeu, il n’a pas arrangé son cas en envoyant peu de temps après en touche une passe destinée à Balmont, deux mètres devant lui. Conscient de sa faute, il se jette comme une furie devant un défenseur russe pour l’empêcher de relancer et reçoit les félicitations du Temple. Voilà c’est tout.

Le Prophète : Reclus en tribune, c’est Fred Bompard qui a eu la lourde tâche d’assurer l’intérim. Enfin, ayons la naïveté de croire que c’est bien ce dernier qui a pris les décisions tactiques en deuxième période, à cause de friture sur la ligne. Faire entrer Cole à la place d’Obraniak, c’est bien mais c’était un peu tard. Et sortir Pedretti, qui, malgré tout, faisait un bon match, c’est assez incongru. De plus, personne n’a été capable sur le banc ou en tribune de fixer une stratégie claire pour la fin de match, ce qui aurait bien aidé les joueurs.

Les infidèles : Franchement moyens voire même mauvais les trois quarts du temps, leur match nul tient autant à la faiblesse de la défense centrale du LOSC qu’au talent de Doumbia. Très puissant physiquement, correct techniquement, c’est clairement le meilleur joueur du CSKA. Derrière lui c’est un peu le désert, Vagner Love surnageant légèrement. La défense est encore moins sûre que la nôtre, c’est dire, et le gardien franchement pas rassurant. Michel Saint-Doux attendait beaucoup de ce match et de cette équipe du CSKA, il est reparti fort marri devant la prestation bancale des hommes de Sloutski. Il a néanmoins découvert la technique dite du « braquage à la russe » qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam et qu’il s’est prise en plein dans la pomme.

La parcage visiteur : Invité par l’un de ses enfants de chœur et de cœur à venir se délecter du nectar des Dieux flamands (une pinte pour les ignorants) avant de se rendre au temple, Michel Saint-Doux s’apprêtait à se mettre en route lorsqu’il reçu un coup de fil intriguant. Une petite voix effrayée lui apprenait qu’une grosse vingtaine de hooligans russes jouaient à attrape-moi si tu peux avec les CRS pile sur la route qu’il devait emprunter. N’écoutant que son courage et aidé par son inébranlable foi, Michel Saint-Doux décidait d’affronter ces vilains, son maillot et son écharpe bien planqués au fond de son sac, pour ne pas se faire repérer et pouvoir frapper incognito, non, parce qu’il avait déjà mouillé sa soutane. Arrivé sur place, une petite demi-heure après l’intrigant coup de fil, Michel Saint-Doux ne peut que constater, indigné, que les lâches ont fui, laissant derrière eux la détresse et la désolation, notamment sur le visage d’un honnête commerçant dont la vitrine venait d’être souillée. C’est, troublé par cette image, que Michel Saint-Doux prit place au Temple pour découvrir, effaré, une bande d’agneaux à peine plus bruyants qu’une dizaine de Merlus. Quelle ne fut pas sa déception, lui qui était venu armé de sa Bible pour convertir ces satanés orthodoxes, de ne pas même sentir des effluves de vodka chatouiller ses délicates narines. Au final, les supporters du CSKA auront été aussi décevants que leurs joueurs. Amen.

Michel Saint-Doux.

Michel Saint-Doux vous file les images de ce match, ça lui fera un souvenir impérissable

5 thoughts on “La LOSC Académie note Lille-CSKA Moscou (2-2)

  1. Rozehnal ne m’a pas paru si mauvais. Il me fait penser à Rami, à vrai dire, bon de la tête, décisif sur certaines intervention, très volontaire, mais gaffeur (et sur le premier but il peut pas non plus faire le bourrin, il est dans la surface).

    Il est vrai, moins physique.

    En revanche, si comme le dit Garcia, l’équipe est faite pour attaquer et pas pour défendre, je n’en donne pas cher en LDC. Contre des seconds couteaux pourquoi pas, mais contre des équipes sérieuses, ne pas savoir passer en mode défensif me semble louche.
    J’ignore si c’est de l’orgueil, mais l’espèce de décontraction de Garcia après le match contrastait terriblement avec le sentiment que j’avais que le train était peut-être passé pour nous.
    Si on ne parvient pas à gagner contre le CSKA à domicile quel peut bien être notre espoir contre l’Inter ???
    Se reposer sur des exploits futurs me semble bien naïf quand on sait que vont débarquer les coupes nationales, que fin novembre il fait déjà moins 5 à Moscou, que Trabzonspor vendra chèrement sa peau et l’a montré…

    Troisième de cette poule me ferait bien bien suer.

  2. Bah c’est tout qu’est ce que j’ai dis l’autre fois qu’on avait pas d’défenseurs…
    Alors oui Basa(en forme) et Chedjou(en forme et concentré jusqu’au bout) ça peut le faire mais quand les 2 sont absent ou à moitié présent ça donne ça. Du brin.
    J’espère qu’au mercato d’hiver on palliera cette carence en recrutant un tcho gars de Montpellier pas mal du tout là, ou bien faudrait sortir un Varane de chez nos espoirs un truc dans le genre mais faut agir.
    Mais on aurait eu moins à se plaindre si Moussa Vendangeur Sow n’avait loupé l’inloupable, manqué l’immanquable, raté l’inratable, foiré l’infoirable, espèce de …

    HAAAAAAAA !

    Lille ne sait pas défendre, un but mini dans la face à chaque match , ça ne va plus, une grosse équipe en premier lieu, n’encaisse pas de but !

    Mais bon les Lillois commettent rarement deux fois la même erreur, elle aura retenu la leçon pour le déplacement chez les tourkich.

  3. 1/ Sur le poteau, c’est bien Landreau qui détourne légèrement le ballon, ce con de Duga a pourtant martelé qu’il ne l’avait pas touché…
    2/ Le retourné suite à un corner était de Debuchy il me semble
    3/ A 2-0 j’ai vite craint la remontée comme l’an dernier en EL contre le PSV, un peu trop de suffisance et de relachement qu’ont parfaitement su exploiter les russkofs.

    Dommage pour vous, c’était un beau match, deux beaux buts pour vous, mais le résultat final est décevant.

  4. Ben tu vois, j’aurais plutôt mis 3 à Hazard et 4 à Obraniak. Mais franchement, j’ai eu bien mal au cul en retournant au bercail et les métros sont pas très confortables non plus… Et quelque chose me dit qu’on se retrouvera troisième à l’issue de la poule parce qu’il nous manque deux petits points, mais j’espère être aussi bon en voyance que le LOSC ne l’est pour garder un résultat

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