On a joué de la mandoline avec Mangiacaca, pour séduire les prostituées. Du romantisme à l’état brut.

Titolari :

De Sanctis (non noté) : A flirté avec Régis sur une passe en retrait de capitaine Cannavaro, mais ce n’est pas allé plus loin. À part ça RAS ; Morgan ne pouvait rien faire sur le but pescarese.

Gamberini (2/5) : Lui pouvait faire mais il n’a pas fait, battu dans son duel à la tête avec Bjarnason. À part ça un match assez tranquille dans l’ensemble, mais il a parfois souffert d’un déficit de vitesse par rapport aux adversaires.

Cannavaro (3/5) : Pas grand chose à se mettre sous la dent lui non plus. Il s’est essayé à quelques montées pour tromper l’ennui, mais Inler lui prenait le ballon des pieds. Alors merde, Paolo n’en avait strictement plus rien à foutre https://www.youtube.com/watch?v=_w-XhDYwtxs.

Britos (3/5) : Difficile de contenir Weiss, autant que de contenir ses flatulences après un resto indien. Mais dans l’ensemble Miguel s’est acquitté de cette mission.

Mesto (2/5) : Mardi avec Mangiacaca, on posait la question : « Finalement, pourquoi pas lui confier le couloir droit d’entrée de jeu, en lieu et place de Maggio ? ». Maintenant on comprend.

Behrami (4/5) : C’est le nouveau « Pitbull », mais lui n’est pas dopé. A priori. Toujours aussi précieux dans le pressing et la récupération, il n’est pas ridicule non plus, quand il s’agit de relancer.

Inler (4/5) : Comme contre Milan, il a débloqué la situation d’une frappe canon, avant de récidiver en deuxième période. En plus de cela incontournable dans la construction, le Suisse a tout simplement été l’auteur de son meilleur match depuis le début de saison.

Zuniga (3/5) : Le genre de prestation qui laisse beaucoup de marge à la subjectivité. Le football est plus fort que la NBA https://www.youtube.com/watch?v=BqlJwMFtMCs.

Hamsik (4/5) : Toujours impliqué dans les actions dangereuses, c’est lui le « dépositaire du jeu dans cette équipe » dixit Fifa 13 (argument d’autorité, tout ça…). Il inscrit en prime un but assez génial.

Insigne (4/5) : Il a cherché Verratti et Immobile mais il n’étaient plus là. Immobile avait bougé – nous assumons pleinement la responsabilité de cet échec, et nous en tirant les conclusions en nous retirant de la vie politique, après la fin de l’élection présidentielle. Avec sa percussion en peau de chèvre et sa technique, Lorenzo a encore été un poison pour les défenseurs. Il ne lui manquait qu’un but.

Cavani (4/5) : Court après les buts et parfois un peu trop ; El Matador ne privilégie pas toujours la meilleure option à vouloir à tout prix marquer tout seul, et, en deuxième période, son manque de réussite n’a pas arrangé les choses. Finalement on ne lui en veut pas, il marque tout de même deux buts en deuxième période, et provoque l’exclusion de Bocchetti.

Sostituzioni :

Dzemaili : Pas de quoi enculer une crevette avec les doigts.

Vargas : Vargas répare, Vargas remplace.

El Kaddouri : On rigole, on rigole, mais le Belgo-Marocain-Sarrasin a obtenu deux coups-franc intéressants.

À propos du Derby della Mole :

On a beau avoir vu le match avec Mangiacaca, on n’a pas eu la motive pour académiser. Outre le résultat (3-0 pour la Juventus), c’est à cause du scénario : le carton rouge de Glik a flingué le suspense, transformant le match en un attaque-défense sans intérêt, à part peut-être de savoir si oui ou non, Bendtner allait marquer. Et ben non…

Baci a tutti,

Mangiacaca e Fistoculo

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