Salut bande de fiottes,

Lecteurs de pacotille que vous êtes ! Rigobert aurait honte à votre place… Et, plutôt que rongés par le remord et tapis dans vos terriers, vous pavanez. Moins d’une semaine après les faits -ou plutôt l’absence de fait-, la bite en cul-de-poule et le visage ahuri, vous revenez comme si de rien n’était. Sans l’ombre de la plus infime prémisse d’un quelconque sentiment de culpabilité face à votre absence de courage… C’est pas beau à voir.

Rigobert s’explique. La semaine passée, la honte débarquait en Lorraine à mesure que le FC Metz échouait dans son entreprise d’écrasement du derby lorrain. Pas fier, le peuple grenat se réveillait avec la gueule de bois, toujours sur le toit du monde de la Ligue d’eux mais avec le sentiment tout à fait désagréable d’avoir une paire de couilles aussi minuscule que le talent de Bussmann. Le FC Metz a déjoué, Pedretti est reparti chez lui sain et sauf, Nancy n’a pas perdu à Sinsinf’ et le match le plus attendu de l’année n’a été au final qu’une vulgaire mascarade aux relents de ce que la Ligue d’eux a de plus fétide et infâme à offrir.

Rigobert a dû prendre son courage et sa plume à deux mains, se parer de son plus beau soutien-gorge et, comme si de rien n’était, essayer de raconter scientifiquement comme à son habitude, à vous, lecteurs de vos morts, ce match aux confins du minable. Au moment où il écrivit, son seul réconfort était de se dire que peut-être les provocations les plus tapageuses ou les Gifs de lapins en déroute produiraient l’effet tant recherché : SE FAIRE COPIEUSEMENT INSULTER. A défaut d’avoir pu jouer à « je te tiens tu me tiens par la barbichette » avec les petites salopes chardonneuses pendant le match, Rigobert espérait faire de son académie un ring féroce et vulgaire d’où débarqueraient des centaines de 54 plus stupides les uns que les autres, renforcés par un ou deux circoncis ou philosophe du politiquement correct. Nenni ! Rien. Juste sa misère à pleurer et le regret de voir notre derby accompagner le footbanal qu’on aime dans son irrémédiable chute vers les profondeurs de l’insipide.

Nancéiens, vous n’avez donc rien d’autre à foutre de vos journées que de ne pas venir insulter Rigobert ? Seul un chardonneux, tel un phare dans la nuit, a essayé avec ses faibles moyens de meurthe et mosellan et ses maladies génétiques de sonner la charge de la révolte et d’insulter à tout-va tout ce qui se rapproche plus ou moins du Grenat :

Marcel Picon, courageux et solitaire, a affronté le silence de ses semblables pour tenter de répondre sur le terrain des mots avec ses propres armes : la haine. Et Rigobert a apprécié. Bien sûr ça ne l’empêche pas de conchier allègrement sur son homologue Nançois et sur son bonnet-capuche de mal éduqué, mais si Marcel Picon a eu le malheur de naître et de grandir du mauvais côté du mur de la honte, il a au moins le mérite d’être un homme. Un homme qui vit dans un clapet, mais un homme quand même.

Et là encore Rigobert se voit trahi et déçu. Vous, peuple des enfers grenat, vous n’avez eu pour seule réponse aux attaques les plus vilaines, que le silence de ceux qui s’inclinent. A peine un jour s’était écoulé que vous aviez déjà enterré cette absence de derby dans votre indifférence la plus crasse, et aviez succombé, comme toutes les autres petites salopes de France et de Navarre, à cette parodie de match des olympiques marseillais contre lyonnais, au blockbuster du football français, au match de la footixerie généralisée, oubliant par là même votre rôle et votre honneur. Le football se consomme mais ne se vit plus. Suicidez-vous. Ou alors, redevenez vous-même et insultez tendrement cette petite coquine de Marcel Picon et  ses allégations douteuses sur la place du FC Metz dans le footbanal lorrain. Merci.

 

Le HAC – Metz :

Sans transition et avec un groupe renouvelé, le FC Metz s’est déplacé jusqu’en Normandie profonde pour défier le doyen de la lose : Le Havre athlétique Club et son attaquant chéri Mathieu Duzemmel. Le FC Metz y a sans doute livré son meilleur match de la saison et n’a donc logiquement récolté qu’un point tout sale de son voyage à l’ouest. Notamment grâce au premier but en pro de ROMAIN METANIRE, qu’on ne présente plus mais qu’on présente quand même :

 

Metz – Nîmes :

 

 

-22 : Comme la différence en points entre Metz et Nîmes. A la 8ème journée.

Rigobert vous fera également remarquer que l’ASaNaL a trouvé son rythme de croisière et devrait donc logiquement finir 4ème de Ligue d’eux. Encore.

 

– 18 : Rigobert a fait la grève des kébabs cette semaine pour protester à sa manière et par avance à une éventuelle titularisation du gros turc chauve et nul du FC Metz.

-15 : En revanche, il a enlevé ses chaussures dès qu’il est entré dans un bâtiment public, en espérant que Sassi soit à nouveau titulaire.

-13 : Pourtant, Sassi n’a pas été très bon au Havre. Mais c’est juste que Rigobert aime voir des joueurs sans trop de cerveau tomber naïvement mais lourdement dans les feintes de corps arabe du milieu messin.

-11 : Krivets, quant à lui, et quoiqu’il advienne, regardera le match depuis sa grotte, où il est retourné hiberner pour l’opus 2015-2016 de sa carrière de footballeur en ruine.

-9 : On en profite pour faire un gros bisous à Samy Kehli, prince de Belgique.

-7 : Au fait on joue contre les Crocos. Rigobert ne s’y connait pas trop en choses du Sud de la France, parce que le Sud c’est de la merde. Point barre. Mais d’après d’éminents spécialistes Horsjeuxiens de la question, les Nîmois seraient les plus gros PD de l’univers. Rigobert veut bien y croire.

-5 : Le FC Metz 2015-2016, c’est tellement varié qu’on dirait l’équipe nationale du Qatar.

-2 : Coupe d’envoi symbolique donné par une pute quelconque et son assistante chinoise. Principe de vie, Rigobert insulte quand il ne connaît pas.

-1 : Mais quand il connaît, c’est pareil. On en profite donc pour féliciter notre speaker d’amour qui a désormais abandonné ses pitoyables tentatives d’ambiançage, et se contente désormais d’être le roi des homos en plus calme.

0 : Tacle sévère de Kaproff sur les chevilles de la chinoise de compagnie alors que le match n’a même pas commencé…  Les Nimois demandent le « jaune » juste pour rigoler.

1 : La chinoise de compagnie meurt de ses blessures. Tout le monde s’en fout, il en reste des tonnes.

2 : Pendant ce temps le jeu a pris ses droits à Sinsinf où une fois encore la rencontre sera arbitrée par un chauve. Communsymbole du manque de cheveux de TOUS les arbitres.

3 : Ce match opposera donc le FC Metz à sa paire de testicule.

4 : Métanire l’a bien compris et court déjà en rond en essayant de se bouffer la queue.

7 : Septième minute de jeu et Ozmen n’a fait que deux toiles, trois passes aveugles vers les nuages et un tacle sur lui-même. Turc en progrès.

11 : Au fait, 12 000 spectateurs. Les abonnés et les invités en somme. Et Samy Kehli qu’on n’oublie toujours pas.

15 : Tiago Gomez en u15 il était déjà meilleur que Bussmann. Déjà très bon au Havre, le chignon portugais s’affirme avec classe dans le couloir de la mort gauche messin.

20 : PALOMINO.

23 : Le torrero nîmois enrhume Mayuka, qui fonce bêtement vers le but adverse cornes baissées.

27 : Kévine Lejeune est plutôt sexy ce soir.

35 : Frappe splendide de Gomez qui percute le poteau puis les lombaires du gardien gardois avant de s’envoler vers le septième ciel et Amido Baldé. Corner.

38 : Arrêt déterminant d’Oberhauser sur cette sortie éclair vers le manque de talent de l’attaquant des Croco.

41 : N’Gbakotal amorce l’attaque la plus rapide de l’histoire récente du FC Metz où d’une touche de balle, tous les joueurs inoffensifs grenat participent à cette action d’éclat que peut finir André Santos. 1-0

42 : Est-ce que quelqu’un peut prévenir Kaproff que les cartons jaunes que distribue l’arbitre ne sont que facultatifs en réalité ?

Mi-temps.

47 : Les Messins reviennent en tong sur la pelouse. Rigobert a un mauvais présentiment.

51 : Lejeune tente de ne pas remotiver ses troupes en continuant de ne rien faire. Ca marche plutôt pas mal.

55 : PALOMINO.

57 : Les Nîmois deviennent entreprenants, quant à eux. Palomino sauve les femmes et les enfants d’abord.

62 : Palomino sauve maintenant les meubles.

65 : En revanche impossible de sauver un Métanire sous l’emprise du démon, qui ne tente plus que des transversales au sol dès qu’il touche le ballon.

69 : Ok Metz devient tout pourri, mais Rigobert aimerait comprendre qui sont ces gens sans âme qui commencent à siffler une équipe virtuellement en tête du champianal et toujours invaincue ?

70 : Public de Metz, tu dégoûtes Rigobert.

72 : Qu’on s’entende bien sur ce que Rigobert appelle « public » : les fils de pute de la Nord et les faux bourgeois de la Sud. Quelques égarés dans les latérales et bien sûr Samy Kehli, qu’on n’oubliera jamais.

75 : Cher Mayuka, c’est très professionnel de vouloir perdre du poid et ce gros cul de zambien mais tu peux quand même te nourrir et t’hydrater de temps en temps parce que là on dirait Ingrid Bétancourt qui essaye de s’échapper du marquage culotte des Farcs. Ca marche peu.

78 : Pendant ce temps, les Nîmois qui s’en tamponnent cordialement de l’hostilité ambiante du public à l’égard de sa propre équipe choisissent de repartir à l’attaque. Décalage anodin sur le côté. Centre anodin. Reprise de volée anodine dans le but. 1-1

79 : Le gros Turc tueur d’Arméniens innocents l’est très peu en revanche sur le but gardois. En cause, cette absence criante de concentration pour ponctuer une lacune évidente d’intelligence derrière ces yeux ovins et ce crâne à la limite de l’esthétiquement correct.

80 : Sassi, entré en jeu à un moment où Rigobert se demandait si le corps d’un Turc était soluble dans l’acide, s’écroule dans la surface après un croché de tunisien. L’arbitre, beaucoup trop chauve pour se laisser amadouer par les minorités ethniques décide de sanctionner le Messin d’une carte jaune.

82 : La saucisse turque pointée du doigt juste au-dessus continue ses méfaits et tacle rageusement en corner avant de s’effondrer tel un Gaëtant Bussmann en hiver, dans son duel « aérien ». Tête. But. 1-2

83 : Rigobert est un peu irascible avec son voisin de droite. Qui était peut-être une femme. Avant l’irascibilité de Rigobert du moins.

85 : Metz tente de réagir. Du coup Nîmes par contre. Poteau. Puis sauvetage. Puis six mètres. C’est confus. Tout ce qu’on sait c’est que PALOMINO a fait tout ce qu’il a pu et que le Turc doit crever à petit feu et la gueule ouverte si possible.

88 : Les gens les plus proches du terrain se signent et se mettent à supplier Dieu dès que Métanire s’approche de la ligne.

89 : Rigobert doit avouer que la ressemblance entre Métanire en fin de match et Baphomet, le génie du mal est assez troublante.

90+3 : Dernier coup-franc aux 16 mètres pour N’Gbakokkoko et le FC Metz. Lucarne de la tribune ouest. Fin des haricots.

Fin du match. Nîmes remporte son duel de monstre à écailles.

Ne vous formalisez pas, le FC Metz a déjà perdu contre pire. Marseille par exemple.

 

LES CANCRES :

David Obhgheugseurdrre, 2/5 : Oberhauser est une flaque de pisse avec des gants. Certes, le gardien remplaçant du FC Metz claque un ou deux arrêts déterminants par ci-par là ; mais dépossédé de tout charisme à la naissance, Oberhauser enchaîne également les sorties approximatives et laisse Nîmes mettre deux buts à Sinsinf. Devant des gens.

Romain Métanire, 2/5 : Conspué à chaque passe loupée par des centaines de gros porcs sales qui n’arrivent pas à se rappeller jusqu’à la semaine dernière et que l’arrière latéranal droit messin a permis aux siens de partir du Havre avec un point, Métanire ne mérite pas beaucoup d’éloges sur ce match, mais continue de courir trois fois plus et deux fois plus vite que n’importe qui dans sa situation. Leave Métanire alone. Chiens de la casse.

Tiago Gomes, 3/5 : Une putain de frappe de classe mondiale sur le potal dans une première mi-temps lors de laquelle le latéral gauche portugay n’a fait que du beau et du bon. Propre, élégant, racé, appliqué, aérien et facile. Le contraire absolu de l’homme bus, ses genou cagneux, son mental d’auto-tamponneuse et sa tête de pute moldave en fin de soirée.

Jean Louis PALOMINO, 4/5 : Sérieusement, qu’est ce que Palomino fout à Metz, en Ligue d’eux, entouré de semi-hommes et à côté d’un Turc leucémique ? L’Argentin a le niveau Ligain sans les mains, et Ligue Europa si il s’applique un poil. Au dessus du lot, Palomino fait son taff, celui des autres, et s’enflamme quelque fois dans la surface adverse, histoire de montrer à son coach que dans la hiérarchie des attaquants il est au dessus de Baldé.

Aimé Césaire ØŠ??Ñ, 0/5 : Immonde. Déjà très en dessous des limites de l’acceptable au Havre, le Turc de mort du FC Metz a renouvelé avec la manière face à Nîmes. Fautif sur chaque but, dépassé par les évènements, lent, totalement con, inapte à la relance, Rigobert a la sincère impression que la grosse arnaque ottomane a commencé le foot à 22 ans, qu’il a joué avec le cancer et qu’il est en dessous de toute autre forme de vie sur Terre niveau cognitif.

Georges Mandjeck, 2/5 : Excellent au Havre, bien moins contre Nîmes, Mandjeck apporte cela dit l’équilibre perdu depuis la blessure de Doukoure dans un milieu du FC Metz qui montre de plus en plus de signes de maîtrise tactique et collective. Reste plus qu’à essayer de dépasser les 50% de passes réussies pour le Camerounais et Rigobert pourra commencer à faire des compliments.

André Santos, 3/5 : Un gros volume, une compréhension instinctive de l’espace, une qualité de passes rare chez un joueur de Ligue d’eux, un bien beau but. Beaucoup de qualités qui trouveront un terreau plus favorable en Ligain qu’en Ligue d’eux, le royaume des gros noirs, où Santos a du mal à rayonner avec son physique d’adolescente.

Génie N’Gbakotal, 3/5 : Un match somme toute assez moyen pour Génie, qui reste cela dit le détonateur le plus inspiré et le plus percutant de tout ce qui se passe dans les 30 mètres les plus proches de l’anus adverse. Comme le montre cette action d’éclat sur le but messin, où N’Gbacostaud, à partir de rien, fait jaillir la lumière et laisse l’honneur de la défense nîmoise sans défense.

Juan Kaproff, 3/5 : Né de l’union de mère violence et de père courage, Kaproff est un parangon de grinta sauce argentine, qui a laissé infuser assez de technique en mouvement pour devenir un très bon joueur de foot. Reste plus qu’à réussir à ne pas se faire expulser à chaque match et à tirer à plus de 23 km/heure et petit Kaproff deviendra grand.

Kévine Lejeune, 3/5 : Un gentil 3/5 pour le gros cochon messin, à qui Rigobert doit reconnaître certaines qualités qu’il n’avait pas avant. Un peu plus intelligent, un poil plus inspiré, Lejeune a réussi une première mi-temps de bonne facture, avant de sombrer dans les méandres infernales de la honte et de la lose en seconde période. Mais Lejeune aime de temps en temps refaire un petit tour dans sa vie d’avant, quand il était toujours nul.

Emmanuel Mayukaka, 2/5 : Toujours très juste et très solide dos au but, Mayukaka a en revanche plutôt du mal à jouer dans un autre registre que celui dans lequel il excelle, anihilant ainsi moults possibilités offensives. Si le Zambien est au-dessus de la concurrence sur bien des plans, il va falloir songer à prendre quelque chose pour stimuler cette carcasse nègre qui dès la 60ème minute n’arrive plus à mettre un pied devant l’autre et fait passer Saint-Symphorien pour le désert de Gobi.

Les remaplçants :

Daniel Candeias, 2/5 : Travail défensif proche du zéro. Après Kaproff ça a dû faire tout drôle à Métanire. Candéias s’est montré un peu plus inspiré dans le registre offensif, décochant deux frappes pas ignobles. Cela dit, Rigobert ne croit pas trop en cet énième Portugesh ni dans le fond ni dans la forme.

Ferjani Sassi, 1/5 : Pas d’inspiration, pas d’impact, pas de dribbles. Sassi sans la famille, c’est faible.

Amidieu Baldé, non noté : Baldé c’est un peu comme le Judaisme. Une grande fuite en avant dans l’espoir qu’un jour il se passe quelque chose, tandis qu’il ne se passe jamais rien.

 

Shalom tout le monde,

 

Rigobert

 

 

4 thoughts on “Metz – Nîmes (1-2) : La Metz que un club Académie en colère

  1. Diantre! L’image de Baphomet m’a donné envie de me plonger dans Wikipedia (oui, j’ai des loisirs bizarres).

    Et, que lis-je?
    Baphomet (/?bæf?m?t/; from Medieval Latin Baphometh, Baffometi, Occitan Bafometz)

    BAFOMETZ!!! C’est un signe du destin.

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