Le Onze Anal Historique de l’AS Monaco

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Des chèvres sur un rocher font rarement bon ménage, sauf chez Stéphanie.

Ricardi Guidolino vous fait plonger petit-à-petit dans l’anal et y va tout doucement mais jusqu’au cou. Bonne chance à tous. Tout d’abord un Onze Anal actuel pour saluer la très belle saison de l’ASM, puis l’historique, et le tout sur une page. Merci Ricardi.

Passons au stade anal pour nous focaliser sur le pire de l’ASM depuis bien longtemps. Le stade d’expulsion est passé avec le onze équarisseur, celui de rétention n’est pas atteint car on prend du Menophytea… Il est évident de retrouver la plupart des joueurs de ce onze dans les 20 dernières années de l’Histoire du club car l’attente suscitée autour des joueurs est devenue proportionnelle à la dimension prise par l’AS Monaco. En raison des récents résultats du club, mention spéciale au cheptel oblige, nous avons pensé à un onze anal de ce style :

Les commentaires sur notre cheptel actuel sont plutôt courts car ils se font assez démonter pour mauvais résultat dans l’académie.


Mbokani, Dieumerci. Bah non, pas merci. Il voulait marquer le club et la seule trace impérissable qu’on a de lui à ce jour a été trouvée dans les toilettes de Louis II par la femme de ménage après une soirée arrosée.

Aubameyang, Pierrick. Choucroute.

Alonso, Alejandro. Il faut être honnête, il n’était pas mauvais à son arrivée sous Ricardo (ne prenez pas cette phrase au sens propre, c’est sale). Il a quand même du faire un ou deux match pas trop mal mais on a la mémoire sélective, les « supporters sont cons » (dixit Pierre M). On aime moins son caractère quand tout ne se passe pas comme il veut car on a l’impression qu’il se défend plus lui-même que le club. On espère se tromper…

Coutadeur, Mathieu. Nutella de Plomb.

Gosso, Jean-Jacques. Lui, Moustache le sort du placard quand il n’y a plus vraiment d’autre choix (on a encore le choix de ne pas choisir mais jouer à 10 contre 11 dès le coup d’envoi est très con). Il se démène mais comment dire, ce n’est pas ça.

Nkoulou, Nicolas. Un peu branché sur l’alternatif avec un mauvais début de saison et des absences lors des matches suivants. Formé au club donc un plus pour la liste d’inscription pour la Ligue des Champions. Comment ça on ne la joue pas ? On est que 4ème mais ça va s’arranger. Ah dans l’autre sens du classement… mais alors, les cahiers m’auraient menti ?…

Traoré, Djimi. Venu pour encadrer les jeunes et faire partager son expérience, il le fait mais les résultats font peur.

Mongongu, Cédric. Prends la clé ! Sors t’as plus le temps ! Sors !… Dommage, il fallait courir…

Puygrenier, Sebastien. Il a assimilé la notion de pilier, il est lourd et ne bouge pas. On veut celui de l’an dernier svp.

Adriano, juste. Ah bon il n’a pas de prénom? Non, il n’en a pas, comme de bon pied.

Ruffier, Stéphane. Leave Stéphane alone, c’est apparemment la consigne de ses coéquipiers sur les attaques adverses.

Entraîneur : Lacombe, Guy. Lui, il a commencé son stade de rétention avant, il s’est retenu et là, ben, il explose. Il n’y a pas de remplaçants dans cette composition car Guy a une sorte de névrose obsessionnelle, typique du stade anal au même plan que la paranoïa. Moustache entre bientôt dans une période de mélancolie, ça risque de faire mal. Il est l’un des rares à se battre pour le club mais on commence à douter car même lui ne semble pas trouver la solution… Nous, à part appeler Pascal le Grand Frère, on ne voit pas non plus.

Le Onze Anal Historique, le vrai, est sans joueurs actuels car ils écrivent l’Histoire, un peu comme Grégory Lemarchal vu qu’ils sont presque morts pour le football. On a choisi un beau 4-3-3 car il y avait des clients, surtout en attaque…


Le onze qui sent mauvais :

Vargas, Gonzalo (2006-2009): Il arrive à Monaco auréolé d’un titre de meilleur buteur du championnat d’Argentine. Le reste est une vaste blague car il n’est que l’ombre de lui-même sur le terrain en Europe. Onze petits matches à Monaco et un but contre la grande équipe de Quevilly.  Il fut ensuite prêté deux ans dont un à Sochaux où il ne marquera pas de but en match officiel… Un très mais alors très gros flop…

Remplaçant couleur de bronze: Eloi, Wagneau (1999-2002). Venu en titulaire, il échoue rapidement sur le banc pour échouer tout court, en hommage au R.C. Lens probablement. En effet, il se blesse au genou et ne retrouve plus que quelques minutes de jeu. On peut dire que la concurrence à Monaco, elle l’a mangé le Wagneau…

Remplaçant de Plomb: Madar, Mickaël (1994-1996). Considéré comme un grand espoir, Madar devient vite un chat noir. Encore une carrière qui finit au PSG…

Saviola, Javier (2004-2005): On nous le présente comme le joueur qui arrive pour remplacer Morientes malgré ses trois têtes de moins. Sur le terrain il se voit confier un rôle d’accélérateur de jeu à la Giuly. Il a quand même marqué 8 buts en championnat sous le maillot rouge et blanc, on se demande encore comment. Pour un buteur réputé prolifique, le bilan est plus que faible. Il ne tient pas la comparaison avec son prédécesseur et son prêt apparait comme une vaste arnaque.

Remplaçant couleur de bronze: Adebayor, Emmanuel (2003-2006). 115 matches et 26 buts pour l’homme qui maudissait les poteaux. Depuis il a pris du recul et admet avoir les pieds carrés, ceux adéquats pour jouer en Angleterre. On a rarement vu un joueur aussi peu efficace malgré des qualités physiques intéressantes. Sa dernière saison est exceptionnelle avec 1 but au compteur en Championnat avant de partir pour Arsenal à la trêve hivernale.

Remplaçant de Plomb: Bierhoff, Oliver (2001-2002). Il est venu passer une saison tranquille sur le Rocher, il a été transparent. Son passage à Monaco est une énigme de plus, un Bierhoff sans alcool, sans saveur.

Piquionne, Frédéric (2007-2008): Un joueur qui a du mal à débuter, qui se lance dans un bras de fer avec ses dirigeants pour rejoindre un grand club et qui finalement atterri en prêt à l’ASM en pleine perte de vitesse avec option d’achat obligatoire… La légende est en marche. Il devient alors inefficace à souhait et se voit décerner le Ballon de Plomb qu’il cherchait tant à obtenir. Esclave de son propre destin on dirait. Il signe par la suite à Lyon où il fera encore plus de ravages chez les supporters au 12ème rang dans la tribune. Un must dans le onze anal, c’est notre devoir de mémoire à nous.

Remplaçant couleur de bronze: Di Vaio, Marco (2006-2007). Il aimait tellement Monaco qu’il s’est libéré de son contrat avec Valence (le club espagnol). 8 petits buts en deux demi-saisons pour le joueur qui a maintenant le niveau pour jouer à Valence (le club français).

Remplaçant de Plomb: Maoulida, Toifilou (2005-2006). Il ne fait que 6 mois à Monaco où il entre dans la lignée des attaquants qui ne s’imposent pas. Transféré à l’OM par la suite, il réussit à trouver un exutoire à son échec monégasque en pensant ses plaies avec des bandelettes…

Gudjohnsen, Eidur (2009-2010): Après avoir laissé un très bon souvenir à Chelsea, Monaco le sauve du banc de Barcelone. Pouvant jouer sur tous les flancs de l’attaque voir au milieu, il apparait comme une recrue précieuse et son recrutement est applaudit des deux mains par un certain Pierre Ménès qui le réclamait à l’OM les six mois précédents. Une demi-saison plus tard, il faut se rendre à l’évidence qu’Eidur pèse plus sur la masse salariale que sur les défenses de Ligue 1. Il réalise l’exploit de laisser son compteur but monégasque vierge. Monaco arrive à percevoir 2M€ sur la revente du joueur, inespéré.

Remplaçant couleur de bronze: Adu, Freddy (2008-2009). Son arrivée coïncide avec celle de De Bontin à la présidence du club. Sa volonté d’ouvrir l’ASM à de nouveaux marchés et ses réseaux lui font obtenir le prêt du petit Freddy. Petit est le mot car il ne fut que de brèves apparitions en championnat faisant ressortir plus son physique de coton tige que son talent.

Remplaçant de Plomb: Olivier Kapo (2005-2006). Encore un joueur venant d’un grand club européen arrivé se refaire une santé à Monaco. Deschamps, qui l’a fait venir, est remplacé par Guidolin. Il n’aura jamais vraiment convaincu le nouvel entraîneur mais qu’il ne s’en fasse pas, le public n’a pas été convaincu non plus.

Kallon, Mohamed (2004-2007): Kallon arrive de l’Inter de Milan avec un statut de joueur technique rapide doté d’un bon sens du but. Oublié le contrôle positif à la nandrolone, il est fantômatique. Après 6 mois, il est envoyé en prêt dans un club saoudien. A son retour, il fait partie de ces choses dont on n’arrive pas à se débarrasser, même dans une brocante. Il restera en hibernation jusqu’à la fin de son contrat.

Remplaçant couleur de bronze: Meriem, Camel (2005-2009). Un des nombreux nouveaux Zidane et c’est encore raté. Monaco apparaissait comme sa dernière chance et le joueur doué des deux pieds n’a pas réussi à exploiter pleinement le potentiel aperçu à Sochaux. Sur le terrain, Camel vaut des clopinettes, il n’a jamais pu aligner deux bonnes prestations de suite. En un mot, un gâchis – en deux mots ça veut dire autre chose.

Remplaçant de Plomb: Almiron, Sergio (2008). Un prêt sur demande de Ricardo qui a eu vent de ses capacités encore aujourd’hui plus que cachées pour nous. Il n’a jamais trouvé sa place dans le onze monégasque et c’est pour ça que l’on ne le met pas à la sienne dans le nôtre.

Jugovic, Vladimir (2001-2003): Il arrive de la Juventus avec son expérience pour encadrer les jeunes joueurs. Encore une fois, on pense flairer la bonne affaire mais celle-ci se transforme en coup fourré. Il ne fait que 25 matches la première saison et plus aucun lors de la deuxième. Il semblait vieux, usé et fatigué mais n’a remporté aucune élection. Il est parti jouer en Autriche à la fin de son périple monégasque.

Remplaçant couleur de bronze: Pokrivac, Nikola (2008-2009). Encore un lobby estampillé De Bontin, ce dernier ayant des contacts en Croatie. Nous voilà avec un joueur qui prend une place d’extracommunautaire et qui fait des prestations dont la qualité se dégrade de matches en matches pour finir sur le banc. Il est aussi parti monnayer ses talents en Autriche.

Remplaçant de Plomb: Lopez, Gerard (2005-2007). Ses débuts à Monaco sont corrects mais il se blesse – une mauvaise habitude chez lui – au tendon d’Achille au bout de 4 mois et ne revêtira quasiment plus le maillot rouge et blanc. Son médecin nous informe qu’il joue au Girona FC…

Cubilier, Eric (2001-2006): On peut résumer sa carrière par des choix pas très judicieux. Il arrive à Monaco en provenance de Nice, 1ère erreur. Il parvient cependant à jouer régulièrement la première année mais est progressivement cantonné à un rôle de remplaçant. Il se fait ensuite prêter au PSG où il gagne la Coupe de France sans jouer, comme à Monaco et est prêté par la suite à Lens. Il enchaîne alors Nantes, Metz et Bastia. Une carrière à l’envers pour un joueur qui s’impose naturellement dans le onze anal.

Remplaçant couleur de bronze: Maicon, Douglas (2004-2006). Maicon arrive de Cruzeiro annoncé comme la future star de l’équipe. Douglas prend alors la grosse tête et, en tant que bon brésilien, tente plus des raids solitaires sur le flanc droit de l’attaque que de s’occuper des espaces en défense. Il finira même à venir à bout des nerfs de Deschamps qui lui offrit un rôle plus offensif avant son départ pour l’Inter et sa véritable explosion.

Remplaçant de Plomb: Cufré, Leandro (2006-2009). Cul-frais arrive de la Roma en disant lui-même qu’il est étonné de signer sur le Rocher. Sa polyvalence lui permet d’explorer tous les postes défensifs mais son rendement baisse au fil des matches et on ne le sent pas à l’aise lorsqu’il s’agit de relancer proprement. Il atteint le sommet de la déchéance lorsqu’il perd sa nationalité italienne et est poussé vers la sortie par le club.

Bolivar, Fabian (2006-2008): il fait partie de ces sud-américains bons dans leur pays n’ayant jamais su s’exporter en Europe. Il fait une saison pas trop mauvaise en tant que titulaire aux côtés d’un Givet alors au sommet de son art. La suite est moins glorieuse, changement de coach, performances en chute libre avec quelques anti-gestes dignes d’un Déhu de la grande époque. Il devient vite indésirable au sein des supporters et de l’équipe et se voit obligé de rentrer au Brésil.

Remplaçant couleur de bronze: Simic, Dario (2008-2010). Simic signe à Monaco où il joue titulaire la première saison avec des matches aller assez bonne sans laisser un souvenir impérissable. Il avait notamment des problèmes de communication ou il devint simplement mauvais, comme tout joueur en préretraite sur le Rocher. Fin en queue de poisson avec Lacombe, running gag.

Remplaçant de Plomb: Monsoreau, Sylvain (2006-2008). Fiasco à Lyon et utilisé comme monnaie d’échange pour le transfert de Squillaci, il est utilisé à gauche mais peut servir au centre. On ne peut pas dire qu’il inspire confiance lorsqu’il relance.

Pierre-Fanfan, José-Karl (2001-2003): Mis au placard à Monaco, il devint naturellement un mythe. Une tronçonneuse parmi les bouchers, dotée de pieds carrés. Nonda s’en souvient encore même si la blessure est survenue par un concours de maladresse et malchance incroyable. Il ne pouvait pas faire partie du groupe équarisseur d’anus par peur de fissure anale. José-Karl n’aime pas cette partie du corps car l’anus n’a pas d’os ou de cartilage à briser.

Remplaçant couleur de bronze: Pignol, Christophe (1997-2000). Il a tout connu avec le FC Nantes : ascension, titre, blessure, déchéance. Et pourtant il a une place dans le onze en tant que remplaçant. Arrivé en package avec Ndoram, il joua de moins en moins malgré son aptitude à jouer à plusieurs postes. Il signa à Lille avant de devoir arrêter sa carrière en raison d’une leucémie.

Remplaçant de Plomb: Müller, Patrick (2008-2010). Müller signe à Monaco avec l’avantage d’être gratuit. Ce sera le seul de son transfert dont le contrat à été signé le dernier jour du mercato. Il jouera quelques matches et profitera pleinement de son temps libre en s’entrainant à l’écart du groupe.

Veigneau, Olivier (2003-2008): Ce jeune joueur de football de grand talent ne demande qu’à faire ses preuves… Les élèves de Jeanne d’Albret Saint-Germain en Laye de l’année 1996 se le rappellent bien. Petit pont après petit pont, rien ne semblait l’arrêter. Depuis, ben, presque rien. Il passa deux ans en réserve pour et trouve du temps de jeu en 2006 sans trop convaincre. Son prêt à Nice ne sert à rien et il revient en coupeur de citron. Il joue actuellement au MSV Duisbourg… belle carrière pour une première place dans notre onze.

Remplaçant couleur de bronze: Panucci, Cristian (2000-2001). Ami de Simone au Milan, il fut invité à jouer sous les couleurs monégasques après un passage au Real, mais il n’a pas fait plus de 20 matches en un an. Il part à la Roma où il trouve enfin sa place. Un des rares joueurs à prendre sa retraite au milieu de sa carrière.

Remplaçant de Plomb: Dos Santos, Manuel (1995-1997 & 2006-2007). Formé à Monaco, il n’y passe pas l’essentiel de sa carrière. Il y revient pour faire une pige pour remplacer Evra. On n’a toujours pas compris pourquoi, lui non plus.

Warmuz, Guillaume (2005-2007): Un des meilleurs gardiens de France arrive sur le Rocher en 2005 mais en tant que doublure de Roma car il n’est alors que l’ombre de lui-même, et ce depuis 2002. Emblématique au R.C. Lens, il coûta cependant cher en coupe d’Europe à son club puis en championnat avec des grosses boulettes. Il signe sans indemnités de transfert après deux expériences mitigées à Arsenal et Dortmund et obtient une place de titulaire après une blessure de Flavio Roma mais se blesse à son tour. Touché gravement au genou, cette blessure marque la fin de sa carrière.

Remplaçant couleur de bronze: Sylva, Tony (1995-2004). Prêté deux ans à son arrivée puis barré par Flavio Roma, il se contenta d’un rôle de remplaçant. Il part pour Lille où il brillera les premières années puis restera un gardien de bon niveau par la suite. La suite sera moins glorieuse avec un départ du LOSC pour la Turquie plus que mouvementé. Cela lui vaut une seconde place bien méritée dans le onze.

Remplaçant de Plomb: Porato, Stéphane (1993-1998 & 2000-2004). Il commence en troisième gardien et attend son heure mais est barré par Barthez lorsqu’il peut enfin saisir sa chance. Le premier acte est un échec. Il revient à Monaco en 2000 alors Champion pour conforter sa première sélection en Equipe de France et pour oublier sa fin de saison marseillaise en eau de boudin. Blessé puis écarté par Deschamps, il se retrouve même gardien n°3 et fini prêté. Il résilie ensuite son contrat, part pour Ajaccio puis l’Espagne.

Entraîneur anal: Ricardo, Raymundo (2007-2009). Ricardo arrive fort de son expérience girondine malgré sa réputation d’entraîneur frileux sauf pour De Bontin qui le qualifie de meilleur entraîneur du monde. Avec lui, l’ASM effectuera la pire saison depuis 5 ans mais le brésilien s’en défendra en disant qu’il prépare une équipe qui gagnera bientôt le championnat, comme à Bordeaux où Blanc a récolté le fruit de son travail… Il est devenu à Monaco le symbole de ce que l’on ne veut plus voir mais est tout de même resté 2 ans, nous faisant regretter pas mal d’entraîneurs à échecs. Haut la main dans l’anal.

Remplaçant couleur de bronze: Guidolin, Francesco (octobre 2005 – mai 2006). Son arrivée marque le déclin du club déjà entraperçu dès l’année 2001. Lors de son passage, le club est plus qu’irrégulier et il ne résout pas les problèmes liés au caractère cosmopolite de l’équipe, bien au contraire. Il est à l’origine de l’arrivée de plusieurs italiens qui se sont avérés plus efficaces au casino que sur le terrain, du moins on l’espère. Il quitte le club 8 mois après être arrivé.

Remplaçant de Plomb: Bölöni, Laszlo (2006): Arrivé à Monaco pour 2 ans pour remplacer Guidolin, il signe une des plus courtes périodes d’un entraîneur à Monaco à cause du début de saison catastrophique du club – Monaco sauce Bölöni était alors classé 19ème… Il est au final resté de mai à octobre et ce n’était pas un intérim; sûrement sa pire prestation en tant qu’entraîneur…

Pour compléter ce classement anal, ayons une pensée pour ceux qui n’ont pas touché totalement le fond du trou, comme Marc. Nous penserons d’abord à ceux qui gâchent leur talent mais pour qui il n’est pas encore trop tard, à savoir Jérémy Ménez, Juan-Pablo Pino et Yohan Mollo. Ceux qui ont les pieds pas suffisamment carrés pour rentrer dans le onze comme Moussa Maazou ou encore Nicolas Maurice-Belay; ceux qui n’ont jamais percé au club ou qui n’ont simplement servi à rien comme Ousmane « Joey Barton ma tuer » Dabo, Eduardo « la poule aux œufs d’or » Costa, David « je marque qu’en retournés » Gigliotti ou Alex Nyarko. Mention spéciale au grand blessé Alexandre Licata et à Steve Savidan pour qui cela aurait été un crève cœur de ne pas être cités. Pour finir Christian Vieri et Ernesto Chevanton ne peuvent pas être inclus à cause d’un ratio impressionnant de presque 0,5 buts par match…

Il est important de noter que Didier Deschamps et Marco Simone auraient pu faire partie des équipes mondiales et anales respectivement en tant qu’entraîneur et joueur.

Sources :
– site officiel de l’AS Monaco,
– les cahiers du foot,
– Wikipédia,
– Cristaline…

Ricardi avait beaucoup de matière fécale pour ses Onze, mais pas que : un Onze Mondial Historique, comme le veut la coutume d’horsjeu.net, puis un Onze des équarrisseurs d’anus, retraçant les belles années de destruction totale de l’ASM.

9 thoughts on “Le Onze Anal Historique de l’AS Monaco

  1. Di Vaio a clairement le niveau pour Valence actuellement. On parle bien du gars qui a inscrit 24 buts en 08/09, 12 buts l’an dernier et 9 cette saison ?

    Et ce n’est pas De Bontin qui a fait venir Pokrivac et ce dernier n’a pas pris de place d’extracommunautaire.

  2. @Yann: effectivement… à la base elles sont nettes

    @Radek: comment parler de tactique quand il n’arrive pas à avoir des joueurs qui respectent les consignes…

    @Marc Keller:
    – Pour Di Vaio, ce n’était pas au premier degré et peut-être que la tactique de Bologne fait qu’il marque beaucoup, je vais me renseigner
    – Mea culpa pour Prokrivac, il est arrivé au mercato hivernal et De Bontin a pris ses fonctions plus tard dans l’année… Pour la place d’extracommunautaire je ne suis plus sûr car je pensais que les croates l’étaient (il faudrait que je retrouve un ancien manager pour le vérifier).
    Merci de m’avoir rectifié en tout cas.

  3. Il peut pas le tailler. Vieri lui lâche ses droits d’image pour illustrer son académie donc bon…copinage quand tu nous tiens.

    Trés bon sinon.

  4. Bobo est à l’infirmerie…
    Moké n’a pas tort pour les droits mais on partage aussi les frais quand il se fait laminer au poker, donc là c’est plutôt du négatif…

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