ASSSSSSSE / Paris SGEL (1-3) – La Porte de Saint-Cloud Académie continue de gagner mochement
SERGE.

[Le feuilleton, c’est pour les dix ans (ou presque) de Paris-Saint-Germain-en-Laye, et c’est la suite de ça : épisode 1 – épisode 2 – épisode 3]
Comme d’habitude, ça faisait une semaine que Georges aurait dû publier son académie. Et comme d’habitude, il n’avait aucune envie de s’y mettre. Les mâches en retard s’égrenaient et la feuille restait blanche. L’acad’ du mâche à Manchèsteure, ça faisait déjà longtemps qu’il avait fait une croix dessus. Le FC Kombouaré, n’en parlons même pas. Là, le mâche de Sintétiène, il y croyait, la machine allait repartir. Sauf que le duel suivant contre les vautours nissSsois était déjà passé et qu’il en était toujours au brouillon quasi vierge de l’article du week-end précédent. Mais bon, il s’était rassuré comme il pouvait : si on commence à prendre en compte les journées de Ligain jouées en milieu de semaine, on est pas sorti du sable. Sauf quand on a la chance de s’appeler Blaah. Mais c’est un autre sujet.
Le fait est qu’il restait planté là, devant sa machine à écrire, même pas électrique (histoire de respecter l’univers rétrococo du bazar, la diégèse de la Porte de Saint-Cloud Académie, comme on dirait si on était du genre à se la péter vocabulairement (du coup c’est fait, zut)), à ne pas savoir par quel bout prendre Denis Bouanga – vaste sujet s’il en est, même la Forez Académie s’y arrache encore les cheveux (ou presque).
Il est 19 heures, la panic room de Colonel-Fabien (Col’Fab, comme on disait dans le milieu (non)) est vide et plongée dans la pénombre, à l’exception de son petit bureau mal éclairé par une lampe grésillante. Le regard de Georges, fuyant la page blanche, se perd sur les objets qui l’entourent. Un petit portrait de Léon dont le verre s’est brisé et qu’il cache de ses ami.e.s stals derrière une photo de Joseph ; une antique écharpe du Spartak qui lui tient plus chaud que n’importe quel cachemire (y a pas à dire, pour réchauffer leurs supporters, les Popofs savaient y faire) ; un cendrier Avèze qui lui sert de vide-poches et déborde de vieux tickets de métro usagés.
Entre les coupons blancs rayés noirs déchirés, Georges discerne le rouge vif du petit tract qu’il avait récupéré quelques jours plus tôt. N’étant pas disposé à se remettre à écrire, il ne lui est pas difficile de se distraire de son clavier poussiéreux pour se saisir du papier froissé, faisant tomber au passage une vieille pile rongée par la crasse qui alla rouler lentement mais sûrement vers le bord de la table avant qu’il ne la rattrape d’une main paresseuse et la remette à couver sur sa litière de tickets de caisse.
« Concert de soutien ». Sous ce titre simple et efficace, sans plus de précision quant à la cause prétexte au soutien en question, s’égrènent les sempiternels noms de groupes casus dont on croirait qu’ils ont été choisis aléatoirement dans un lexique rempli de 8°6, Spartan, Social et autres Crew. Le tout agrémenté dans le plus pur style collage punk dégueu. Après un certain temps de contemplation du prospectus, Georges finit par se lever, le fourrer dans la poche de son pardessus pendu à la patère, enfilant celui-ci dans le même mouvement. Il éteint la lampe fatiguée, le filament soupirant d’un petit crépitement électrique pendant que la pièce plonge dans l’obscurité.
Il n’y avait pas loin de là à la Goutte d’Or, lieu de tenue de l’évènement. Il prend le parti de s’y rendre à pattes. Un petit périple dans la brise glaciale plus tard, le voilà rendu devant le bar. Pas de signe distinctif particulier, juste un bouge à musique resté dans son jus depuis 30 ans et sa reprise par un couple de frères berbères, têtes patibulaires, identiques comme pas deux. La cave d’en bas était ouverte à qui en voulait, pas de programmation sur 6 mois. Ça donnait parfois de beaux conflits de calendriers, quand rastas blancs et vieux noiseux se pointaient le même jour parce que le patron avait géré son planning en dilettante.
La musique braille déjà du haut des escaliers. Ce soir : du oi!, du oi!, du oi!, et un bout de ska au milieu. Le public est raccord avec les zicoss niveau capillaire, pas un cheveu qui dépasse, sauf pour les blondes et leurs petites papillottes aux tempes. Georges et son poil soyeux bien qu’épars se glissent maladroitement dans la mêlée de bombers, attirant l’attention comme un col blanc endimanché à un piquet de grève de métallos. Dans un coin, la tête dans le caisson de basse, il avise un petit groupe plus familier. Le type de l’autre jour, à Bauer. Et la fille, celle qui tractait l’autre soir à Barbès pour ledit concert, au milieu de trois-quatre gusses du même acabit.
Il se dirige sur eux tant bien que mal, esquivant les pogos déclenchés sans crier gare, grinçant des dents à chaque fois qu’il arrache sa semelle du sol collant de mauvaise bière. Il tape sur l’épaule du premier type. Il se retourne, le reconnait, lui crie des phrases perdues dans le vacarme de l’enceinte toute proche, il acquiesce et sourit sans comprendre. Après petite conciliabule, il rameute ses copaines et leur fait signe de s’extirper de la nasse, poussant Georges devant elleux.
Retour au calme – relatif – au dehors, au milieu des skins éméché.e.s et braillard.e.s répandu.e.s sur le trottoir devant le bouge. Le petit groupe se cale autour d’un rebord de fenêtre voisin qui fera office de comptoir, chacun.e déposant sa canette bon marché pour se rouler des clopes. Un des gars que Georges ne connaît pas, un immense gaillard, arborant sous sa calvitie mi-choisie mi-subie un front aussi plissé que celui d’Andrérrerra, entame la conversation :
« Alors, on veut parler Auteuil, à ce que j’ai compris ? » Devant la mine interloquée de Georges, il reprend : « Désolé, j’me présente pas : on m’appelle Brico. Rapport à l’habitude que j’avais de toujours me balader avec deux-trois clés anglaises sur moi, dans le temps. » Le groupe se marre alors que Brico lui tend la main, que Georges serre de bonne grâce, pour une fois. « Fifi m’a parlé de toi, » dit-il en désignant d’un hochement de tête le ke-pon rencontré à Bauer, qui lui adresse un sourire franc entre ses larges rouflaquettes. « On était dans le même groupe de potes dans le virage Auteuil-G, un temps chez les Supras, un temps chez les Tigris, puis en indé. Après 2011, Fifi est passé à Bauer, moi j’ai jamais vraiment pu faire le deuil du Parc. Le plan Leproux m’a lessivé des tribunes. »
« Personnellement », poursuit ledit Fifi, « j’ai pas attendu Colony Capital pour venir voir le Red, à l’époque on passait facilement d’un stade à l’autre. Les échanges étaient réguliers, je traînais déjà avec le Gang Green à l’époque où j’étais chez les Tigris. Y avait Lulu avec moi aussi – il désigne la fille des tracts, qui acquiesce du menton -, mais elle est carrément passée au FC Ménilmontant aujourd’hui, j’te raconte pas l’intégriste ! Islamo-gauchisse, va ! » Rires rauques du petit groupe après cette boutade, Lulu comprise. « Tu peux parler avec ton club bobo ! T’en as entendu parler dans Vice, c’est ça ? » renchérit-elle. Redoublement d’esclaffements.
Georges ne rit pas, lui. Tout ceci est bien gentil, mais il ne comprend pas le charabia de ses interlocuteurices. Supras ? Tigris ? Leproux ? Et surtout, Colony Capital ? Que pouvait bien signifier cet immonde néologisme libéral d’un bon goût à faire déboulonner les statues d’esclavagistes par paquets de douze ? Les questions s’accumulaient dans l’esprit torturé de l’académicien, initialement parti pour faire une rétrospective de 10 ans de dribbles ratés de Lucas Moura, et qui se retrouvait à s’enfoncer toujours plus loin dans l’incompréhension. Était-ce bien là de Paris-Saint-Germain-en-Laye dont on lui parlait ? Il ne reconnaissait plus l’équipe qu’il suivait depuis maintenant des années, à la lumière des témoignages contradictoires qu’on lui en faisait. Comment le club pétrodollaré avait-il pu être, à un moment de sa courte existence – 10 ans, rappelons-le – le refuge de ces skins à 8°6 ? Ces vieux punks gauchistes, dans les tribunes à papa du Parc ? Dans quel monde parallèle cela avait-il pu arriver ?
Malheureusement, le temps pressait. C’est ça aussi de faire des introductions à rallonge pour planter un beau décor, on arrive à peine dans le vif du sujet qu’il faut déjà couper court. Une chute, il faut une chute. Reporter la fin du dialogue à la prochaine fois. S’extirper de cet épisode interminablement long à écrire. Consacrer enfin quelques heures de travail salarié à des mission bel et bien inscrites sur notre fiche de poste – le travail en perruque a tout de même ses limites.
Alors que Georges cogite, l’impensable arrive. Dans la France de 2021, la France des Droits de l’homme, la France de la tolérance, la France de Bénabar (rires), un groupuscule d’individus très mobiles s’avance d’un pas déterminé vers le bar depuis le bout de la rue sombre. À première vue, rien ne distingue clairement la dizaine de nouveaux-venus des casus déjà agglutinés autour de l’entrée : mêmes cheveux (donc pas de cheveux), mêmes blousons, mêmes pompes, mêmes jeans retroussés. Rien ne ressemble plus à un skin de gauche qu’un autre skin, mais de droite.
Il ne faut cependant pas longtemps au groupe autour de Georges, le plus proche de l’incident à venir, pour comprendre de quoi il retourne. Fifi est le premier à aviser les types, donne discrètement l’alarme en jouant du coude auprès de ses potes. Les gaillards d’en face s’approchent, et l’on commence à distinguer les ceintures enroulées autour du poing de certains à leur passage furtif sous la lueur d’un réverbère. Le contact est imminent. Le temps manque pour prévenir les autres pensionnaires du troquet, il va falloir gagner du temps. Brico et sa bande prennent les devants.
Georges se place en retrait. Le premier coup part sans qu’il ait pu déterminer de quel côté il venait, les cris s’élèvent et emplissent la rue. La rumeur parvient jusqu’à l’intérieur du bar, certain.e.s viennent en renfort, d’autres choisissent de quitter l’endroit à l’opposé de la castagne. Georges choisit cette dernière option, n’étant pas concerné par les tenants et aboutissants du bazar. Manque de pot, un autre groupe vociférant barre l’autre extrémité de la rue. Ici encore, les coups de ceinturon commencent à pleuvoir, de même que les cannettes de bière à moitié pleines en retour.
Coincé, Georges tente de revenir dans le bar, mais le flot des skins en sens inverse l’empêche d’entrer. Emporté par la cohue, ne reconnaissant pas le faf de l’antifa, il tournoie au milieu de la mêlée, bousculé, se retrouve dos au mur d’en face, se rattrapant tout juste pour réceptionner un gars envoyé valdinguer contre lui. Il amortit sa chute, le remet dans le bain d’une poussée dans le dos, le type repart de plus belle d’un pied haut pleine poitrine que Clément Turpin aurait eu de la peine à ne pas siffler.
Puis, aussi vite qu’ils étaient arrivés, les nazillons se replient en ordre dispersé, sans doute surpris par la résistance qui leur est opposée. On les prend en chasse sur quelques dizaines de mètres, histoire de s’assurer qu’ils ne reviennent pas de sitôt, puis le calme revient peu à peu devant le bistrot. Certain.e.s qui n’avaient pas compris ce qui se passait émergent tout juste du bar pour venir aux nouvelles, tandis qu’on s’occupe de deux-trois gonzes qui ont morflé.
Georges, qui était resté acculé au mur d’en face, reprend ses esprits en voyant revenir Brico, Fifi et Lulu, hilares. Le voyant là, iels radinent vers lui. « Ça va, pas de bobo ? » s’enquiert Brico en lui prenant l’épaule. « Encore une chance, c’était que de la bleusaille, ils ont détalé à la première résistance. » Fifi le reprend : « J’ai quand même reconnu un ancien du KOB dans le tas, je l’avais aussi croisé à Charléty une fois. Pas un tendre, celui-là. Mais le reste, ouais, que des lapereaux. » Lulu renchérit : « Des gentlemen, ils ont pas osé taper sur moi. C’était gentil de leur part, mais ça leur a pas évité mon genou dans les parties. Finalement, y a du bon dans le sexisme des fafs, tiens ! »
Georges se permet cette fois d’accompagner les autres dans leur rire sonore. Il ne comprenait toujours pas grand chose mais, la pression retombant, il ne crachait pas sur un peu de dédramatisation. Il ne rouspéta pas non plus quand les trois skins lui proposèrent un verre, et se prit même à payer sa tournée de Picon, histoire d’éduquer un peu le palais de ces béotiens fana de la bière en cannette. Les questions qu’il se posait sur PSGEL auraient bien une réponse, tôt ou tard.
Plutôt tard.
LE MÂCHE CHEZ MÉMÉ
Oui, donc, le mâche à Sintétiène. Une mi-temps passée à rater des trucs devant comme derrière et à se manger logiquement un but de Denis fucking Bouanga dans le blizzard forézien. Le fait de jeu arbitral juste avant la pause qui nous offre une mi-temps à onze contre dix et une égalisation de Marki dans la foulée, sur coup franc du Messie. Une deuxième période à pousser de tous nos sphincters pour accoucher d’un but salvateur de l’Ange de Marie, bien servi d’un extér soyeux de Lionel, puis un break rageur en fin de mâche, toujours de la tête, toujours de Marki, toujours sur un service du Ballon doré. Ça joue toujours moche mais ça continue de caracoler en tête à la Porte de Saint-Cloud Académie.
Et merde, avec ces conneries de feuilleton qui met trois semaines à s’écrire j’ai aussi laissé passer le mâche de Lens. La cadence est intenable, heureusement qu’on est pas payé aux pièces.
Jean-Louis (2/5) : *insérer photo de moue de Robert de Niro*
AchrRrrRaf (2+/5) : Comme un jeune diplômé entrant dans la vie active et tirant un trait sur ses désirs de vie en autarcie dans une orgie hippie sur le plateau des Mille vaches, Achraf commence à oublier ses rêves d’enfant de folles cavalcades dans des couloirs sauvages pour se résoudre à son poste fixe de latéral droit stagiaire, catégorie B, classe normale, sans trop râler. Bonus macronien pour ce bel esprit de résilience, il sera reporté sur votre fiche de paie.
Marquignosse (3+/5) : Enfin, il peut sereinement monter et planter ses coups de casque dans la surface adverse sans craindre de recevoir une saucisse dans le fondement de la part d’un de ses coéquipiers (je ne vise personne, bien sûr).
Serge (VERGIO/5) : Enfin. L'(e sur)homme que l’on attendait tou.te.s. Celui pour qui la Porte de Saint-Cloud Académie a changé sa bannière millénaire (ou presque). Il est là, et il nous donne déjà plus que ce que l’on attendait. Le bestiau espingouin aura habilement ménagé l’attente, nous faisant bien mariner dans notre risotto de Kimpembisme moisi pour qu’on l’attende comme le messie (le vrai). Et bon dieu que c’est bon. Deux-trois passes mal assurées et quelques gros taquets d’abord, histoire de se mettre en jambes, et voilà que Serge et son IMMENSE bouche barbue nous récitaient leur partition à la perfection : relance courte, relance longue, pressing haut, montées rageuses… Le type a un Pressenelle dans chacune de ses ÉNORMES molaires. J’ai envie de me faire tamponner par Serge. De valdinguer dans les panneaux publicitaires comme un vulgaire Denis Bouanga. J’en frissonne déjà de plaisir.
Jean-Bernard (2/5) : Il a l’air tout usé fatigué, et pourtant il a eu plus d’un an pour se reposer, merde.
Daniel Pereire (3/5) : Fût un temps, voir Daniel titulaire l’aurait fait d’emblée partir avec une sale note. Ce temps, c’était juste avant ce mâche, en fait. Le 1/5 était déjà couché sur papier avant même que le coup d’envoi ne soit donné (bon, pas exactement parce que j’ai regardé le mâche en différé, mais l’intention y est, soyez pas vache). Tout était écrit : Daniel ferait un mâche flingué, toutes les erreurs de PSGEL seraient concentrées dans sa seule performance pourlingue, il serait le prisme magnificateur de la nullité intrinsèque de cette équipée de joueurs moches et de beaux joueurs moches empilés dans un fatras tactique inextricable. Pourtant, sans que l’on sache trop comment, vînt le temps de la réflexion, du recul. De la déconstruction de l’image que je me faisais de Daniel. Après une semaine de retraite silencieuse dans un monastère maoïste du mont Lozère, la question m’est apparue plus clairement : était-ce lui qui était objectivement nul, ou moi qui le voyais nul d’office ? Fallait-il que je lui fasse éternellement payer la mauvaise idée que je m’étais faite de lui à son arrivée ? Devais-je le tenir pour responsable de mon insatisfaction crasse d’académicien enchaîné au destin inintéressant d’un club omnipotent dont on attend tous les trois jours une masterclass de beau jeu, une démonstration de fouteballe, une avalanche de beaux gestes individuels et une totale maîtrise collective ? Demandais-je à Daniel quelque chose dont il n’était tout simplement pas capable ? La réponse me sautait aux yeux, bien sûr. Arrimé à l’idée que Daniel était l’alpha et l’oméga des problèmes de PSGEL, j’en avais oublié l’essentiel : il ne s’agit après tout que d’un simple joueur de fouteballe. Pas forcément le plus talentueux, pas forcément à sa place. Juste un honnête fouteballeur qui joue son rôle, avec plus ou moins de réussite, dans une équipe qui fait de même. Fort de cette réalisation, j’ai observé objectivement son mâche. Son positionnement, ses mouvements. Ses compensations, ses manquements. Ses interceptions, ses transmissions. Ses erreurs, ses réussites. Ce petite monde qui se joue dans un corps seul sur un terrain de fouteballe, entouré d’autres corps plus ou moins bien articulés et coordonnés (sans rancune, Alpha), tous mus sans doute de la volonté de bien faire (sauf un, peut-être). Alors, j’ai mis 3. Honnêtement. En relativisant, en pesant le pour et le contre. Sans préjuger de la performance de Daniel, juste parce qu’à mon sens, c’est ce qu’elle valait, au regard de ce dont il s’était déjà montré capable, et de ce que l’on pouvait légitimement attendre de lui, donc. Simplement. Et j’ai pas de chute à l’histoire. C’était du premier degré. Merde.
Idrissa (2+/5) : Idem. Ou presque.
Remplacé à la 75e par Paredesse, qu’il faut bien dépoussiérer une fois de temps en temps, quand même.
Ange de Marie (2+/5) : Le but salvateur, c’est lui. Sinon, mouaif.
LIONEL (stats/5) : Un mâche qui dans l’ensemble ne casse pas trois pattes à un Darmanin (dommage), mais au bout ça fait quand même trois passes décisives. Comme dirait l’autre, je crois que bon.
Némarre (2/5) : Pas trop trop cassé jusqu’à ce qu’il finisse par se casser pour de bon (dans les deux sens du terme) en fin de mâche.
Remplacé parce que cassé à la 88e par Éric Dinette, jsp c ki.
Mbappouz (1/5) : Devant tant de face-à-face ratés, notre confrère de la Forez Académie a évoqué une Nolanrouxisation. La comparaison n’est pas pour me déplaire. Blague à part, vous saviez que Nolan avait fini en Natianal à la Berrichonne, dites donc ?
Bises les nul.le.s, à dans une petite éternité,
La bise trotskanale,
Georges Trottais
Ces éculés à ceinturons.
Ne vous méprenez pas, vous êtes plus nuls avec Lionel « Ballon d’Or » Termite.
Non, je déconne. Lol