Barcelone-Manchester United (1-3) la raide et vile academy championne d’Europe des matchs amicaux

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Salut à tous !

Ce samedi 25 juillet, nos flamboyantes cocottes de Manchester United affrontaient le FC Barcelone au Levi’s Stadium de Santa Clara, en Californie, match comptant pour l’International Nevermind the Bollocks Cup.

Au pays des gens qui se tirent dessus pour le plaisir, on croit encore que le foot se joue avec les mains, mais on ne boude pas pour autant un certain appétit pour le soccer, ce sport forcément un peu barbare puisqu’il vient d’Europe. Parfois je me dis qu’un océan d’écart brouille bien des choses.

Donc non content de faire du naming ridicule en donnant à leurs stades des noms de pantalons mal coupés chers et moches, les braves Ricains se rendent en masse au stade pour voir des clubs dépouillés de leurs stars s’affronter sous un soleil de plomb.

Si notre équipe se présente presque au grand complet (on reviendra en temps voulu sur les départs à venir), le Barca triomphant arrive, lui, dépouillé de ses deux immenses talents Neymar, et bien sur Messi. On peut d’ores et déjà être rassuré quant à l’ampleur du score, donc, puisque ces deux gars-là semblent marquer à peu près quand ils veulent. En revanche, on n’a aucune idée de la qualité que nos cocottes sauront opposer à une équipe légitimement en confiance.

Pour le coup, je profite de cet avant-match pour émettre mes doutes sur la politique du Barca en ce qui concerne la formation.

Jadis fantastique pépinière de talents, Barcelone semble avoir sacrifié à l’exigence de résultats la place que laissait Guardiola aux jeunes de la Masia. Bien sur, qui peut s’en soucier au vu des fameux résultats, comme en témoigne le dernier triplé en date conquis par le club culé

Seulement on ne m’enlèvera pas que ces succès sont loin d’avoir été acquis grâce aux mêmes Barcelonais que la fameuse formation à la Catalane se permettait de faire triompher en 2009 et 2011, un peu comme notre génération dorée livrait sa meilleure copie en 1999, et s’effaçait poliment derrière le succès de recrutements onéreux en 2008. Désormais, comme chacun sait, la ligue des champions s’achète. Et l’on peut considérer que les réels succès d’estime des clubs ne sont plus qu’exception dans ce football mercantile. Ainsi, 100 millions par-ci, 80 par-là, vous fabriquent une belle ligne d’attaque que nulle défense, même la plus inspirée, ne peut vous contester. Les fabriques sont brésiliennes, uruguayennes, peu importe : ça gagne, et l’on devine que le retour sur investissement est plutôt mignon.

Tout le monde fait la même chose, me répondra-t-on, sauf que non, justement : Barcelone a montré à la terre entière par le passé que l’on pouvait faire autrement, tout comme Manchester l’a montré en son temps. Et comme Lyon, quoi qu’on en dise, l’a montré la saison passée à son échelle en Ligue 1, tandis que le champion cherchait plus à recruter la terre entière en laissant filer ses plus grands espoirs aux quatre coins de l’Europe. Et après y en aura encore pour dire que Paris est un club bien géré.

Entendons nous bien : je respecte infiniment Barcelone, que je place parmi les clubs les plus prestigieux sans aucun problème. D’ailleurs, on voit bien que Barcelone s’appuie malgré tout sur des ossatures « maison » dans ses équipes, et ceci bien plus que le Manchester United du moment, autre club pourtant réputé pour l’importance donnée à son centre de formation. Iniesta ou Pedro, encore présents lors de ce match, en sont de bons exemples, et Xavi en a été le signe le plus fédérateur toute la saison passée, avec un départ déclenché une fois seulement que sa musette à trophées débordait (pour info, Van Gaal a lancé deux des joueurs précités. Le troisième pourrait officier sous ses ordres incessamment, selon la rumeur).

Il ne s’agit donc pas d’instruire ici le moindre procès, mais d’énoncer quelques constats, constats renforcés par le fait que nos jeunes se sont indéniablement mieux démerdés que les leurs, au moins sur ce match.

PIMPOLOGIE

Van Gaal l’avait annoncé, son équipe de départ serait la bonne. Enfin, il ne l’a pas dit comme ça, mais vous voyez l’idée : il n’expérimentait pas tant que ça ces derniers temps, il ne rigolait pas du tout. D’ailleurs il ne rigole pas avec le football. Il n’est footballistiquement incorrect que lorsqu’il s’agit de tirer un bilan raide (et vil) bourré devant les caméras du monde entier, et encore, il n’insulte même pas Mourinho.

Nous voici donc avec le onze de la mort, que le coach nous a promis être le futur onze type de MU, sauf changement de dernière minute.

 

Boys will be boys

Quelques enseignements sont à tirer de cette composition infernale (à prendre toutefois au conditionnel, étant donné la possibilité d’autres recrutements ou départs). Deux en particulier attirent notre attention :

-Blind semble s’imposer en défense centrale, au profit de Smalling (ce qui est bizarre) et de tous les autres, ce qui est d’autant plus étonnant. Van Gaal lui voue selon toute vraisemblance la même confiance que moi. Comme déjà mentionné, le retour de Rojo pourrait encore occasionner quelques changements, mais il paraît clair qu’il ne reviendra que pour servir de doublure à Blind en défense centrale, justement, ou à Shaw sur le côté gauche. Blackett resterait en back-up en cas de blessure ou de ratage d’avion. Mais soyons honnête : pour moi Rojo n’a pas sa place en tant que titulaire ; il est au mieux l’antithèse de Blind, c’est-à-dire une grosse brute décérébrée à peine digne de figurer au casting d’un film de Michael Bay, à la lecture du jeu rudimentaire et aux méthodes limites. Il ne devrait figurer en bonne place dans la rotation qu’en second, voir troisième choix, que ce soit pour la défense centrale ou le côté gauche. Je ne comprends pas vraiment l’engouement dont il a fait l’objet ces derniers temps, d’ailleurs. Selon les échos que j’en ai reçu, sa Copa America a été dégueulasse malgré l’accession à la finale (non, je n’ai pas regardé la Copa America). Sans doute bénéficie-t-il encore de l’indulgence donnée aux nouveaux arrivants (un an après son recrutement, super), ceci sûrement grâce à l’espoir qu’il incarnait au dernier mercato de voir du sang neuf dans notre ligne de défense tant décriée.

Bref, le mignon Daley Blind a plus d’un tour dans son sac, et c’est quand on le sent le plus menacé (par les arrivées au milieu de terrain et le retour en forme de Shaw) qu’il s’en sort le mieux. N’est-ce pas là une marque de talent ? Ou alors le favoritisme pro-Hollandais de Van Gaal est totalement déraisonnable et va nous mener à notre perte ? Autant de question que l’on préfère laisser en suspens, de peur de passer pour un enfonceur de portes ouvertes type Pascal Praud.

Reste à voir ce qu’il donnera contre des mecs costauds. Éléments de réponse à guetter face à Paname, avec le toujours très délicat Zlatan.

-Depay s’apprête à devenir une pointe. Ou au pire un 9 ½. Enfin bref : là encore, Van Gaal place un de ses poulains du pays du Gouda à un poste « contre-nature », et compte sur ses facultés d’adaptation.

Ce qui nous amène à une autre observation : Young à gauche, contre toute attente, ça tient. Ça s’accroche façon huître à son rocher, même. Tout le monde s’attendait à ce que Depay lui indique gentiment où poser ses fesses sur le banc, mais c’était oublier que Van Gaal marche avant tout au « marche ou crève ». Tu joues bien, tu fais ce que je te demande ? Tu joues. Tu te plantes ou tu fais n’importe quoi ? Banquette. Y en a juste un qui ne semble pas avoir compris le deal, vu qu’il préfère aller marcher sur des terrains de L1 alors qu’on lui demande de crever pour un club de prestige…mais nous en parlerons ailleurs.

 

LE MATCH

 

En première mi-temps, le scénario s’inscrit rapidement dans la lignée de tous les précédents, vu que c’est le Barca en face : la balle est confisquée, ça part à une vitesse supersonique dans le dos de la défense, les passes précises et inspirées de nos adversaires donnent le tournis à Schneiderlin et Carrick, qui semblent un peu dépassés, et sortir la balle est un véritable calvaire étant donné l’intensité du pressing exercé par nos valeureux adversaires.

On a droit à une frayeur plutôt violente lorsque Suarez tire un coup-franc depuis l’entrée de la surface sur le poteau. Et on joue depuis trois minutes.

Mais contre toute attente, et alors que ça commence sérieusement à serrer les fesses côté Mancunien, un homme se dresse contre l’hégémonie catalane, et annihile avec autorité une offensive adverse à lui tout seul. Il époussette un instant son maillot afin d’apparaître à nouveau sous un jour impeccable, puis relance sobrement, non sans avoir calmé sa défense. Cet homme, c’est David De Gea. Oui, lui aussi est toujours là. Et son retour, c’est comme la vraie bouffée d’oxygène de cette reprise. Pas que Johnestone soit mauvais, mais il souffre de la comparaison de manière cruelle : on n’avait vu que David la saison passée (à l’exception du match de Valdès en cloture de la PL contre Hull City, il avait été très bon), ce qui rendait difficile de placer ses performances en perspective par rapport à nos autres gardiens…là, on voit un type tellement au sommet de son talent que les Barcelonais semblent tétanisés à l’approche des 5 mètres cinquante (à part Suarez, qui est trop bête pour respecter qui que ce soit).

La suite du renversement de paradigme arrive rapidement : sur un corner botté par Young côté gauche, Rooney le roublard pousse Adriano gentiment dans le dos, juste assez pour que l’arbitre laisse jouer, et aussi pour s’offrir le luxe de battre Ter-Stegen de la tête sans même faire l’effort de sauter. 1-0 (7ème).

Pas décontenancés, les blaugranas repartent à l’assaut, et parviennent à se créer des espaces même là où il n’y en a pas. Même Darmian, que l’on avait pas encore eu l’occasion de voir au pied du mur, se fait prendre dans son dos régulièrement, ce qui le pousse à se montrer fort prudent en phases offensives. Son vis-à-vis du côté gauche est un peu dans le même cas, et l’on sent que le goût prononcé pour le sprint de Luke Shaw est légèrement contraint.

Pour rester côté défense, Jones colle au derche de Suarez, mais ce bougre est tellement fort que le moindre petit écart d’attention de la part de son maton d’amour lui suffit à se montrer dangereux. Le salopard touchera deux fois le poteau, quand même…Blind, de son côté, fait son boulot proprement.

On ne peut négliger tout de même de préciser que Manchester est loin d’être ridicule dans cette première mi-temps. Les espaces sont parfois béants dans la défense espagnole, et deux ou trois situations chaudes sur le but de Ter Stegen peu avant la mi-temps viennent calmer les ardeurs de nos adversaires.

Surtout, Young et Depay se foutent royalement de savoir qui du FC Barcelone ou de l’Association Sportive Belcheaume-les-Cocottes est en face, et on peut dire qu’ils se font plaisir, les diablotins.

La seconde mi-temps commence un peu pareil que la première, mais la défense des rouges diablesses tient bon, et nos offensifs se permettent encore quelques incursions, même si l’entrée de Rakitic a encore boosté le milieu de terrain adverse.

Il faut attendre l’entrée de l’équipe seconde pour que le score évolue, et on peut dire que ça ne traîne pas.

Mais où est passé Jonny Evans ?

L’omni-changement de Van Gaal réalisé (tout le monde dehors, place aux jeunes !), une mécanique toute fraîche se met en marche, et à la suite d’un mouvement collectif de toute beauté au milieu de terrain avec Fellaini en organisateur de jeu (comme quoi…), Wilson transmet à Blackett côté gauche aux abords de la surface barcelonaise, le latéral fixe et pénètre, puis adresse un centre en retrait parfait que Jesse Lingard ne se fait pas prier pour transformer en but. C’est beau, c’est propre, ça fait 2-0 (65ème).

Le reste est forcément un peu flou, étant donné que Luis Enrique se met lui aussi à effectuer tout plein de changements. Les jeunes Barcelonais ont envie de se montrer eux aussi, mais Smalling et McNair veillent, tout comme Blackett sur son côté gauche (Valencia, de son côté, se prend toujours pour un ailier ; toujours en course pour le titre de Monsieur Univers, aussi). Ils ne peuvent en revanche éviter le superbe but de Rafinha (volée claquée tendue triple lutz à l’entrée de la surface, c’est une note artistique de 10/10). Fellaini donne l’impression de vouloir aller au contre, puis se dit que non, un type sorti de la Masia qui frappe à l’entrée de la surface, ça ne peut pas être dangereux. Johnestone encaisse et sait sa carrière terminée. 2-1 (90ème).

Comme pour me faire mentir, Januzaj assure un super match, et malgré un raté un peu con, il se rattrape directement après la réduction du score en inscrivant un joli but de soliste, sur un ballon envoyée un peu nonchalamment vers l’avant (par Lingard ou Pereira, je ne me souviens plus très bien). Contrôle du droit, demi volte, frappe croisée, le défenseur n’y voit que du feu (bon, c’est Bartra…), le petit Belge fait du joli,et le goal fait la passoire. 3-1 (90ème +).

DES NOTES

De Gea 4/5 Une grosse frayeur sur le coup-franc de Suarez en tout début de match, puis du David classique. Reste, pitié.

Darmian 2/5 Sous pression constamment, il n’a pas vraiment existé devant, même si la majorité de ses interventions défensives étaient justes. En un contre un c’est costaud, mais les nains sont partis régulièrement dans son dos.

Jones 4/5 Grosse performance du gros Phil, qui devait se coltiner le poison violent Suarez. Il ne s’en est pas mal sorti, avec un marquage à la culotte bien serré, qui lui a valu un carton jaune, mais pas de morsure. Ben oui, fallait que je la fasse…

Blind 3/5 Propre. Toujours mignon, mais son nouveau rôle en défense centrale lui donne plus l’apparence d’un adulte, désormais. J’espère ne pas trop m’avancer en lui trouvant même de faux airs de futur patron…

Shaw 3/5 Costaud et toujours aussi véloce. S’il évite les blessures, son apport devrait se révéler réellement intéressant à la longue.

Schneiderlin 3/5 Pas toujours à l’aise à cause du pressing étouffant du milieu de terrain adverse, le Français a le mérite de s’être battu sur chaque ballon. Sa science du tacle est précieuse.

Carrick 2/5 Pris à la gorge, lui aussi, Michael a parfois pêché par nonchalance dans ses transmissions, avec quelques pertes de balles.

Young 4/5 Passe décisive (un peu chanceuse, ok), frappe sortie miraculeusement par Ter Stegen, pressing, retours défensifs, sens du jeu et du placement, vitesse, juste dans ses dribbles, transmissions toujours dans le tempo, accélérateur, bonificateur…je continue ?

Mata 2/5 On ne l’a pas trop vu. Voilà, c’est tout.

Depay 3/5 Il monte en puissance, le Memphis, et c’est prometteur. Sa conservation de bal et son culot ont mis en difficulté les tentatives agressives des Barcelonais pour lui piquer le ballon.

Rooney 3/5 Rooblard a encore frappé, et il a fait ensuite son boulot sobrement, avec quelques frappes et débordement dont il a le secret. Good job.

PARMI LES REMPLACANTS

Januzaj m’a fait mentir, et je ne pouvais attendre mieux de lui : il a été très bon.

Lingard aussi pourrait enfin parvenir à s’imposer, si les blessures le laissent tranquille. Il serait temps, il a 22 ans quand même, le bonhomme…

McNair en défense centrale, ça marche aussi. Lui, j’y crois.

Prochaine étape, c’est Luke qui vous la raconte, bande de veinards : le match contre Paris comptant comme la finale de l’International Chamions Cup ! Je lui laisse le loisir de vous parler de Di Maria tant qu’il veut, puisqu’il aura eu la chance de voir son club d’accueil et son futur club définitif s’affronter. Personnellement, je ne vous livrerai pas le fond de ma pensée à propos d’un type qui se barre comme un lâche après être venu jouer les sauveurs (enfin…payé 10 millions l’année, le sauveur) dans un championnat où la qualité la plus prisée est la bravoure, chose dont il est manifestement dénué, qui a accepté de signer un contrat longue durée dans un club qu’il savait qu’il allait quitter au bout d’un an au plus, qui « rate un avion » pour ne pas avoir à se présenter devant sa hiérarchie tant il doit se sentir merdeux, qui part se remplir les poches encore plus comme si le salaire exorbitant que MU lui délivrait n’avait pas suffit à lui procurer l’amour du maillot, qui souille par son attitude aberrante le numéro de maillot porté par George Best, Cantona, Beckham avant lui, qui, qui…ah ben merde, je l’ai livré, le fond.

Bobby Carlton

3 thoughts on “Barcelone-Manchester United (1-3) la raide et vile academy championne d’Europe des matchs amicaux

  1. Rien à ajouter sur le dernier paragraphe sur Di Maria, c’est exactement ce que je pense, un lâche, et aucun article en France pour le souligner, alors que s’il était d’Arsenal on le traiterait différemment…

    Moi aussi j’admire Blind (la satisfaction de la saison dernière avec Herrera), mais je suis vraiment inquiet de me dire qu’on va commencer la saison avec lui titulaire en défense centrale. J’espère qu’il va me faire mentir et s’imposer en taulier. Cela tient à la lubie de Van Gaal de faire jouer un gaucher en défense centrale gauche et un droitier en défense centrale droite. Du coup on se prive de Smalling qui, je suis désolé vu comment il est descendu ici, a fait une deuxième partie de saison de patron suite à son expulsion stupide à City. Pour un été où il était question de recruter Sergio Ramos ou Matts Hummels, démarrer avec Blind ça la fout un peu mal, mais bon pourquoi pas, ce garçon me donne envie d’y croire.

    Pareillement circonspect sur Memphis (puisqu’il ne veut pas qu’on l’appelle par le nom du père) en 2ème attaquant, mais je pense que le recrutement de Pedro changera la donne, ça pourrait être lui qui jouerait avec Rooney et Memphis serait à gauche avec Young pour jouer le remplaçant de luxe. En tout cas le Memphis a l’air chaud patate, un côté gauche Shaw-Memphis ça peut donner de l’espoir.

    Le recrutement est satisfaisant, mais du coup quid de mon chouchou Herrera, il risque encore de se retrouver sur le banc alors que c’est sa titularisation qui a démarré notre bonne série la saison dernière. Voir Young, Fellaini et Chicharito sur le banc pour rentrer et changer le cours d’une partie, ça ne me dérange pas, mais voir Herrera avec eux ça serait un crève coeur. Et pareil pour Januzaj qui semble dans une meilleure disposition d’esprit que la saison dernière. Du coup ça fait un effectif étoffé et a priori compétitif, tant mieux.

  2. « Et comme Lyon, quoi qu’on en dise, l’a montré la saison passée à son échelle en Ligue 1, tandis que le champion cherchait plus à recruter la terre entière en laissant filer ses plus grands espoirs aux quatre coins de l’Europe. »

    C’est qui ses plus grands espoirs? Chantôme? Coman est certes parti (en refusant une offre de prolong’) mais tout le reste est encore sous contrat (Augustin, Areola, Rabiot, Sabaly, Kimpembé et même encore Bahebeck et Ongenda)

  3. @André

    Eh oui, la tendance se confirme : VG a dit Ramos ou pas de recrutement en DC. Je veux croire en Blind.
    Herrera jouera, il profitera certainement des nombreuses rotations et/ou des blessures de Carrick et Schweini. Je ne me fais aucun souci pour lui.

    @Carlos

    Qui sont ces gens dont vous me parlez ?

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