On a souvent parlé de la sélection de Michael Bradley dans l’équipe américaine, de par la position de sélectionneur qu’y avait son père jusqu’en 2011. On se doutait aussi que le petit devait avoir un certain talent, sinon, il ne jouerait pas au Chievo Vérone. On a ici la preuve avec cette magnifique frappe que le fils mérite bien ses sélections. Quant au match, les Ecossais ont mangé toute la rencontre, et ont encaissé 5 buts, dont 2 dans les 11 premières minutes. Et pourtant, Francis Gillot n’est pas le coach.

3 thoughts on “Le rêve américain de Bradley

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