Le Onze Anal de le rot, journée 1
Il est déjà allé se faire enculer avec sa tactique. D’ailleurs elle ressort.
Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes académiques en avant, nous créons pour vous, un face à face unique en son genre, le onze contre onze.
C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent), le service rédaction choisit chaque semaine les meilleurs et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.
Aujourd’hui, le coach anal a encore eu envie de flamber avec un 352 osé pour faire comme les Italiens qui ont la classe. Sauf que le coach anal se contente de peu en important beaucoup de produits de l’est et exploite mal ceux qui pourraient l’aider à pousser. Face à l’adversaire. Mais tout de suite, le Onze anal de le Rot 2012.
Les Titulors
Szczesny, Pologne (0/5) : Merdre de salaupiaud qui a tout gâché. On m’avait dit que t’étais bon à Arsenal. Et bien…
Arbeloa, Espagne /1 : Il n’y a que le train qui ne lui est pas passé dessus.
Perquis, Pologne (0/5) : Main, occasion ratée, alignement avec Wasilewski hasardeux, interventions inutiles et malvenues à trente mètres des buts. Le match anal parfait.
Hubnik, Rep. Tchèque (0/5) : Mauvais, comme souvent. Comme attendu. Comme craint. C’était vraiment pas facile d’être plus mauvais que son compère de la charnière mais il a réussi. A virer au plus vite pour faire revenir Kadlec dans l’axe. En plus sa tête me revient pas.
Berezutsky, Russie 1/5 : Coupable de haute trahison envers sa patrie. Possibles connexion avec les séparatistes sibériens pour avoir jeté un froid pareil sur notre moral. S’aperçoit malheureusement trop tard de l’incursion ennemie ; comme un symbole d’accident nucléaire minime. Son patronyme et ses actes contre-révolutionnaires ne jouent pas en sa faveur. A surveiller de près.
Larsson, Suède (1/5) : La pensée suédoise est simple : Aller tout droit, rentrer dans le tas. A ce petit jeu là, les mecs qui sont sur les bords ne servent à rien s’ils n’ont pas un minimum de tempérament pour s’imposer… Et Larsson en est l’exemple flagrant. Putain de fantôme.
Tymoshchuk, Ukraine (1/5): Il a joué ?
Sotiris Ninis, Grèce 2/5 : Il a foiré son début de compétition en ratant un nombre incalculable de passes, dont des talonnades (il en a tenté trois et aucune n’est passée).
Toivonen, Suède (1/5) : Perdu. Totalement perdu. Mais alors vraiment. Genre inexistant. Bon, on pourra finalement se demander si c’était une bonne idée de l’enlever de sa position de 9 alors qu’il a fait toute la préparation comme ça. Au vu du match. On dira non… C’est facile de dire ça maintenant. Oui, mais je m’en tamponne la cotte de maille.
Podolski, Allemagne : 1. Wenger s’est retrouvé tout emmerdé quand on lui a demandé ce qu’il pensait de sa nouvelle recrue. Sur ce match, Prinz Podi a surtout fait de la merde, piquant la balle à des potes et rendant systématiquement hommage à Carsten Jancker dans ses frappes. Un effort constant de replacement défensif lui permet de sauver son match.
Balotelli, Italie (0/5) : Très motivé mais aussi très con. Ne s’est pas signalé autrement que par son excès d’engagement et de fautes évitables, avant de manquer l’immanquable, et de sortir. En fait, ce qu’il faut faire, ce n’est pas suspendre le Calcio. Il faut instaurer la ségrégation (remplacé par Di Natale)
Remplaçants
Cech, Rp. Tchèque (1/5) : Jamais décisif, souvent suspect. Etre cité dans la course au Ballon d’Or c’est plutôt bien, mais ce n’est pas pour autant que ça donne des pouvoirs magiques. Donc non, fixer la balle ne va pas la faire dévier de sa trajectoire. Si tu veux qu’elle se casse de là, sors et tire dedans.
Sivok, Rep. Tchèque (1/5) : J’ai tendance à avoir un peu de pitié pour un mec dont c’est pas le poste naturel et qui doit se coltiner l’autre abruti en guise de partenaire. L’idée de sortir sur l’attaquant est intéressante, quand celui-ci décale sur l’aile et voit la balle lui revenir en une touche de balle elle devient mauvaise. Mais bon, sans personne à la récupération…
Mellberg, Suède (1/5) : Tu peux me rappeler ta taille et celle de Sheva ? Comment peux-tu oser te faire manger comme ça sur l’égalisation ? Comme contre la Serbie, il n’a pas su sécuriser et là surtout, il n’y a pas eu d’interventions de qualité pour le sauver un minimum.
Wasilewski, Pologne (1/5) : Si Szczesny fait une sortie très mauvaise sur le but grec, Wasilewski ne l’aide pas trop à s’en sortir en ayant un retard de cinq minutes en gare de Gekas.
Baros, Rep. Tchèque (1/5) : Plutôt que de parler de sa rencontre, je vais plutôt vous livrer ces quelques lyrics issus de la chanson Foyer de Gangsta Diallo : « Y a personne qui peut nous test, personne qui va venir nous test, y a personne qui pourra nous test : on fait des bons plats. »
Doyle, Irlande 1/5 : c ’est censé être l ’attaquant bon en pivot. Mais ce n ’était pas très réussi. D ’ailleurs il n ’a pas réussi grand chose depuis plusieurs mois. C ’est un peu le Torres irlandais.
Benzema, France (1/5) : Forcément, à 40 mètres du but t’es moins dangereux.
Pour faire coucou au onze mondial de l’Euro qui déboite la rondelle de l’anal, c’est par ici.
Dommage que la Oranje Akadémie ne fasse pas son boulot, on aurait pu retrouver une bonne partie de l’effectif ici.