Le Onze Mondial de la semaine.
Un Onze Mondial pas banal
Un Onze Mondial qui profite des belles performances de la semaine un peu partout à travers l’Europe, de l’Italie au Natianal. On y retrouve quelques habitués, des p’tits nouveaux et des revenants. Devant tant d’enthousiasme, le Capitano s’autorise un 3-4-3 qui mise autant sur l’esthétisme que l’efficacité. Rude Van Nistelrooy derrière, propre au milieu et rapide devant, nul doute que cela devrait ravir les amateurs. Sauf peut-être les Marseillais vu que le Onze Mondial est parisien cette semaine.
Mandanda (4/5) : Il a pleinement contribué à ce match sans but encaissé. Un événement presque aussi rare qu’un éthylotest négatif en sortie de boîte se devait d’être salué.
CANCELO (5/5) : Les mots me manquent. Cancelo, c’est le mac de ton puto crack.
Soumaoro (4/5) :
Pourtant, sur les photos, on jurerait qu’il n’a que deux jambes.
Dembele 5/5 : Le Sergio Ramos noir. J’ai clairement pas mieux pour résumer son match.
Luiz Gustavo (4/5) : Oublions ce vilain début de saison et aimons-nous comme au premier jour, grand fou.
BENTANCUR (4+/5) : Il a été fabuleux. Sa capacité à se projeter est tout bonnement esstraordinaire. Quand j’étais petit, Ingrid du sketch Tournez Ménage des Inconnus me faisait durcir le zizi. Rodrigo a fait pareil ce soir. Et le plus pour le but, évidemment.
VERRATTI (4/5) : Partout, chez les autres, chez nous, dans la tête de l’arbitre, dans le bus de la VAR, dans la colonne cartons jaunes. Les jambes sont là, le vice revient.
Boulaya (5/5) :
Tu retrouves des jambes. J’aime ça. Ta frappe m’a presque poussé à accepter les avances de Hamid…
Iwobi (4/5) : Toujours aussi remuant et inspiré depuis le début de la saison. Emery lui fait confiance et ça se sent. Si sa qualité de frappe reste plus que perfectible, sa passe dans le bon tempo pour Smith-Rowe est un modèle du genre.
MBAPPE (5/5): Pay-back, un penalty pour compenser les vertèbres que Lopes lui a déplacé l’an dernière. Un quadruplé pour refroidir un Lopes chaud, qui croyait à l’exploit. Kykiss my ass.
Bamba (5/5) :
Pour sa 44ème accélération du match, Saliba en a eu marre de se faire humilier et l’a laissé faire. Deux buts, une passe décisive, et un seum stratosphérique du côté de Saint-Étienne.