Le Onze Mondial de la semaine.
Les « hérault » de la semaine
Dans sa recherche du Onze Mondial, le Capitano est toujours à l’affût des talents les plus méconnus. Faiseur autant que meneur d’homme, il assemble pépites et valeurs sûres en une symbiose qui dépasse la somme de ses joueurs. Cela se traduit aujourd’hui par un système dont la perfection aura sauté aux yeux d’un Breton qui, subjugué, en fera le seul adéquat à la pratique du foot. Malheureusement, il n’est qu’un homme et l’inspiration divine du Capitano lui échappera, n’engendrant qu’une lente descente vers la folie monomaniaque. Un Onze montpelliérain, évidemment, eux qui ont poignardé le cul des Nîmois avec une saucisse. Trois fois.
Alisson (4/5) : premier gros test pour Alisson qui s’en est plutôt bien sorti avec plusieurs arrêts décisifs.
FBT (4/5) :
Allez c’est bon, je suis définitivement convaincu. Et Bouna Sarr aussi.
Van Dijk (5/5) : à quoi ressemblait le monde avant son arrivée ? Je l’ai oublié. Depuis, tout est paradis.
Congré (5/5) : généralissime besogneux n’hésitant pas une seule seconde lorsque vient le saloir.
Un pied gauche qui dépose comme le père Noël les cadeaux au pied du sapin, ça revient chaque fois mais c’est toujours un plaisir.
NKUNKU (5/5) : Tu le voyais venir. Ce serait presque un 5 en toute objectivité, un but, à l’origine d’un autre, sorti à cause d’un Dante agacé.
Khazri (sans hésitation, 5/5) :
Un contrôle, une frappe, deux buts. Merci, au revoir.
Dans le dur au début, il a profité du regain de justesse technique de l’équipe pour faire ce qu’il fait de mieux : chef d’orchestre.
Mollet (5/5) : virtuose à moteur sept symphonies parcourant toutes les notes de l’histoire en mode majeur.
Allez, continue mon grand, c’est bien. Presque buteur sur le premier pion, passeur sur le second. Partout avant ça. Si je suis honnête, je lui vire un point pour tout ce qu’il rate aujourd’hui, quand même. Heureusement, je ne le suis pas.
Callumn Morrison (4/5) :
#FormidableAcadémie. Encore un match abouti pour le jeune Callumn.