Lazio – Juventus (3-1) la Bianconero Académie n’est plus invincible.

Ciaù ragazz’,

Excrémentiel (adj.) : Qui est relatif aux excréments.

En voilà un joli adjectif qui pourrait qualifier un tas de trucs. Sûrement pas le football de la Lazio, qui a été meilleure que nous ce soir que personne n’en doute. Alors en vrac :

– Bernardeschi.

– le Corriere dello Sport.

– la sortie de Szczesny (bon ok il fait une double parade de fou derrière sur le rigore).

– le pinard de Bordeaux.

– la condition physique des joueurs. Bentancur qui faisait un bon match contraint de sortir sur blessure, Ramsey qui confirme qu’il est en carton pâte (réaction au stress de l’os, c’est merveilleux d’inventivité), Khedira out au moins trois mois (bon ça c’est pas mal), Emre Can joueur de foot à temps partiel, Rabiot blessé lui aussi, Pjanic qui pâtit forcément de tout ça… ça commence à faire un trou au milieu.

– le trou d’air dans le cerveau de Cuadrado qui tacle en position de dernier défenseur et laisse les copains à dix pour les vingt dernière minutes (Milinkovic-Savic marquera cinq minutes plus tard) ça faisait longtemps qu’il nous l’avait pas fait le Jean-Guillaume. Et ben ça n’avait pas manqué.

– l’asservissement du prolétariat par la bourgeoisie capitaliste.

– la sensation qu’on a alors que l’Inter prend de l’avance au classsement malgré son nul contre la Roma.

– Voir Bonucci avec le brassard de capitaine.

Je pourrais en faire des centaines mais j’arrête là parce que vous avez forcément mieux à faire.

LES NOTES (avec l’échelle de Bristol en guest).

On essaie un nouveau mode de notation à la Bianconero Académie pour votre plus grand plaisir.

Faites votre choix parmi toutes ces textures et couleurs différentes, mais sachez qu’au final un caca reste un caca.

CUADRADO a eu un moment cérébral de « type 7 » quand il a taclé comme un abruti en position de dernier défenseur.

SZCZESNY nous a sorti le pénalty d’Immobile dans un pur style « type 1 ».

BONUCCI et DE LIGT ont fini par craqueler face aux attaques répétées des biancocelesti, un classique « type 3 » pour eux.

DYBALA a bien tenté quelques arabesques dignes de son statut de « type4 » mais il s’est vite éteint.

CRICRI avait pourtant fait le plus dur en plantant son « type 2 » dans le cul de Strakosha tel un poignard victorieux, mais ça n’a pas suffi.

BENTANCUR a très bien commencé mais sa fragile intégrité physique de « type 5 » l’a rapidement rattrapé.

Et enfin BERNARDESCHI erre sur le terrain comme un « type 6 » abondant qui ne part pas malgré plusieurs chasses d’eau. Va falloir y aller à l’acide.