Jean n’a pas le temps, il en passe trop dans des couloirs blancs avec plein de gens autour. Non, ce n’est pas l’hôpital psychiatrique.

 

Salut, c’est Jean Colère. Il fera court pour aujourd’hui parce qu’il a la tête ailleurs, dans les vapeurs enrhumés et qu’il a vu le match d’un œil le lundi, après avoir tenté en vain d’arriver à 17h30 et de lancer un streaming. Au final, seulement 10 minutes en direct, dix belles minutes puisqu’elles se finissent sur une victoire mais dix minutes frustrantes quand Jean se souvient des nombreux messages reçus « C’EST LE MATCH DE L’ANNÉE, C’EST GÉNIAL ! »

 

Passons alors plutôt aux notes directement :

Langerak (3/5) : son début de deuxième mi-temps rappelle les grands moments de Dortmund à l’Allianz. Il en prend deux ensuite, par péché d’autoritarisme. Prestation encourageante pour prendre la suite de Roman, un jour.

Piszczek (4/5) : Toujours plus rapide, toujours plus efficace, toujours plus nantais. Euh. Borussen.

Santana (3/5) : Le courant le plus alternatif de la défense, toujours, avec du meilleur dans la continuité.

Hummels (4/5) : Cet homme est parfait. Jean n’a plus la force de le commenter.

Schmelzer (2/5) : S’il en faut un avec un 2, ce sera pour lui.

Bender (3/5) : Aussi solide qu’un Kehl en pleine forme. Pas de folies, Sven a assuré l’essentiel pour cette fois et il a eu raison.

Güngodan (4/5) : Dans la continuité de sa prestation de la semaine dernière, Ilkay massacre tout sur son passage. Il est à l’origine d’un déluge de cartons jaunes contre Leverkusen dans la dernière demie-heure.

Blaszczykowski (4/5) : Un pénalty réussi, un pénalty manqué, du débordement en veux-tu ? En voilà. Ja court toujours.

Reus (4/5) : Un premier but somptueux, après 3 minutes.

Götze (3/5) : Rah, Jean a des scrupules avec ce 3. Mais Götze a beau avoir fait tout très bien, il n’a pas été suffisamment décisif, pour cette fois.

Lewandowski (5/5) : Après trois minutes, Lewa méritait 10/5 pour sa passe vers Marco Reus. Si on ajoute le but de la victoire dans la foulée de l’égalisation de Leverkusen, Jean est bien sévère avec ce 5.

Les remplaçants :

Großkreutz, pour lui donner un cœur à travers l’écran. Et puis un peu de Kehl et de Schieber, pour faire tourner la montre.

 

Jean Colère, au stade mercredi soir. Bis bald und vielen Analküssen.

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