Le onze anal est de retour cette saison. Pour l’instant en tous cas. Pour ceux qui seraient tombé par hasard sur cette page et qui sont plus habitués à lire les débriefs de Maxifoot.fr, il s’agit ici de mettre en derrière des prestations de qualité anale des joueurs, mais surtout des académiciens d’horsjeu.net, qui se distinguent des journalistes car ils connaissent bien les clubs dont ils parlent.

Cette semaine, le coach anal a décidé d’espionner le onze mondial pour tout faire comme lui. Malheureusement, son 4-2-3-1 est un peu raté.

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Perquis (1/5 ; Caen): Le chef-d’œuvre de Paul-Georges Ntep? A une main. La tête de Coulibaly? Les yeux fermés. Celui de Sammaritano? Avec les fesses. Oui mais voilà mardi soir, Dam’ Perquis n’était pas en rose. MAIS EN ORANGE BORDEL! Pourquoi pas en Ciel&Marine tant qu’on y est?!

Congré (0/5, Montpellier) : On peut pas lui recommander d’aller jouer avec sa bite dans l’herbe, puisqu’il s’agit précisément du problème.

Henrique (0/5, Bordeaux) : A chaque fois que ça va vite il est complètement dépassé, et encore plus quand le milieu laisse partir n’importe qui dans son dos. Nous a encore sorti un geste ultra-dangereux à Saint-Etienne, sûrement un hommage à Aubameyang

N. Nkoulou (1/5, OM) : Le problème ce n’est pas de faire des feintes d’interventions défensives. Le problème, c’est que ces feintes ne trompent que Lucas Mendes.

Guardado (1/5, Valence): pour faire une bonne paella, il faut du riz rond valencien. Pas du basmati. Djukic, il a Bernat sur le banc mais il préfère mettre un type aux pieds carrés et au QI football inexistant. Mon fils aîné me dit que pour continuer à aligner le Mexicain, il faut sûrement avoir des parts chez Old El Paso ou chez Pepito, ce n’est pas possible autrement. Quand j’ai croisé Blaah au zoo de la Barben (j’ai passé une semaine dans le Sud de la France cet été, mon mari m’a fait la surprise pour nos 35 ans de mariage), il m’a parlé de Taye Taiwo, un mec qu’on avait failli prendre à València, en échange d’Aimar d’ailleurs. C’était horrible mais loin d’être pire que Guardado. « Méfie-toi des mecs de La Coruña »: Dudu Stefano a souvent raison, ma fille devrait l’écouter, ce serait un gendre très bien.

Cleverley (1/5, MU) : Un point pour son tacle de pute «fighting fair-play spirit» sur Coutinho quand Jones était à terre. Sinon, il court toujours tête baissé pour rater ce qu’il faut faire.

Benoît Pedretti (2/5, Ajaccio) : celui qui crée s’est transformé, le temps d’un soir, en celui qui annihile. Ses passes ou transversales n’ont jamais trouvé preneur. David Gigliotti non plus.

Tuncay (1/5, Bursaspor)  : Je pense pour toi qu’il est temps d’arrêter. C’est bien beau de montrer des signes de motivations quand la caméra te filme mais sur le terrain ça suit pas. Peu présent dans les phases de construction.

Young (0/5, MU) : Casse-toi une jambe et ne reviens jamais. Ou alors apprends à réfléchir, fais quelque chose, t’as la conduite de balle aussi souple qu’un d’un dragster.

Welbeck (0/5, MU) : Déjà David, va falloir m’expliquer ce qu’il fout dans l’axe. Le mec est autant fait pour mener le jeu que moi une revue de danseuses au Lido. Ensuite Danny va falloir arrêter les conneries aussi. T’es mignon, t’es sympa, tu m’as l’air sincère, mais ne pas tirer quand il le faut, ne pas passer le ballon quand il le faut, multiplier les mauvais choix à un tel point, ça va finir par éveiller les soupçons d’Europol.

Adrian Mutu (1/5, Ajaccio) : il ne peut pas jouer au foot correctement et organiser un trafic de bébé roms à Marseille. Pas aider par ses coéquipiers, il s’est une nouvelle fois retrouvé trop seul. Un cas désespéré pour Ravanelli qui, comme d’habitude, l’a fait sortir une dizaine de minutes après le début de la deuxième période. Une décision qu’il a eu du mal à comprendre au vu de sa tête au moment de sortir du terrain. Il était tellement surpris qu’il est directement rentré aux vestiaires. FootMercato devrait donc s’empresser de titrer un article : « Ajaccio : Le clash entre Ravanelli et Mutu »

 

le banc

Maggio (2/5, Napoli): On t’a connu t’avais une crête, t’avais un aigle sur la tête. Et depuis t’as perdu la foi, et depuis t’as perdu tes cheveux, et depuis t’as perdu tes potes.

Ricardo Costa (1/5, Valence): Albelda a arrêté, Soldado est parti, donc tu as pris le brassard. Le foot devient bizarre. A côté de Rami, tu aurais presque l’air bon mais en fait non. Je te mets 1 quand même pour tes montées sur corner qui ont mis un peu le feu dans la surface culé. Défensivement, ton niveau est… comment vous dites en français quand un joueur est très faible ? Abidal ? Ah non abyssal, pardon. Je n’étais pas loin pourtant.

Devaux  (2/5, Reims). A joué le plus grand nombre de ballons. Au final, on fait 0-0. Quel impact !

Bradley ( leucémie/5, AS Rome ) : Va peut-être se consacrer à guérir. Non ? Il est pas malade ? Quoi ? C’est pas drôle ?

Pastore (1/5, PSG) Va-t-en ! Dégage ! Enfuis-toi ! Disparais ! Casse-toi ! Fous le camp ! Ouste ! Du balai ! Pars ! Loin. Très loin. Et ne reviens jamais. Et arrête le football par la même occasion, tu rendras service à plein de gens, tu verras.

Plasil (0/5, Bordeaux) : Son dernier match sous les couleurs bordelaises aura donc été un hommage à Yohann Diniz. Sauf que Diniz il marche plus longtemps que ça.

AP Gignac (1/5, OM) : Il lui arrive souvent de marquer un but décisif au milieu d’une prestation médiocre. Ce dimanche soir, c’était encore le cas, mais sans but décisif.

 

3 thoughts on “Le onze anal de la semaine

  1. Le positionnement anal de Congré est très bien illustré! Et le Cleverly retourné, c’est pour qu’il ne montre pas ses fesses à la « tarlouse » de Pedretti? Vaut mieux prévenir que guérir tu me diras…

  2. post-scrotum: pourquoi ne pas mettre l’entraineur anal de la semaine? Ca compléterai le sale tableau, non?

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