Auxerre-Nancy (2-2) : La Chardon à Cran Académie vous en veut à tous.

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Et on se quitte bons amis.

Salut les suce-boules,

J’avais tout prévu, en double selon le résultat : éléments de langage triomphateurs ou dépréciateurs, listes de moqueries abjectes à l’encontre de la dégénérée patrie grenadine, ou missiles scuds chargés de munitions anti-personnel contre nos guerriers en barbapapa, gifs pornographiques tour à tour appétissants façon Homerc ou plutôt rebutants à la manière de Gwen Tagrenmer, des lettres personnalisées à l’attention de Rigobert et de son docteur Jerhille d’assistant esclave noir, sur le ton soit du « profondément enfoui dans le fondement l’un de l’autre, il n’osèrent plus twitter la moindre insulte durant au moins trois jours », soit du « ils aimaient (sans le savoir) Picon à un point tel qu’ils se mirent à deux pour lui rédiger leur lettre d’excuse, l’œil humide »…, j’avais même prévu de m’en prendre à Pablo (!), une fois n’est pas coutume, histoire de prendre tout le monde à revers dans la frénésie de commentaires qui allait suivre, bref, j’étais paré pour faire de ce choc au sommet (enfin, surtout en ce qui concerne l’ASNL, puisqu’ils ne risquaient même pas de perdre leur place en cas de défaite) de la ligue d’eux, une (b)anale rencontre face à un sympathique concurrent, traitée avec tous les égards habituels de cette saine académie.

Même en prévision d’un éventuel résultat nul, une cohorte de jeux de mots (la plupart jouant sur les double sens de « nul », « vierge », « partage »), que dis-je, une myriade, une kyrielle était prête à l’emploi, à l’orée de valser telle de décadents aristocrates viennois, dans ta tronche de petit lecteur pervers.

J’avais préparé une revue de presse d’avant-match quasiment exhaustive, aussi. Et celle-ci laissait croire que certains avaient pris leur parti, avec par exemple un article tout beau illustré et tout par un grand quotidien de référence (édition pigeon).

Ou encore certaine déclaration de la part d’un mec d’abord honni, puis tellement spectaculaire dans ses prises de position mesurées quoiqu’aux sinuosités linguistiques vertigineuses qui tel l’aigle royal jette un regard d’albâtre acéré comme personne sur l’actualité footballistique mais pas que, et sert comme un consommé de luxe prêt à décongeler au micro-ondes les plus banales saillies comme enrobées de l’écrin d’un diamantaire brugeois, qu’il a fini par être idolâtré sans commune mesure dans ces colonnes :

(cette imitation vous a été offerte par Marcel Picon, tous droits réservés)

Avec de tels soutiens, vous imaginez bien que la victoire aurait d’autant plus été ressentie comme le souffle romantique du triomphe du petit sur le gros fils de pute, de Gavroche se relevant de la barricade un M-16 dans chaque main et mitraillant l’oppresseur façon Metal Slug (oui on peut glisser des références à Victor Hugo et au jeu vidéo bourrin dans la même phrase, ici, on est chez Horsjeu.net, je te signale). Il n’en fut rien, mais on les emmerde : de toute façon le monde a bien compris que ce n’est pas en obtenant ce nul à la toute fin du match sur sa seule frappe cadrée que le sous-peuple grenal en est sorti grandi. Pas plus que le football, d’ailleurs, puisque entre les futures tests de la vidéo et l’autorisation de marquer (ou faire marquer) par un placage, on a eu la preuve que le football allait bientôt devenir comme le rugby, et que le FC Metz serait en première ligne pour consommer la transition.

 C’est donc cela que l’on doit vouloir signifier par l’expression « pousser son adversaire à la faute »…

Tu l’auras compris lecteur : j’avais tout prévu. Tout, sauf peut-être de rater le match. Vas bien niquer tes morts, la vie. Ce n’est pas un aveu que je concède à la légère, lecteur. Mais sache avant tout que je t’emmerde, toi, ta patrie, ta religion et tes ancêtres. Je suis grossier, mais comprends moi : en face, on se permet carrément de parler (symboliquement, car c’est bien tout ce qui leur reste avec les anulingus entre pères et fils), de victoire.

VICTOIRE ?

Et mon cul c’est du Loïc Poyo ? Votre performance suintait la défaite, la honte et le micropénis, et on a senti jusque de ce côté de la frontière les odeurs putrides émanant de vos slips sales. Bisous.

Pour la suite, viens lecteur, je vais t’en donner moi du biscuit pour ta feuille de chou. Dans le respect, sans excès de fanfaronnade, ni dépression nerveuse. C’est à Auxerre que ça se passe, et ça s’appelle l’ABD Champ. Derrière ce sigle étrange, se cache paraît-il un musée de vieilles gloires du foot français, ainsi qu’un type à la cote de popularité au moins aussi développée que son adiposité : le bien nommé Gui Roux.

On y trouve aussi du Sebastien Puygrenier, gentil ogre repenti du cannibalisme après avoir trouvé un port d’attache agréable en Bourgogne, où les repas à base de cuisse dodue sont monnaie courante. Et autorisés. Priez.

LES CHARDONS VALIDES

…ne sont pas nombreux. Guidileye, Hadji, Cétout, Coulibaly, et maintenant Chrétien sont tout cassés. 4 titulaires, et un jeune qui montait en puissance. Rien de grave !

Car le divin Pablo n’a qu’à se baisser pour ramasser les pépites cette saison, ou en relancer certaines que l’on croyait en perdition (cette phrase n’a pas été recopiée chez Footmercato.net) :

Ndy reste dans les buts, mais la ligne de défense est fort modifiée, avec Geoffraie Cuffaut à droite, et Pape Diakhaté dans l’axe, à la place de Cétout et Chrétien, donc. On peut dire que l’ASaNaL respecte les quotas ligue 2 scrupuleusement, avec ces deux nouveaux représentants des minorités visibles. Pour le reste, Lenglet (capitaine) et Vincent Taclke sont titulaires.

Au milieu, Aït Bennasser et Pedretti occupent leur place devant la défense, tandis que Lusamba reprend le poste de meneur de jeu. C’est tellement du sérieux que je ne trouve rien à en dire.

Enfin en attaque, deux astres de médiocrité gravitent, à droite en la personne d’Anthony Robic, à gauche en celle de Loïc Poyo Hermano, autour de celui qui ne ménage pas ses efforts pour entrer à grands coups d’épaule dans le cœur des Nancéiens : le fort peu délicat, mais en ce moment plutôt efficace Maurice-Junior Dalé.

EUL MÔTCH

-15 En vraie terre de football, le sain écrin d’Auxerre accueille 374 bouseux non interdits de stade, dont Gui Roux. Qui compte pour 250, selon mes sources.

-5 The Final Countdown d’Europe salue l’entrée des joueurs. Le bon goût bourguignon.

1 Auxerre engage – un enfant meurt d’une leucémie purulente. Simple causalité bourguignonnaise.

5 Et c’est le but ! Et quel superbe cachou de ce bon Maurice-Junior, bien servi par Lusamba qui a remonté tout le terrain après un grand pont et une véloce cavalcade. Déporté sur la droite de la surface, le Junior balance une lourde dantesque qui déchire la lucarne opposée. La balle est chronométrée à 274 km/h, va te coucher Zlatan Sidi-Brahim ô quiche. 0-1.

8 Et on n’en reste pas là avec le deuxième but de Nancy qui arrive immédiatement pour te faire oublier toute méfiance, sortir ton vit et commencer à en tremper le bout dans tout ce qui est liquide ou un peu moelleux alentour. Lenglet botte un coup-franc depuis son camp, et vise comme d’habitude le crâne extensible de Maurice-Junior Dhalsim. Ce dernier rate sa déviation, mais feinte son défenseur du même coup, ce qui profite à Robic, dont l’embonpoint jaillit dans le dos de la défense au prix d’une vivacité insoupçonnable, crochète le gardien et marque dans le but vide en un éclair. 0-2.

13 Poyo tente lui aussi d’apporter sa patte à cette belle victoire qui se dessine, avec un tir cadré. C’est capté (cf. le théorème du poulet atomique).

14 Totalement sonné par ce début de match tonitruant, Auxerre encaisse des centres à balle réelle, presque aussi vite que je descends des bières de satisfaction. La jauge de plaisir s’emplit dangereusement.

16 Le troisième but n’est pas loin. Aït Bennasser lance Dalé dans l’intervalle à l’aide d’une passe xaviesque, Junior vise le deuxième poteau mais son tir est trop croisé.

20 Première frayeur pour la défense rouge et blanche, avec cette course version « à cinq sur le motoculteur non débridé de tonton Jean-Claude » de Pape Diakhaté, à la poursuite d’un attaquant adverse parti dans son dos. Ndy sauve les meubles.

22 En revanche, Clément Lenglet ne se laisse pas distancer, et choisit l’option tacle par derrière les deux pieds décollés, et tant qu’à faire, tente d’arracher les balloches de son adversaire à coup de crampons. Quelle rage de vaincre, quelle abnégation, quel connard. Rouge direct, penalty, on tond Pablo Correa sur la touche et on décrète un renforcement de l’embargo sur Nancy suite à cet acte inqualifiable. Le brave attaquant auxerran qui a subi la faute, donc ne doit pas tirer, tire, et tire bien sur le poteau. Bravo.

25 Pablo est contraint de sortir Robic afin de faire jouer un défenseur central. C’est l’inutile Modou Diagne qui décroche la timbale, lui dont on croyait pouvoir se passer jusqu’à la fin de la saison. Vincent Muratori récupère le brassard.

26 Auxerre se rue avec entrain à l’assaut de notre but dépourvu de toute sa défense titulaire (en prenant soi d’éviter le flan gauche). Youssef Wati B Nasser et sa cheville font les frais du pressing. Jaune.

31 Diakhaté est présent dans le jeu aérien, ce que les locaux n’ont pas vraiment compris, puisqu’ils s’acharnent à centrer. Alors que la course d’un quarantenaire arthritique suffit en général à le semer définitivement…

37 On ne s’attend pas à de la relance d’esthète avec les deux bovins qui occupent désormais l’axe. On voit d’ailleurs déjà les ballons repartir en cloche depuis notre surface comme dans un putain de match de footy, saloperie australienne entre rugby et football gaélique, dont je vous déconseille de voir un jour un match. Sauf si vous êtes du genre à vous fader le Superbowl et à aimer ça. Dans ce cas vous n’avez rien à faire ici.

44 Sereinement, Pedretti s’affranchit du pressing adverse grâce à un petit pont défensif, 10 mètres devant sa surface. Régalé, le public le siffle.

Mi-temps.

Jusqu’à la soixante-neuvième minute (je n’ai pas fait exprès, internet est une salope), mon streaming n’a plus voulu démarrer. Il avait planté à la mi-temps. Je n’ai donc pas vu les deux buts d’Auxerre, et j’ai du subir à contre-cœur les commentaires mi-désabusés mi-condescendants des pseudo journalistes de BeIn, qui méritent la mort, et sucent des boucs le reste du temps. Le direct est revenu pour que je voie ça :

70 Occasion surréaliste de Cuffaut, qui voit sa frappe repoussée une fois, puis une seconde, sur la ligne de but. J’ai cru voir double, puis quelqu’un de sobre m’a confirmé qu’il y avait bien eu deux frappes.

72 Tentative de lob de Pedretti, de soixante mètres. C’est cadré, mais capté. Qu’on me donne un objet à casser, de préférence pas un des mes membres.

73 Aït aime les passe Liga, et pratique cela plutôt bien. Dalé se présente une nouvelle fois face au gardien, mais comme d’habitude, il perd son duel. Avoir la tronche d’un Jay-Z sous alimenté et s’effondrer comme un petit Chris Brown défoncé à la ganja dès qu’un blanc-bec puceau lui fait face, foutrebleu, c’est indigne.

77 Busin crochète le Puy, et a une occasion de frappe, mais ça part au-dessus. Est-ce que quelqu’un pourrait la mettre au fond, bordel ?

80 La réplique (cinglante) de l’AJA prend la forme d’un tir à côté. Loin à côté.

82 Tout seul, Dalé parvient à entrer dans la surface adverse, et obtient un corner. Les plots de l’enfer qui lui font face mériteraient tout de même bien pire que ce match nul, tant ils semblent avoir acheté leurs crampons en soldes chez Lafarge.

84 Ndy s’emploie pour faire le ménage dans sa surface. Il y a bien une frappe adverse qui le prend à contre-pied, mais la balle part en corner. C’EST TOUT CE QUE VOUS AVEZ ??

88 Résigné au match nul, Pablo fait entrer Iglesias à la place de Pedretti. Ce dernier est sifflé comme un gros malappris par le public de la Bédé chant. Connaisseurs, et pas ingrats, c’est sympa.

91 Vincent Tackle, que personne n’a vraiment osé approcher ce jour, contient à lui tout seul les dernières velléités offensives de l’adversaire. Du regard. Et de loin.

92 Nancy obtient un dernier corner. On y croit. Même Ndy pourrait monter ? Ah, non. L’arbitre préfère siffler la fin du match. Vive désapprobation de toute la Lorraine, qui appelle à brûler le stade, la ville, et même la grange.

LES NOTES

Ndy 3/5 : Du courage, et quelques interventions heureuses, mais pas de miracle sur les deux buts (moches, surtout le premier) d’Auxerre. J’ai cru remarquer qu’il avait plongé du bon côté sur le penalty, là où Brice Samba aurait sûrement fui en pleurant.

Cuffaut 2/5 : Eût-il marqué ce but, il repartait auréolé du statut fort enviable (surtout en ce moment) de héros de la Lorraine. Au lieu de cela, il reste titulaire du titre de Romain Grange du couloir droit, style de mec cool que tout le monde aime, mais pas franchement celui qui repart avec la bombasse de service en soirée.

Pape 2/5 : En peine lorsqu’il s’agit de courir, ce qui est parfois problématique, surtout quand il y a de jeunes godelureaux qui lui partent dans le dos. Son physique de taureau décourage les adversaires au moment des duels, en revanche. Reste qu’on a abandonné l’idée d’un deuxième titre d’affilée au classement du fair-play depuis qu’il a repris du service. On se consolera avec la montée.

Lenglet 0/5 : Le capitaine a abandonné le navire, et on ne crie franchement pas à l’injustice. Un tacle à montrer dans toutes les écoles de football, mais aussi dans les écoles régulières, afin d’illustrer ce qu’est la connerie à la française, 1re année. Pour la suite du cursus, on trouvera d’excellentes illustrations sur Facebook.

Muratori 3/5 : Vincent Tackle n’a même pas eu besoin de ses super-pouvoirs aujourd’hui : les actions ont déserté son côté, prudemment, en tentant de se jeter sur la victime Faucut.

Aït Bennasser 4/5 : Apparemment, il y a un chapitre entier qui lui est consacré dans le livre à succès des Dé-managers. Quelqu’un peut confirmer ? J’ai claqué toute la thune qui me restait dans un caillou de crack, après le deuxième but auxerrien.

Pedretti 3/5 : Force tranquille du milieu, et une nouvelle fois conspué par son ancien public. Rousselot devrait lui proposer de prendre sa retraite chez nous, seul lieu sur terre où de vrais supporters ont l’air de le traiter à sa juste valeur.

Lusamba 4/5 : Surrégime ? En tout cas il a semblé affûté comme jamais, et le voir se faufiler dans les espaces tel un jeune ninja glissant entre les mains de ses adversaires avait quelque chose de jouissif.

Robic 4/5 : Note-récompense, pour son but bien sûr, mais aussi pour le visage très positif qu’il a montré lors des vingt-cinq petites minutes que l’intelligence supérieure de Clément Lenglet lui a accordées. Reviens-nous vite, Toto.

Puyo 1/5 : Absent des débats, mais aussi de mon champ visuel (certes trouble, surtout à la fin).

Dalé 5/5 : Il y a toujours au moins un homme à chaque ligne, dans le 4-3-3 de Pablo. Dalé était celui de l’attaque.

REMPLAÇANTS :

Diagne 2/5 : Je puis confirmer qu’il est nul, ou en passe de le devenir. Il n’a que 22 ans, me dit-on. Et alors ? Raphaël Varane aussi…

Busin NN De bonnes choses, et une vitesse assassine, mais cette finition, hein, c’est comme sa croissance : on dirait qu’il va falloir se faire une raison.

Iglesias NN Toujours pas, non.

NOTE ARTISTIQUE DE L’ÉQUIPE : 3/5

Difficile d’évaluer un tel scenario en gardant les pieds sur terre : la connerie de Lenglet contribue à tuer un début de match à se damner de joie sadique ; d’un autre côté, l’équipe n’a reculé que par à-coups (comme ta sœur en présence de Youssouf Hadji), et a encaissé deux buts fort évitables, en plus de ne pas parvenir à la coller au fond lors de ses nombreuses occasions (contrairement à Youssouf en présence de la suce-nommée).

Bref, c’était du bon, du moins bon, pis des regrets. Va falloir se bouger le fion bientôt, parce que la victoire n’est plus très fréquente, en ce moment. En foutant la pâtée à des parigots qui fricotent dangereusement avec les tréfonds du natianal, par exemple…sur une pelouse qui marche bien, malgré les filaments plastifiés de ses feuilles d’herbe et devant des tribunes toujours pleines, comme un symbole de club pas à sa place dans cette ligue d’Eux insalubre.

D’aucuns pourraient croire que Pablo ne réussit pas grand chose ces temps-ci, que les circonstances ne lui sont pas favorables, que ses soutiens l’abandonnent. Nenni, tas de couille de loup : l’homme reste fidèle, fier, droit dans ses bottes, et tout à la fois humble, sympathique et mal coiffé. D’ailleurs, un autre génie incompris vient de mettre sa vie en musique, signe des temps qui ne trompe pas :

On se sent moins seul.

 

Je crois en Pablo Correa.

Bonus pas rancunier : les vues d’artistes de petites crevures messines sans organe ont fleuri ces derniers temps ; il est toujours bon de rappeler ce que l’expression d’une franche haine fait expulser par le fondement à certaines âmes portées sur l’esthétique. Paix sur leur absence d’âme, leur Reis de mille ans et leurs académiciens croquignolets.

Ce bon chrétien n’a pas remarqué que le lave-vaisselle avait fini par ternir son beau grenat jusqu’à donner pile les couleurs de l’ASaNaL à son mug de pédé.

Bon goût et umour draule pour ce détournement d’affiche très inspiré.

Les Messois ont de la gueule. On a moins vu leurs couilles, à l’aller comme au retour.

En direct de la capitale immortelle de la Lorraine, Marcel Picon.

3 thoughts on “Auxerre-Nancy (2-2) : La Chardon à Cran Académie vous en veut à tous.

  1. Ça passe au Caméo ou au Kiné, « Les Bâtards » ?
    Je veux le voir…

    Belle bonne grosse acad’ bien énervée, sinon…
    Champion mon Picon.

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